Auteur/autrice : Pierre CARNICELLI DANIEL

  • Gagnant-Gagnant ? Où est la limite ?

    6a00d834209e6353ef016301056716970dIl y a quelques temps j’étais à Tanger, vous connaissez ? Non ? Alors réservez vos places et en voiture ! C’est une ville magnifique dont je suis tombé amoureux. Cette ville me rappelle par bien des aspects la ville de ma jeunesse, Marseille, dont je suis resté amoureux… Et comme le dit le dicton « Jamais deux sans trois… »,  aujourd’hui je suis à Paris dont je suis tombé amoureux il y a plus de 20 ans et j’y suis resté…

    Alors cet fois là donc…

    Je n’écoute pas aux portes, mais le son passe rapidement la distance qui nous sépare de l’autre… La communication téléphonique allait bon train en arabe et en français mélangés, et la personne près de moi dît à un moment : « Je veux bien que ce soit un contrat gagnant-gagnant pour tout le monde, mais, il y a des limites ! »

    Et là je me suis écroulé de rire sans pouvoir m’arrêter bien sûr…

    Qu’est-ce qu’un contrat gagnant-gagnant : C’est un contrat qui permet à chacun de gagner donc déjà c’est pour tout le monde… Mais là n’est pas la raison de mon rire… Quelles sont les limites ? Est-ce quand un des deux gagne plus que l’autre ? Si tout le monde gagne pourquoi vouloir limiter cela ? Quelle est la peur exprimée dans cette phrase…

    Je reformule :

    • C’est un contrat qui n’est pas si gagnant que cela pour moi et je veux me retirer
    • C’est un contrat que tu veux me faire prendre pour gagnant mais je sais bien que cela n’est pas le cas
    • Tu te fous de ma gueule ?
    • Arrête ton char Ben Hur !
    • Il ne faut prendre prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages

    Donc maintenant je rajoute cette formule Tangéroise :

    « C’est un contrat gagnant-gagnant pour tout le monde, mais, il y a des limites ! »

    Bonne détente … Au fil des mots… J’en ai une autre pour demain.. Vous reviendrez ?

     

  • Les dirigeants face à leurs stress

    Le magazine : Chef d’entreprise rapporte que dans une enquête de la CGPME du 77 indique que 79% des dirigeants d’entreprise auraient subi un Burn-Out ce chiffre étonnant serait du à la manière dont l’enquête a été faite.

    Le deuxième enseignement de cette enquête, près de quatre dirigeants sur cinq souffrent de symptômes liés à leur vie professionnelle. Et, plus de trois patrons sur cinq pensent que c’est une erreur ou une faiblesse de montrer ses fragilités physiques ou psychologiques.
    (Vous voulez en savoir plus sur cette enquête suivez le lien vers le magazine).

    Tout cela amène les chefs d’entreprise à songer :
    à renoncer en face de la lourdeur de la tâche.

    Quand on veut grimper l’Hymalaya il est nécessaire d’avoir un camp de base et le mythe du « self made man » (celui qui s’est fait tout seul) à la vie dure !

     Vous n’êtes pas seul, j’ai toujours été à vos cotés. Voulez-vous sortir de l’ombre et aller dans la lumière ? Comme dans « La légende de Bagger Vance », ce film, où le caddy (Will Smith) propose au joueur de jouer SON jeu à lui ! Et vous vous voulez jouer votre jeu ? Alors, venez jouer avec moi, et nous serons une équipe. Vous avez déjà le président de votre fan club ! YAPLUKA !

    Et bienvenue dans la vraie vie. Ici, vous avez le droit d’être comme vous le voulez vraiment. Alors que voulez-vous vraiment ?

    A tout de suite

  • Changement ? Objectif ? Mais est-ce que je sais moi ?

    6a00d834209e6353ef01348986e836970cIl y a quelques temps, j’ai commis un billet sur ce blog : billet sur Cromwell.

     En quelque mot il s’agissait d’objectif…. Ou plutôt du manque d’objectifs…. Je ne vais pas refaire le même 😉 Ici je vais traiter de la recherche de ces fameux objectifs.

    L’Appreciative Inquiry est une source vraiment très efficace d’objectifs qui font sens !

    Oui car un objectif se doit de faire sens… Que penser d’un chef d’entreprise qui dans l’industrie a pour objectif simplement de survivre ? Cela fait sens pour vous ? Si vous vous permettiez pendant 5 minutes de rêver ? Alors ?

    Ben, pour moi cela ne fait pas sens… Comment retrouver le sens alors ?

    Je vous propose un exercice :

    • Mettez-vous en binôme (choisssez quelqu’un qui veut faire cette expérience avec vous…)
    • Chacun son tour :
      • Racontez à l’autre une expérience où vous avez vécu une réussite qui a fait sens dans votre vie (personnelle ou professionnelle) tandis que l’autre prends des notes et vous pose des questions pour bien comprendre votre expérience.
      • Indiquez à sans aucune modestie sur quelles qualités chez vous vous vous êtes appuyé pour réussir cela.
      • Donnez à l’autres 3 souhaits que vous aimeriez voir exaucés, choses que vous aimeriez vivre ou connaître pour vivre d’autres choses qui feront sens pour vous…

    Alors vous en déduisez quoi ? Si vous n’avez trouvé personne pour le faire. (Contactez-moi !)

    Vous en avez des objectifs maintenant ? C’est super hein ? Bienvenue dans l’Appreciative Inquiry ça commence comme ça ! Et en plus on peut le faire dans l’entreprise, sur des grands groupes

    Vous voulez en savoir plus ? 

    Prenez un RDV avec moi et je viendrai vous faire une démonstration pour votre comité de Direction, quand vous voulez ! Je m’engage sur cette démonstration car je suis sûr du résultat c’est vraiment comment dire??? BAFFANT ??? Oui c’est cela et comme dirai Monsieur Cyclopède alias Pierre Desproges (My hero) :

    ETONNANT NON ?

  • Une recette qui donne du sens à la vie ?

    Connaissez-vous  le sens du mot « sacré » ? J’ai mis le lien vers Wikipédia pour vous aider…. Le mot « sacré » à la même origine que le mot « sacrifice » et je vais de ce pas les lier pour voir.

    Ce qui est sacré pour moi c’est quelque chose pour laquelle je suis prêt à me sacrifier…. Whouaouuuu… Alors pourquoi suis-je prêt à me sacrifier ? C’est dérangeant, comme question, hein ?

    Je vais reprendre ici une phrase que l’ont prête à Martin Luther King : « Si un homme n’a pas découvert ce pour quoi il serait prêt à mourir, il n’est pas fait pour vivre » Alors ce n’est toujours pas facile comme réponse… J’ai cherché et comme beaucoup de personnes j’ai trouvé ma réponse à cette question. Bien entendu, Nietzsche et son marteau à casser les idoles m’a aidé 😉 Chacun aura sa réponse, pour moi l’une des seules choses (valeurs) pour quoi je pourrai me sacrifier c’est l’AMOUR ! Oui je sais il y a plusieurs sortes d’amour, celui que je porte pour ma femme, mes enfants, mes amis, les autres humains, la terre…. et j’en passe !

    Et oui voilà le moteur de ma vie l’Amour…

    Je lisait un article sur Rue89 sur Ces trentenaires qui n’ont plus envie de se lever pour bosser et en le lisant je me revoyais à une époque de ma vie (avant mon départ sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle et mon divorce) et je me disais que oui ! C’est bien aujourd’hui LE moteur de ma vie le moteur qui m’a fait faire de belles choses et qui aujourd’hui me permet de me lever avec le sourire de bonne heure et de bonne humeur car mieux serait insupportable. Avec la méthode appréciative, j’ai pu aller visiter mes expériences et en tirer mes amours, mes amis… comme dirait Aznavour.

    Vous connaissez les niveaux logiques en PNL ? Nous sommes ici au niveau de la mission (la spiritualité) c’est à dire le plus haut des niveaux logiques ! Et ce niveau est le niveau qui influence et modifie tous les autres… Vous voulez en savoir plus sur les niveaux logiques et la motivation… Et si vous vous formiez au coaching ?

    Alors, vous vous avez trouvé votre réponse à ma question initiale ? Voulez-vous que nous y travaillons ensemble ?

  • Et si vous essayiez le coaching par téléphone ?

    6a00d834209e6353ef0163005f19a9970dBonjour,

    Je viens de lire un article d’un coach que je n’ai jamais rencontré physiquement, et avec qui nous avons une relation très « réseau social » qui vient d’écrire un article sur le coaching téléphonique et cette note me renvoie à une note que j’avais écrite en 2009 sur le même sujet dans feu mon Blog sur le coaching appreciatif que je viens de fermer. Dans cet article je traitais de la réponse à une question fondamentale que rencontrent les coachs de tout poil…  Puis je traitais du coaching par téléphone.

    Et ma conclusion est que le coaching par téléphone est un vrai coaching ! Un coaching digne d’intérêt et non un coaching au rabais… Comme quoi nous arrivons à des conclusions similaires dans l’espace et dans le temps….

    Allez …. Je ne peux pas m’empécher de remettre cet article en ligne, car il n’a pas pris une ride…

    —– Rappel ——

    Souvent le coach se heurte à la première question d’une personne dans une conversation qui est « Qu’est-ce qu’un coach ? »

    Et là si je veux répondre, je me lance dans … Rien justement !

    Je ne me lance pas dans l’explication habituelle : Un coach c’est quelqu’un avec qui nous avons envie de faire un bout de route car nous savons qu’il va nous permettre d’atteindre notre objectif plus vite et plus facilement que si nous étions seuls !

    Car le coach ce n’est pas que cela !

    • Le coach c’est un importateur de stress c’est à dire quelqu’un qui permet de faire diminuer celui-ci
    • Le coach c’est aussi un exportateur d’énergie qu’il fait augmenter
    • Le coach c’est un professionnel source d’inspiration, et révélateur de motivation
    • Le coach c’est un révélateur de talents
    • Le coach c’est un professionnel de bon sens
    • Le coach c’est….

    Bouuuuuuuuuuuuhhhhhhhhhhhhh….. Ce n’est pas fini cette liste ? Si au lieu d’en parler on le pratiquait hein ? Ce serait plus facile ! Alors allons-y, voulez-vous ? Répondez à ces questions pour vous :

    • Citez-moi trois choses que vous faites de bien ?
    • Citez une chose que vous pourriez améliorer ?
    • En quoi est-ce un problème pour vous de ne pas améliorer cela ? (important pour vous… pas pour les autres !)
    • Si vous ne réglez pas ce problème d’ici un an, le 31 décembre 2010 (par exemple) que vous arrivera-t-il ?
    • Est-ce ce que vous voulez ? (si vous répondez OUI, le coaching ne vous concerne pas !)
    • Que préfèreriez-vous à la place ?

    Voilà un premier objectif à clarifier ! Et là le coach peut être utile ! Le coach accompagne des personnes en bonne santé pour aller vers leur objectif :

    Pas besoin d’aller mal pour vouloir aller mieux !
    NE PAS CONFONDRE COACHING ET THÉRAPIE !

    Bon alors on va ?

    Non parce-que… Et là une série d’excuses :

    • Je n’ai pas le temps
    • Le coach est trop loin
    • Une séance de coaching c’est une demi-journée de perdue

    Et si vous pensiez au téléphone ?

    • Le coaching par téléphone c’est le pied me disait un client la semaine dernière :
    • C’est souple d’utilisation (Je peux faire varier le nombre de séances de 1 à 2 voire 3 / semaine)
    • Je gagne du temps (pas de déplacement)
    • C’est écologique (pas de voiture, ni de transport)
    • C’est économique (je dépense moins… Essence, assurance, temps perdu…)
    • Je peux avoir un contrat au forfait
    • Je peux avoir des séances « flash » (par exemple : avant d’entrer en réunion…)
    • Je peux choisir MON coach partout en France et prendre le meilleur pour moi !

    —– Fin du rappel —–

    Là je rajoute autre chose que dans mon article initial…

    Je suis reconnu aujourd’hui travailleur handicapé et je suis membre de l’UPTIH (Union Professionnelle des Travailleurs Indépendants Handicapés) et je peux vous dire que le coaching par téléphone c’est un moyen très efficace pour moi de travailler en utilisant mon potentiel au maximum en éliminant ce qui pourrait me faire perdre mon énergie… les déplacements !

    N’oublions pas que le coach est un exportateur d’énergie ! (et un importateur de doute…) or pour exporter son énergie il faut d’abord … En avoir ! 😉

    Le coaching par téléphone n’est pas un coaching au rabais et il permet une chose que ne permet pas forcement les autres formes de coaching : le LINK-Coaching…. C’est à dire la possibilité dans les moments très difficles de garder un contact très proche.

    Alors et pour vous ?

  • Les conséquences de la peur.

    6a00d834209e6353ef016761464be0970bComme souvent le samedi matin, je m’arrête pour écouter une émission de France Inter que je trouve des plus intéressantes : « Sur les épaules de Darwin » par jean-Claude Ameisen.

    Je vais ici vous mettre un petit extrait de l’émission du 28/01/2012 qui présente une étude faite sur les « Song Sparrow » (Voir Photo) et je vous conseille bien entendu de vous abonner au Podcast de l’émission sur le site de France Inter ou en passant par ITunes.

    Conséquences de la peur

    Si vous avez pris le temps d’écouter cette extrait vous avez pu constater que cette étude est relativement claire quant au conséquences de l’entretien de la peur sur une population d’oiseaux donnée. Ce serait intéressant de vérfifier cette étude sur les humains, non ?

    Quel est le prix à payer pour la peur que certains entretiennent à loisir pour « diriger » et « manipuler » les populations humaines ? Quelles est la volonté de ces « effrayeurs permanents »  et quelle est la conséquence de cela sur nos enfants ?

    Entretenir la peur de l’avenir en laissant croire que nous ne pouvons pas agir sur l’avenir. N’est-ce pas entretenir un « cheptel » d’humain dans l’asservissement à la peur, pour pouvoir mieux les contrôler ?

    Bien entendu ce ne sont que des questions en l’air mais si vous voulez-bien posons nous d’autres questions en corollaire pour vérifier si c’est possible le bien fondé de ma question initiale.

    • Quand chez les religieux, on entretient la peur de l’enfer auprès des populations qui pourraient ne pas croire ? A qui est-ce que cela profite ?
    • Quand chez les athées, on entretient la peur de la religion de l’autre parce que les pratiques seraient incompatible avec sa vie personnelle. (Ce qui est vraie chez certains religieux aussi d’ailleurs ! LOL) A qui est-ce que cela profite ?
    • Quand on laisse croire que la crise est une fatalité et que nous ne pouvons rien y faire, à qui, profite cela ?
    • Quand on indique que les maladies comme le sida progresse en Afrique et que l’on ne peut rien y faire, à qui profite cela ?
    • Quand on indique que le climat se réchauffe et que nous allons vers une catastrophe et que l’on ne peut rien y faire, à qui profite cela ?
    • Quand on indique que la science nous envoie vers la destruction de l’homme… A qui profite cela ?
    • Quand on indique que le coaching est la porte ouverte aux sectes de tout poils sans préciser plus avant les risques, en indiquant que cela est normal puisqu’il s’agit de développement personnel et que ça a toujours été comme cela… A qui profite cela ?

    Je peux citer d’autres peurs entrenues : la peur de la liberté, la peur des agressions, la peur de la différence, la peur de la crise, la peur du changement (on sait ce qu’on a mais…), etc…

    Cette liste n’est limitative 🙁

    Je poserai toujours la même question d’abord : « A qui profite le fait d’entretenir cette peur ? » Les dangers existent, et la peur n’évite pas le danger. Connaître les dangers ne signifie pas entretenir la peur.

    Quand nous regardons nos peurs en face, nous pouvons faire preuve de courage.

    Je rappellerai la phrase de Marc Aurèle à ce sujet : « Donnez moi la force de supporter ce qui ne dépend pas de moi, le courage de changer ce qui dépend de moi et la sagesse de faire la différence entre les deux » et je terminerai encore par une question :

    « Que voulez-vous vraiment ? Etre guidé par vos peurs ou choisir la voie de l’amour ? ce n’est qu’une question de volonté initale et ensuite…. De courage ! Le doute n’est pas la peur. Douter oui … Mais avancer !

    Le prix à payer pour la peur n’apparaît pas toujours immédiatement, alors que le prix du courage apparaît tout de suite…. C’est là que le bât blesse. 😉

    Alors le premier pas vers le courage, ce sera quoi pour vous ?

  • Réussite et sabotage sont les deux faces d’une même réalité

    6a00d834209e6353ef014e8bdf349f970dConnaissez-vous vos stratégies de sabotage préférées ? Non ? Alors répondez aux deux questions suivantes :

    • Donnez-moi un objectif majeur à réaliser avant fin 2013 (ou fin 2014 si vous préférez)  ?
    • Comment allez-vous faire pour NE PAS atteindre votre objectif ?

    Et hop ! Faites maintenant un petit tour sur votre passé et vérifiez combien de fois vous avez utilisé cette stratégie de sabotage. Étonnant, non ?

    Ensuite comment allez-vous utiliser cette information ?

    Souvent l’idée sous-jacente est  « Maintenant que je connais cette stratégie je n’ai plus qu’à l’éviter ! »

    Cela semble simple hein ? Et pourtant cela ne fonctionne pas si simplement, car en essayant d’éviter les choses on les provoque encore plus sûrement. Dommage.

    Prenons un exemple pour que vous compreniez :


    6a00d834209e6353ef014e8bdf34fe970dAvec un vélo si vous essayer d’éviter une voiture qui sort de stationnement en regardant les roues de la voiture il y a de fortes chances que vous percutiez les roues. Par contre si vous regardez à coté il y a de forte chance que vous passiez à coté et évitiez le choc.

    Pourquoi ? Parce que c’est là où votre conscience se focalise que vous focalisez votre énergie, en d’autres termes, c’est là où regardent vos yeux que la roue du vélo passe.

    Alors comment faire ? Et si vous recherchiez vos stratégies de réussite ?

    Comment ai-je réussi jusqu’à présent ? Quelles sont mes forces, mes qualités, mes talents ? Dans des circonstances similaires ai-je réussi  et comment ai-je fait ?

    Voilà ce que je vous propose d’aller visiter avec l’Appreciative Coaching. Une méthodologie simple et qui a fait ses preuves. Une philosophie associée qui change la vie de tous les jours sans les pièges de la méthode « Coué » car dans cette méthode l’autre est un témoin et ce témoin est au moins aussi important que le reste ! Car dans les jeux psychologique le témoin lui aussi joue un rôle. C’est pourquoi nous parlons dans notre profession d’écoute active.

    Comment choisissez vous votre témoin ? Le coach n’est pas un ami. Il n’est pas un conseiller. Il n’est pas un simple témoin…

    Vous voulez qu’on en parle ensemble ?

  • Evaluer pour évoluer… A chaud ou à froid ?

    6a00d834209e6353ef0147e3510b66970bJe viens de vivre une expérience très riche grâce au printemps des coachs. En effet une personne que j’ai coaché il y a 18 mois s’est inscrite et à demandé à être suivi par moi, pour ces 3 séances dans le cadre de cette manifestation.

    Bien entendu, je lui ai demandé de ses nouvelles lors de la reprise de contact. Et j’ai eu la chance de pouvoir bénéficier de son évaluation à froid de notre coaching qui avait duré seulement 5 séances.

    Et en 5 séances voici le retour de ce client : Il a retenu 3 points principaux dont les effets sont permanents.

    1. Il travaille maintenant à se construire et à construire sa vie en s’appuyant sur ses talents et sur ses forces au lieu de s’épuisser comme avant à essyer vainement de progresser en corrigeant ses faiblesses et en se focalisant sur ses imperfections
    2. Il a pris le pouvoir sur SA vie au lieu de se laisser guider par les évènements et les autres
    3. Il sait maintenant prendre du plaisir tout au long de chacune de ses activités et profite pleinement de son chemin au lieu de rester dans l’attente d’un résultat final pour pouvoir se sentir vivre.

    Whouaouuuu !!!

    Je suis vraiment, heureux de ce résultat qu’il peut constater alors que 18 mois nous séparent de ce coaching.

    Ce que je peux améliorer ?

    • Mon suivi clientèle car il avait perdu tout contact avec moi pendant longtemps et se demandait s’il pouvait faire à nouveau appel à moi…

    Vous imaginez bien que ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un aveugle ! 😉

    Maintenant je vais faire un suivi de mes clients !

    Je n’avais jamais fait d’évaluation à froid des résultats d’un coaching. Pourquoi ?

    • Parce que l’occasion ne s’était pas présentée je crois…
    • Ou peut-être parce que j’avais peur d’entendre s’exprimer mes clients ?

    Va savoir Charles… Eh bien maintenant je le ferai systèmatiquement car ce permet de dégager des axes d’apprentissage , en vérifiant :

    • Ce qui marche
    • Ce que l’on peut améliorer

    Et comme disait Bourvil : « Le dire c’est bien mais le faire c’est mieux « 

    Avant je ne faisais que de l’évaluation à chaud : « L’évaluation à chaud c’est bien mais l’évaluation à froid c’est mieux »

  • La pensée positive versus la réalité

    6a00d834209e6353ef014e5fc38607970cJe viens d’avoir un échange avec un ami sur la pensée positive. Il en arrivait à opposer la pensée positive avec le principe de réalité. Je me suis dit que ceci pouvait bien faire l’objet d’une planche, oups pardon je ne suis plus étudiant…gnan gnan… 😉

    Celui qui planche c’est l’artisan qui écrit ses plans sur une planche parce qu’il n’a pas de papier ou celui qui présente un travail dans le cas d’étudiant… 😉 Je ne considère pas cela comme un travail (au sens étymologique tu terme qui donne un truc genre torture…) c’est un vrai plaisir de partager avec vous.

    Tout commence par : « Pour moi le printemps c’est le renouveau de la nature » et pour cet ami c’est « Les expulsions vont recommencer ». J’ai raison et… il a raison ! Mais cela n’avance pas dans le débat, bien-sûr !

    Il me dit « C’est bien ton truc de pensée positive mais il ne faut pas oublier la réalité. » Bien entendu SA réalité à lui c’est d’associer le printemps avec les expulsions et le printemps c’est aussi le renouveau de la nature. Donc deux associations qui s’oppose émotionellement.

    • La mienne de réalité c’est d’associer le printemps avec le renouveau de la nature. Point barre. J’associe les expulsions avec le vote que je vais faire aux prochaines élections. Sans entrer dans un débat politique ici car ce n’est pas le sujet.

     Nous avons ici des principes de la PNL qui se trouvent vérifiés :

    • La carte n’est pas le territoire
    • Nous créons notre carte du monde par omission, distorsion et généralisation

    C’est génial, non ? Ça marche ! Ouf… La PNL (Programmation Neuro Linguistique ce n’est pas que du bidon…) Un autre principe de la PNL est que nous pouvons associer un état interne avec un comportement externe (et même certains processus internes) et cela s’appelle un ancrage (cf les madeleines de Proust)

    Voilà pourquoi je CHOISI d’associer le printemps avec le renouveau de la nature et c’est tout !

    • Et bien j’ai choisi que chaque fois que j’entends le mot printemps je ressens de la joie et du courage. Le printemps pour moi c’est un redémarrage ! Un nouveau départ !
    • Lorsque j’irai voter, l’année prochaine un autre ancrage se déclenchera… Et là nous verrons bien si la pensée positive s’oppose à la raison 😉

    Viktor Frankl écrivait :
    « Entre le stimulus extérieur et la réponse que l’on donne nous avons la liberté de choix »

    Je terminerai par ces phrases qui dirigent ma vie :

    • Ce n’est pas parce que j’ai raison que les autres ont tord
    • Ce n’est pas parce que les autres ont raison que j’ai tord

    Et pour finir donc :

    Nul besoin de monter à l’autre que son chemin est mauvais
    pour se prouver que le sien est bon !

    Je reste persuadé que la pensée positive n’est en rien opposée à la réalité et c’est pour cela que j’ai choisi d’utiliser l’Appreciative Inquiry dans mes accompagnements en Coaching.

  • Appreciative Inquiry pour inscrire dans le temps le Team-Building

    leaderDans son article « De la samba à l’action humanitaire, les nouvelles idées du management » du 16 août 2011 de La Croix, Guillaume PAJOT indique plusieurs points qui m’ont semblés intéressants pour vérifier ensemble, la méthode Appreciative (Apprecaitive Inquiry) , et sa pertinence dans le cadre d’un TB (Team-Building)

    • Le collectif a pris le pas sur l’individu.
    • L’entreprise utilise cela comme une forme de communication où sont instrumentalisés les collaborateurs
    • Les actions ne s’inscrivent pas forcement dans le temps
    • Efficacité pas toujours démontrée

    Pour expliquer comment la méthode appreciative (Appreciative Inquiry) s’affranchit de ces écueils, un petit rappel s’impose, et donc je vais indiquer le diverses phases de la méthode :

    1.  Définition : C’est la partie de définition de l’objectif positif et qui fait l’unanimité ! L’objectif vers lequel tend le dirigeant et les collaborateurs
    2. Découverte : Travail en binôme où chacun découvre chez son interlocuteur les talents et les qualités de celui-ci en rapport avec l’objectif
    3. Devenir : Travail en sous groupe sur le partage des souhaits pour l’avenir
    4. Décision : Travail en réunion pleinière où chaque sous-groupe fait part de ses découvertes et des ses aspirations pour prendre la décision sur les projets à suivre
    5. Déploiement : Travail en groupes de projet pour établir dans le temps, les souhaits à mettre en oeuvre.

    Bien entendu cette méthode ne fonctionne que si l’on a les 3 piliers suivants bien acquis par le management :

    • Positif
    • Participatif
    • Contributif

    En conclusion :

    • L’individu est sollicité à chaque étape.
    • Si la communication est nécessaire ce sont les collaborateurs qui vont le faire d’eux-même en étant les commanditaires de cette communication.
    • Les actions sont inscrites dans le temps par la phase 5 et par les qualités découvertes dans le processus, et qui permettent de faire un vrai bilan des forces de l’entreprise
    • L’efficacité n’est pas à démontrer puisque les projets se déroulent dans le temps et que l’implication des salariés et mesurable directement pendant le processus.

    Vous voulez en parler avec moi ? Alors rencontrons-nous et inscrivez vos actions dans le temps pour construire votre avenir  sur vos talents.

    Pensez à l’Appreciative Coaching.

    Bien à vous
    Pierre