Catégorie : Coaching

  • Le PSG champion ? Oui mais … Le bonheur là-dedans ?

    gooooooooalJe viens de lire un article sur l’équipe ce matin. Avec deux titres très caractéristiques de l’ambiance dans ce sport, et dans beaucoup d’autres d’ailleurs.

    • Titre 1 : La PSG fait la fête à moitié
    • Titre 2 : Paris, un sacre très mou

    Pourtant si je regarde ce qui s’est passé effectivement :

    • Le PSG est champion de France deux jours avant la fin du championnat
    • Le PSG n’a pas perdu de match à domicile depuis novembre 2012 et c’est donc la première défaite à domicile de la saison en ligue 1
    • Le PSG à perdu seulement 3 matchs dans la saison actuelle
    • Le PSG peut encore être la meilleur équipe, en nombre de points, de tous les championnats. Le record est détenu par Lyon en 2005 avec 84 points. Le PSG a 83 pts aujourd’hui (nombre de points obtenus par le PSG l’an dernier). Donc, il suffit au PSG de gagner UN seul match pour passer devant (ou 2 match nuls)

    Vous pouvez vérifier cela sur http://www.psg.fr/fr/News/201001/Calendrier-Resultats

    Cela corrobore, complètement les constations faites par la psychologie positive.

    1. Le bonheur n’est pas seulement lié à la performance et au résultat. Mais à la tension générée pour atteindre ce résultat.
    2. On s’habitue au plaisir et il ne génère plus autant de bonheur quand il se répète. cela devient « habituel » et donc il ne faut pas confondre le plaisir et le bonheur.

    Vous vous rendez-compte ?

    Ce club est le meilleur club du championnat de France. Il est en passe de devenir le meilleur club, en terme de résultat, du championnat de France. Et simplement, parce qu’il perd un match à domicile dans l’année, la fête est gâchée ?

    La semaine dernière Guingamp a gagné la coupe de France et … Ce fut une explosion en Bretagne ! Alors ? Pourquoi cette différence ?

    Combien de personnes suivent cette route dans leur vie ? Il sont habitués à la réussite. Des résultats fantastiques aux examens. Une place enviée et souvent enviable dans leur profession. Un conjoint de rêve (homme ou femme), compréhensif, aimant et attentionné. Des enfants, qui sont sans problèmes. Et … Ils se font chier. (Et oui c’est vraiment le mot !)

    6a00d834209e6353ef01538fc332d6970bCombien de personnes imaginent et espèrent être à leur place, pour avoir le plaisir et l’argent et la beauté et la réussite et… En fin de compte, courent après le bonheur vers une perfection, qui une fois atteinte, les emmerde.

    Souvenez-vous des voitures de course très puissantes en formule 1 qui gagnaient TOUTES les courses. En prétextant que cela devenait dangereux pour les coureurs et les spectateurs, et d’ailleurs cela était vrai, la fédération des coureurs automobiles, a limité la puissance des voitures, pour laisser plus de place au « talent » des pilotes. Et il ont de ce fait, relancé l’intérêt des compétitions. Pour la natation ? Même combat avec les maillots. Pour le football aujourd’hui on a vu apparaître la nouvelle notion de fairpaly financier en 1995 pour contrer les déficits abyssaux des clubs, en matière de finance. Pour « la morale » dixit Platini. En fait cela, pourrait bien aller dans le sens de redonner, un sens à tout ça, sous peine de votre les championnats de foot perdre de leur intérêt. Mais cela n’est pas stricto sensu, légal, au dire de certains avocats qui considèrent cette limite comme un frein illégal aux investissements car ce serait une atteinte au droit communautaire de la concurrence (SIC). On le voit nous naviguons dans un potage pas très clair où la confusion la plus totale règne.

    Alors quelle solution à tout cela ? Et si nous changions nos lunettes et la méthode d’accès à notre information ? Et si nous nous tournions résolument vers les résultats de la psychologie positive ? Vous voulez une idée de livre pour comprendre mieux le problème ? L’apprentissage de l’imperfection

    Pour finir cette citation qui illustre bien notre manière de voir le monde :
    « Il n’y a que deux façons de vivre sa vie; penser que rien n’est un miracle ou penser que tout est un miracle »
    Albert Einstein

     

     

  • Est-ce que la psychologie positive peut aider les pessimistes ?

    6a00d834209e6353ef0168ebf54e29970cC’est une vraie question que je me suis posée ce matin, en regardant mon écran. Je me suis connecté à Facebook et là, je vois un lien vers un article proposé par un de mes amis. (Petite digression : Sur Facebook chaque personne que avec qui j’établis un lien est une personne que je connais, et avec qui j’échange réellement. Ce n’est pas simplement une « liste sans valeur pour moi ». C’est peut-être pour cela que la liste n’atteint pas les 150 membres…). C’est un article sur le bonheur des Danois : « Pourquoi les danois sont-ils les plus heureux du monde ? » et le premier commentaire sur ce post était « Connerie habituelle plein de poncifs, sur le concept de « heureux » !!! Oui comme les couleurs se discutent depuis la nuit des temps, puisque très personnel !! »

    Et voilà tout est dit en une phrase : Si des gens sont heureux c’est une connerie ! Pas besoin de savoir ce que les danois entendent par « Bonheur »… le bonheur c’est « personnel » ! Ben voilà … Pourquoi étudier le bonheur finalement ? Cette personne par son commentaire balaye d’un revers de la main  toutes les études faites sur le sujet. Les universitaires qui planchent depuis des années sur le sujet sont tous des C…

    Pourtant quand on lit l’article on comprend bien que c’est la présentation d’un livre où une Danoise explique selon ses propres critères comment se fait-il que les danois soient les plus heureux du monde. Tout le mon de sait que ce livre est « partial » et orienté pour expliquer les raisons d’un bonheur constaté. Ah oui ce bonheur il est quand même constaté par un enquête « mondiale » alors ? Où est le problème ?

    La grande différence entre un optimiste et un pessimiste vous la connaissez ?

    • Un pessimiste, qui rencontre une difficulté pense qu’elle va se reproduire et que c’est structurel. Par contre le bonheur c’est le hasard est c’est conjoncturel
    • Un optimiste, qui rencontre une difficulté pense qu’elle ne va pas de reproduire que c’est conjoncturel. Par le bonheur est structurel et reproductible.

    Comment voulez-vous que le dialogue puisse s’établir entre eux ?

    Les pessimistes justifient leur état en se disant « pragmatiques » et traitent les optimistes de rêveurs dangereux ! Ont-ils tort ? Pas tout le temps, car certains optimistes invétérés ne sont pas réalistes du tout. Et il y a la fameuse confusion entre « pensée positive » et « psychologie positive »

    D’ailleurs certains journalistes chroniqueurs (euses) de France Inter vont même jusqu’à railler la psychologie positive la réduisant à la méthode Coué (qui soit dit en passant n’est pas complètement nulle en soit !)

    Et si comme hypothèse on ne cherchait pas à donner la définition du bonheur mais simplement dire que « le bonheur c’est quand je me sens heureux ». Et chacun pourrait simplement par une introspection régulière se poser la question suivante « En faisant ce que je fais maintenant, là, immédiatement, à combien suis-je heureux sur une échelle de 1 à 10 ? »… Et prendre note de cela… On dessinerait alors progressivement, sa propre définition du bonheur… Puis il suffirait de changer les contours de ce que l’on veut augmenter, pour augmenter sa perception globale du bonheur. C’est simple comme… Une véritable introspection quotidienne… Et finalement, peut-être que la vraie question est : « Et si j’étais réellement moi-même, qu’est-ce que je ferais ?« .

    Personnellement j’ai pris à mon compte la question suivante : « Et que ferait l’amour à ma place ?« 

  • L’expérience vécue en conscience est la réalité.

    Vous connaissez Mihaly Csikszentmihalyi ? Pas facile à prononcer comme nom hein ? J’ai trouvé sur le site http://fr.forvo.com/ cette prononciation.

    Finalement c’est plus facile quand on l’écoute sur cet enregistrement. Entrainez-vous !

    IMG_6820Cela éclaire ce dont je voulais vous parler aujourd’hui : « C’est l’expérience vécue consciemment qui est la réalité pour chacun » . (Milahly Csikszentmihalyi)

    Epictète qui a vécu au 1er siècle après J.C. disait « Les hommes ne sont pas effrayés par les choses, mais par la façon dont ils les voient« 

    Et Pascal (1623-1662) lui disait « Nous ne vivons jamais, mais nous espérons de vivre; et, nous disposant à être heureux, il est inévitable que nous le soyons jamais. »

    Certains ne vivent d’ailleurs qu’en attendant un éventuel paradis que leur promet leur religion (Voir les religions dîtes du livre). D’ailleurs, certains iront même jusqu’à nier ce que j’ai écrit plus haut en me disant la réalité n’est pas de ce monde mais dans le prochain, celui qui est après la mort. Bah… Si cela leur permet de vivre heureux. Heureux ? Justement c’est la vraie question, que nous nous posons tous. Comment être heureux ? C’est quoi le bonheur ?

    La psychologie positive étudie cela en profondeur, et fait de grands progrès. Comme souvent d’ailleurs quand la méthode scientifique est appliqué à un domaine, celui-ci progresse très rapidement… ou reste à l’écart car non soluble dans la science, il n’est que rarement accessible, à l’homme.

    La psychologie positive, va dans le sens de la réconciliation avec les voies initiatique ou le vécu est essentiel, mais par un chemin différent. C’est passionnant que de s’apercevoir que les philosophes ont pu accéder à ces connaissances simplement par leur vécus personnels. Sans avoir à leur disposition, une armada de chercheurs et d’étudiants. Et c’est passionnant que de s’apercevoir que la science, à mis tant de temps à se mettre à la recherche du bonheur, qui est pourtant la chose que TOUT le monde recherche finalement.

    Nous sommes éduqués en pensant que le meilleur est « à venir » … Ce sera plus tard que nous serons heureux… Le travail et la soumission aux lois nous apportera « la bonne vie ».  Cela permet à certains hommes peu scrupuleux de nous manipuler, pour nous promettre que le bonheur sera là demain (voir les diverses religions, et les divers partis politiques…). Tout tient dans les promesses « d’avenir meilleur ». Comme quand nous étions jeunes.

    Nous confondons, la recherche du plaisir et la recherche du bonheur. Or la recherche du plaisir est inscrite dans nos gênes. Il suffit donc pour les diverses cultures de se servir de ces deux écueils pour « piloter » les humains. Cela s’exprime par : « Le bonheur viendra demain et en attendant laissons nous piloter par le plaisir immédiat »

    Or cela ne fonctionne pas pour la quête du bonheur !

    Pour aller vers le bonheur il est nécessaire de savoir « cueillir l’authentique plaisir de la vie » c’est à dire vivre des activités autotéliques (expériences optimales) indépendamment des impératifs du corps et des contraintes sociales.

    Pas facile cela ? Hein ? C’est ce que Tal Ben Shahar appelle des objectifs « auto-concordants« 

    Pour cela il est nécessaire d’élever notre niveau de conscience et cela passe par … La pratique quotidienne de la méditation consciente !

    Et attention au piège de la formalisation de cette méditation, qui ne répond pas forcement à l’objectif initial qui est la « libération de l’esprit ».

    Combien de techniques sont devenues des dogmes et des pratiques rigides qui se sont complètement éloignées de l’objectif en asservissant l’esprit qui voulait se libérer. Il est nécessaire donc d’expérimenter et savoir régulièrement arrêter la pratique et regarder le marcheur qui marche… On rejoint ici la nécessité de l’altérité pour l’observation de sa propre indépendance.

    C’est bizarre ça hein ? Pour être libre, j’ai besoin du lien à l’autre. On rejoint ici l’essence du coaching.

    Allez c’est assez pour aujourd’hui… A suivre 😉

     

     

     

  • Numéro masqué et autres joyeusetés.

    6a00d834209e6353ef0163005f19a9970dCe matin, je vous écris pour partager avec vous un moment de rire, sur le principe « partage ta joie et elle augmente » (Voir l’article précédent sur le sujet).

    Mon téléphone portable est un lieu de rencontre. C’est un outil des plus utiles pour parler avec ceux que j’aime. Il a la particularité de m’afficher le numéro de l’appelant. Mais je recevais régulièrement des appels de personnes qui voulaient me vendre des « fenêtres » de tout poil pour voir le monde à travers des carreaux plus propres. Cela m’indisposait au plus au point alors, je me suis mis à ne plus répondre aux numéros masqués. Et… Mon répondeur lui recevait les « messages vides » et en plus m’envoyait un SMS pour me dire…. « Un numéro inconnu vous a appelé et n’a pas laissé de message ». Très intéressant comme message non ?

    Je me suis dis donc et si je filtrais les appels anonymes. Et j’ai activé un programme qui me permet

    • De filtrer les SPAMS identifiés comme tel sans autre forme de procès
    • De filtrer les numéro masqué et de les envoyer vers un répondeur, non enregistreur où je précise que « mon téléphone n’accepte pas les numéros masqués et donc si vous voulez me joindre, démasquez votre numéro ou appelez d’un autre poste non masqué. »

    Et la semaine dernière j’ai reçu un message d’un numéro que je ne connaissais pas. la personne me disait : « Je m’appelle XXXX, et je vous ai appelé avec un numéro masqué. Mon numéro de portable est le YYYYYYY. Vous pouvez me joindre dès que possible ? »

    LOOOOOOOLLLLL…. Voilà ce que j’appelle quelqu’un de précis. Croyez-vous que je vais le rappeler ? Et la marmotte met le papier alu….

    Belle journée à vous.

  • Quand se faire coacher ? Et même quand on est soi-même un coach ?

    6a00d834209e6353ef011168946918970cDans un document que j’ai vraiment apprécié d’un collègue coach qui s’est plutôt spécialisé dans l’accompagnement au retour à l’emploi et au repositionnement.

    Une des résistances indiquées à l’achat d’un accompagnement en coaching est « Je pense être aussi efficace par moi-même » et il conclut par « Se faire coacher impose d’avoir l’humilité de demander de l’aide »

    Et bien si je souscris à son analyse, je rajouterai quelques exemples pour éclairer cela. Et comme « charité bien ordonnée commence par soi-même ». je vais encore une fois, prendre un exemple personnel.

    Je suis coach ! Et certain disent même que je suis un BON coach et cela me ravit. Pour ceux qui me connaissent, vous savez que j’ai un excès de poids, depuis quelques années. Bien-sûr, je suis passé par des hauts (autour de 115 Kg) et des bas (autour de 70 kg en sortant d’une opération importante (colectomie totale) ).

    Alors j’ai voulu stabiliser mon poids en stabilisant ma vie depuis 2004. J’ai commencer par arrêter de fumer et mon poids, lui, a continué à grimper joyeusement. En 2009, j’ai commencé un régime avec un site http://savoir-maigrir.aujourdhui.com/ et la belle photo de Jean-Michel Cohen. Il se présente comme un « coach » sur son site. Et…  Je me suis retrouvé seul devant un site web.

    Coaching ? Vous appelez cela coaching ? Moi j’appelle cela un site de « truc et astuces et de recettes pour maigrir ». Ah oui ! Pour maigrir ? J’ai maigri… Pendant 2 mois puis mon bel enthousiasme s’est émoussé et, petit à petit, j’ai arrêté ces interminables listes de courses qui me coûtaient très cher, et qui me faisaient passer un temps fou, à faire les courses ! Et où est le coach ? Des forums … Impersonnels… Seul…. Et j’ai repris mon poids (et plus si affinités) !

    J’ai ensuite testé le régime dit « DUKAN » et là … J’ai fondu comme neige au soleil pendant 2 mois … Puis … Seul…. J’ai repris du poids allègrement !

    Alors n’écoutant que mon courage, j’ai pris de grandes résolutions… Je vais aller voir une diététicienne… Puis … J’ai abandonné… Encore seul …

    Et mes outils de coaching alors ? Comment se coacher pour cela ? Je sais que la volonté ne suffit pas ! J’ai payé pour voir en m’arrêtant de fumer… Et j’ai réussi!

    Comment ? Je me suis fait aider! Et ça marche dans la durée : « J’ai arrêté de fumer depuis le 2 novembre 2004. » Merci à l’hypnose et mes amis coach Valérie Pascal, à ma formatrice en hypnose Monique Ruty, et à mon médecin, mon pharmacien et tous mes amis qui mont soutenu tous activement. Et j’ai réussi …

    Et je continue. Aujourd’hui je suis un « fumeur abstinent » et je n’ai pas la prétention d’être « non fumeur »

    Et j’ai surtout compris que je ne peux pas réussir « seul » !

    Ben oui… L’humilité passe souvent par l’apprentissage de l’humilité. Alors quoi ? Je vais rester obèse ? NON !

    J’ai décidé de ne pas rester seul et j’ai choisi une méthode pour apprendre à manger selon mes besoins et en restant dans la bonheur et dans la joie. Et … ne pas rester seul devant mon frigo, LOL…

    Alors je me suis rapproché de WeightWatchers et là j’ai vu qu’il y a avait plusieurs options… L’option internet seul ou l’option avec réunions… LOL ! Je vous ai dit ce que je pense des options « seul » et bien « internet seul » c’est SEUL ! Et il n’en est pas question…. J’ai été à la première réunion et je me suis retrouvé, le seul « homme » de la réunion… Il n’y aurait que des femmes obèses ? Ou il n’y aurait que des femmes qui seraient assez humble pour accepter d’être aider ?

    Je vous raconterai la suite …

    Pour l’instant je sais que je vais investir pour mon bien-être… Je suis obèse depuis plus de 20 ans… je pense que l’investissement minimum sera de 10% du temps passé avec des mauvaises habitudes alimentaires, pour changer mes habitudes réellement… Donc 2 ans ! Cela fait un investissement prévisible de 40€ X 24 mois = 960 € …  Plus le podomêtre et le calculateur (la balance je l’ai… 🙂 = 1000 €

    Finalement le bien-être à 1000 € sur 2 ans ?  Ou la galère de solitude Cohen à 696 € sur 2 ans ou rien à investir sauf sa santé avec Dukan.. J’ai choisi. Ce n’est pas une question de tarif mais d’adéquation entre investissement et résultats espérés. Et le coaching c’est ça !

    Mon espoir est passer de « obèse » à « en forme ! » et cela a un prix.

    A vous maintenant. Imaginons que vous vous fassiez coacher pour vous même ? Une fois la barre de l’humilité passée 😉

    Combien seriez-vous prêt à investir sur 3 mois, pour atteindre votre objectif ? Avec un coach individuel ?

    • 1000 € ?
    • 1800 € ?
    • Plus ?
    • Ou nettement moins ?

    Comparez avec les investissement pour maigrir en coaching collectif…. Là je vous parle de coaching individuel… Avec le coach rien que pour vous une fois par semaine et un link-coaching (c’est à dire des coups de fils « coaching flash »… Ben voilà à 1800 € sur 3 mois, je peux vous accompagner !

     Bien entendu la plupart des objectifs ne nécessitent pas 3 mois et loin s’en faut. Alors ? C’est facile non de se faire du bien ?

     

     

     

     

     

  • La vie en société. Ce n’est pas toujours facile. Est-ce simple ?

    6a00d834209e6353ef01538e6e3077970bUne réponse à coup de serpe est : « Non ! Ce n’est pas simple ! » et pourtant cela pourrait le devenir.

    Alors pourquoi cette question aujourd’hui ? Une de mes stagiaires (coach en formation), m’a envoyé un message du type : « Bonjour Pierre, supposons que je sois tout le temps dérangée, par les gens qui mangent en faisant du bruit. Comment peut on contrôler notre gêne sans vexer les autres ?« 

    Et cela m’a interpellé car moi aussi je suis gêné par les gens qui mangent avec moi, la bouche ouverte, et, font ostensiblement du bruit en mangeant. Et cela m’a renvoyé à d’autres gênes que j’ai rencontré depuis que je suis fumeur abstinent (depuis le 2 novembre 2004). En effet, j’ai retrouvé le sens de l’odorat et je suis gêné par certaines odeurs corporelles, ou les odeurs de tabac froid sur les vêtements.

    Or les personnes concernées ne sont pas forcement conscientes de cela et pourtant je peux pour certaines, les aimer vraiment très fort, voire que cela touche des proches comme mes fils dans certains cas. Alors quoi ? Je coupe le contact ? Je fais quoi ?

    Dans le cas qui nous intéresse ici (celui de ma stagiaire) :

    1. Quels sont les usages au Maroc ? ici en France les usages sont “manger la bouche fermée en présence des autres est un signe de respect de l’espace sonore et visuel de mes voisins.”
    2. Peut-être qu’un simple retour aux basiques permet de régler le problème ? Pour les jeunes et les enfants, cela s’appelle « éduquer”
    3. Pour les autres, on peut, lui poser des questions comme :
      • Imagine que ton comportement indispose ton voisin alors que tu ne le fais pas exprès, accepterais-tu de revoir ce comportement pour garder de bonnes relations avec lui ?” *
      • Est-il indispensable pour toi de mâcher la bouche ouverte, ou simplement, tu n’y penses pas ?
      • Peux-tu arrêter de mâcher la bouche ouverte car cela me dérange beaucoup ?
      • Cela me mettrait dans le confort si tu acceptais de manger la bouche fermée car cela me dégoûte.
    * C’est souvent par cette question que je vais commencer. Elle est suivie par la 4 ème.

    Bien entendu si cela ne me gêne pas, ou que ce comportement est exceptionnel, cas d’un rhume par exemple, je ne dis rien, et je prends sur moi. Sinon je le dis.

    Je pratique cela aussi avec les odeurs dérangeantes, d’ailleurs.  J’ai dit aux femmes qui me côtoient “Pas de bise quand vous avez fumé, merci, car cela me retourne l’estomac, alors, si vous ne voulez pas que je vomisse sur vos épaules, avant de m’embrasser, pensez-y ».

    Pour les odeurs corporelles, il en est de même, si je ne peux pas éviter d’être proche (en terme de distance) de quelqu’un je lui dit gentiment, mais je le dis. Et si les personnes se vexent alors, je romps les relations (proches, et repas) avec elles.

    Bien-sûr je travaille sur ma concentration pour éviter la gêne, comme je l’ai dis précédemment. Je prends sur moi dans certains cas.

    Pour cela j’utilise un concept simple :

    « La concentration c’est ce qui me distrait de tout ce qui peut me distraire« 

    • Je vais choisir une variable (quelque chose que je peux changer) externe, sur laquelle je vais focaliser mon attention. Par exemple : « Je vais observer attentivement la disposition de mes aliments dans l’assiette, leur couleur, leur position par rapport au centre, leur forme, etc… »
    • Ja vais aussi choisir une variable interne, comme les sensations que je ressens dans ma bouche au contact des aliments, leur texture, les goûts que je ressens… Leur chaleur, etc…

    Pendant je suis focalisé sur ces variables, je ne pense plus à mon interlocuteur qui mange la bouche ouverte et je ne le regarde plus ! Et cela va fonctionner.

    Le problème c’est mon comportement va sembler un peu autistique à mes autres interlocuteurs, au bout d’un moment 😉

    Le plus simple n’est-il pas simplement de communiquer en indiquant mes propres besoins à mes interlocuteurs ? 

    Donc maintenant, je vais répondre à la question initiale, la vie en société n’est pas toujours simple, et cela peut le devenir en apprenant à communiquer, et exprimer nos besoins. Et finalement c’est simple.

    COMMUNIQUONS !!!!

  • Il faut savoir …. ou pas ?

    Ce matin je reprends le clavier, après ce long week-end de Pâques et ce lundi où j’ai pu assister à un concert de l’ensemble Les violons de France à la Madeleine (voir l’extrait sur Youtube)

    [youtube http://www.youtube.com/watch?v=7yvb-f3t-54]

     

    Une bien belle musique qui correspond à l’humeur du moment. Aujourd’hui je suis en plein deuil. Or cette musique me renvois à l’époque où naissait Létitia, Jérémy, Ange et Valentin qui sont tous nés sur cette belle Musique de Vivaldi. (La 4 saisons). Un deuil souvent en appelle un autre. Et j’en ai vécu des deuils. Vous aussi ? Tant mieux ! Chaque deuils nous permet de passer à l’étape suivante même si le deuil est lourd ! Et même surtout si il est lourd. Après un deuil vécu et traversé, si vous sortez de ce deuil « par le haut » et que vous surviviez, alors vous sortez du deuil plus grand, plus fort, et avec une plus grande capacité au bonheur. (Voir les travaux de Martin Seligman)

    J’écoutais ce matin une chanson d’Aznavour, « Il faut savoir » où, il dit :  » Il faut savoir cacher sa peine, sous le masque de tous les jours ». Et je constate comme c’est difficile de savoir faire cela. Et la question, en corollaire, c’est « pourquoi faire ? »

    Oui pourquoi cacher sa peine ? Je n’ai pas le droit d’être triste alors que je vis un deuil ? Nous vivons dans un monde où « IL FAUT MONTRER UNE JOIE DE FACADE ». Il suffit de regarder toutes ces pages « Facebook » où tout le monde nous explique qu’il est le plus heureux …. Et ceux qui par malheur ne le sont pas… Leurs amis réagissent instantanément en leur disant « Mais il faut garder la tête haute » !

    C’est bizarre ça … D’un coté sur France Inter ce matin dans « le Grand Bazar » on nous expliquait que les Français sont le peuple le plus pessimiste du monde et d’un autre coté … Il faut savoir …..

    Ben moi quand je suis triste, je le dis… Et vous savez pourquoi ? Quand j’étais gamin j’ai lu une phrase qui a changé ma vie :

    « Partage ta peine, elle diminue ! Partage ta joie, elle augmente ! »

    Alors, voilà je suis triste car je clôture une belle aventure, qui a durée 6 ans avec mes amis de Casablanca. Bien-sûr je continue avec mes amis de Tanger et mes relations avec mes amis marocains ne sont pas closes. Seule la formation de coach de Casablanca s’arrête et c’est pour cela que je suis triste.  Demain, sera un autre jour ! La formation de coach continue à Paris et c’est magnifique car je vais pouvoir maintenant travailler pleinement avec le groupe « Business coaching de No Limit Coaching » et cela me remplit d’espoir, sans effacer ma peine. Je n’oublie pas le passé, je tourne simplement la page.

  • J’arrête aujourd’hui.

    Selon l’adage « il est plus facile d’arrêter aujourd’hui une mauvaise habitude que de le faire demain. » et donc c’est décidé ! Aujourd’hui et après avoir mûrement réfléchi à toutes les conséquences de mes actes présents sur le futur de l’humanité. J’ai décidé solennellement d’arrêter ! Oui, effectivement, cela ne peut plus durer. Il y a trop longtemps de que je me dis que je vais arrêter, sans arrêter, de le faire. Alors c’est vraiment décidé j’arrête !

    Aujourd’hui j’ai beaucoup d’activités en parallèle. En fait je n’en ai que deux, professionnellement s’entend.

    • D’une part je suis business coach, c’est à dire que j’accompagne tout ou partie de l’entreprise pour permettre l’implémentation stratégique en entreprise à tous les niveaux du management
    • et je suis formateur.

    Alors c’est décidé j’arrête ! Bon Pierre … Tu arrêtes quoi en fait ?

    C’est simple, non ? Je n’ai que deux activités professionnelles distinctes qui toutes les deux tournent autour du coaching. Alors vous n’avez pas compris ? J’ai dit que j’arrête, et ce n’est pas la peine d’y revenir ! Vous avez tout lu, la solution est sur cette page ? Alors vous avez trouvé, bien-sûr… J’arrête de… LOL … Cherchez bien ! Demain ce sera trop tard !

    poisson-rouge

     

    Bon alors voilà la solution : « J’arrête de faire des poissons d’avril complètement débiles ! » mais finalement ce sera demain que je vais arrêter…
    Peut-être … 

    Mais je suis sûr que vous aviez compris … Non ?  😉

  • Le printemps des coach 2014

    J’y participe en tant que coach et vous ? Voulez-vous découvrir le coaching ? 3 séances gratuites !

  • Les jeunes recherchent le bonheur, et les cinqua , alors ?

    HappyNous avons été avec Brigitte, mon épouse, visiter une exposition à la Gaïté Lyrique. « The Happy Show » de Stefan Sagmeister dont l’exposition fini le 9 mars. Ce fut une belle heure. Oui c’est cela une heure voire Une heure 30, et pour certains c’est deux heures de visite dans le bonheur.

    Une exposition sur le bonheur ? Je me suis dis, moi, qui suis coach, « Whouaouuuu, je DOIS y aller ! ». Et, bien-sur, je n’ai pas appris grand chose car j’ai lu les ouvrages de Seligman, de Sonja Lyubomirsky. Bien-sûr et donc je connaissais tout cela. Alors pourquoi y aller ? Parce c’est simplement un lieu ou une personne partage en toute simplicité, avec nous, ce qu’il en fa ait ! Oui, c’est frai ça. Qu’a-t-il faut de tout ça ?

    Il y a des moments de rêve et des moments de pure joie. Des choses bizarres, où l’on voit des gens faire la queue pour un simple chewing -gum…. Et se donnent la chance de partager avec les autres un moment de pure convivialité sans stress !

    faire la queue pour un bonbon dans la joie et la bonne humeur. Vous vous rendez compte ? A notre époque de vitesse  où attendre est une infamie sur pattes pour certains. La preuve, le nombre de personnes qui abandonnent parce qu’il faut faire la queue devant un magasin… Et bien là non ! Ils attendent ! Personnellement, j’ai un appareil dentaire alors … Pas de queue pour ça et les bonbons au gingembre-caramel, non plus…. Mais par contre voir les visages de ceux qui découvrent et sont heureux de partager le concept…

    En plus c’est une vrai pub pour mon activité ;: LOL regardez cette photo… c’est le discours de quelqu’un qui pratique l’hypnose. Et quand vous savez que là c’est la science, qui nous appuie … Quelle pub ! 😉

    Et ce fut un vrai moment de « bonheur » ! Quelle ne fut pas ma surprise … Il n’y avait que 2 cinqua …. Brigitte et moi…. Et nous étions mort de rire, et nous étions des jeunes nous aussi.. Mais pourquoi seulement nous ? Où sont passé les cinqua ? Les journaux disent que les Français sont pessimistes. Est-ce vrai ?

    Vous y avez été à cette exposition ? Non ? Allez-y c’est plein de jeunes de moins de 30 ans. Etonnant-non ? Est-ce une conséquence des réseaux sociaux et des effets de buzz ? Comme pour cette chanson « Happy » ? Qu’en pensez-vous ?