Catégorie : Coaching

  • Un cadeau empoisonné : Voilà !

    6a00d834209e6353ef0176173d3f34970cAvez-vous remarqué les tics verbaux actuels dans les médias ?

    Je n’ai toujours pas télévision, donc je reste très attentif à ce que j’entends plus qu’à ce que je vois car il n’y a pas d’images, et les tics verbaux me « sautent à la figure » comme certaines puces de bois prolifèrent au mois d’août dans certains planchers en bois.

    Nous sommes passés du « Au jour d’aujourd’hui » au « C’est clair »…  Aujourd’hui je vais vous faire un petit cadeau empoisonné : Recherchez les « Voilà »

    Tadddddddda et roulement de tambour et …. VOILA !!!

    C’est fini le cadeau est lancé… et moi je suis mort de rire… Enfin pas vraiment mort… Juste en plein fou-rire pour ce cadeau est empoisonné ?

    Dans la série Monk, on peut suivre un ancien policier, devenu consultant pour la police qui souffre de TOC (troubles obsessionnels compulsifs (voir MONK sur Wikipedia)…

    Donc certains d’entre-vous vont maintenant me haïr… Vous savez ? Tous ceux qui vont être perturbés par les Tics verbaux,  au point de ne plus rien comprendre de ce que dit un interlocuteur qui ajoute « Voilà » à chaque fin de phrase….

    Et VOILA ! Bonnes vacances 😉

    PS : Mais au fait… Peut-être que ce serait un coup de pub (génial !!!!) pour un journal ou un site WEB, ou une marque ?  Etonnant non ?

    Bien à vous

  • Gérer son handicap passe son acceptation.

    Handicap-tousSavez vous combien en pourcentage de personnes sont atteints d’un handicap « non visible » ? D’après vous ? 30%, 50% ou 80% La réponse est 80%

    Et combien en pourcentage les personnes en fauteuils roulants représentent ? Je ne vais pas faire durer le suspens, c’est seulement 3% !

    De plus, savez combien de personne handicapées qui travaillent sont reconnues « TH » (Travailleur handicapé) ? D’après vous ? 30%, 50% ou 80 % ? La réponse est : 30 % seulement.

    Quand on sait que le taux de chômage pour les personnes handicapées est de 250% supérieur au taux de chômage global… On a une idée, du pourquoi les personnes handicapées ne courent pas après le statut de travailleur handicapé, et vivent plutôt en essayant de ne pas reconnaître leur handicap sauf quand elles ne peuvent plus le faire !

    J’y suis moi-même passé par là… Je suis en situation de handicap depuis 1996 et je n’ai réellement accepté ma situation de travailleur handicapé que en… 2011 !!!! Ce n’est pas vieux hein ?

    Bien sûr, j’avais depuis 2006 la carte qui permet d’éviter les files d’attentes que je ne pouvais plus supporter physiquement et aussi la carte de stationnement pour me permettre un accès plus rapide aux diverses commodités en fonction de mon état….

    Mais je dois aujourd’hui reconnaître, que ma vie a réellement changé, depuis que j’ai ENFIN, accepté ma situation et mon handicap.

    En ce moment j’accompagne des personnes, et oui, je suis coach, donc c’est mon boulot d’accompagner les gens vers leurs objectifs ;), sur le sujet brûlant :

    Comment présenter son handicap en entreprise et comment le gérer ?

    Car contrairement aux idées reçues « Handicap n’est pas, synonyme de, perte de performance dans l’entreprise. Il existe bien des moyens de gérer son handicap.

    Bien entendu, on pense tout de suite aux postes ergonomiques et aux adaptations de bâtiments (plans inclinés, etc…)… Mais pour les 80% de personnes aux handicaps non visibles, comment gérer son handicap ?

    • Souvent cela passe d’abord, par équilibrer sa vie et ses domaines de vie.
    • C’est accepter le changement et s’y préparer. c’est souvent accompagner le changement et donc connaître les phases du modèle du Hudson par exemple…
    • C’est travailler à entretenir son camp de base…

    C’est… Un travail d’abord « PERSONNEL » !!!!

    Et la nécessité de ce travail personnel passe par … LA PRISE DE CONSCIENCE QUE NOUS SOMMES LES PREMIERS RESPONSABLES (pas coupables 😉 Seulement responsables) DE NOS CHOIX.

    Et de se souvenir de la phrase de Viktor Frankel :

    « Entre le stimulus extérieur et la réponse que nous donnons,
    nous avons la liberté de choix »

     Lors de mes derniers accompagnements, j’ai souvent rencontré, d’abord, la remarque :

    « Mais cela sert à quoi de savoir présenter son handicap ? Moi je n’en parle pas ! Cela évite de faire peur aux autres et surtout aux employeurs… »

    Eh bien cela est FAUX : « Ne pas en parler c’est justement faire peur aux employeurs… Vous avez quoi à cacher ? » Savoir présenter son handicap est un moyen de montrer sa capacité d’adaptation et de présenter les avantages réels que nous avons en tant que travailleur handicapé.

    A la fin du compte, les personnes accompagnées reconnaissent : « Je suis plus à l’aise face aux autres, et je sais quoi répondre quand on me questionne au lieu d’essayer de noyer le poisson, et finalement mettre tout le monde mal à l’aise. »

    Il ne s’agit pas de se plaindre, ou de se faire plaindre …. Ne pas entrer dans le triangle de Karpman (Sauveteur-Victime-Persécuteur) où n’oublions que c’est la victime souvent qui déclenche le jeu psychologique. Alors comment ne pas entrer dans le jeu psychologique ? D’abord être factuel… Et pour cela ? Il est nécessaire d’accepter de se regarder en face… Avec son handicap. Et pour cela la méthode la plus adaptée que j’utilise est l’Appreciative Inquiry ….

    C’est quoi ? Demandez… ou regardez sur ce blog….

    Bien à vous

  • Engagement personnel VS engagement collectif

    6a00d834209e6353ef0167690bcf4c970bJe reviens de mon île ! J’étais en vacances… Au sens propre du terme vacances… J’étais dans un trou en surface… Un magnifique trou, loin de vous (d’internet) et de vous certainement sauf si vous habitez en Corse.

    Je ne résiste pas à l’envie de partager avec vous ce petit coin de paradis. (Voyez les photos de cet article).6a00d834209e6353ef017743e70cdf970d

    Sur cette plage, il m’est arrivé une histoire peu banale. Je vous raconte.

    J’allais repartir de la plage où je venais de faire trempette et de pêcher une soupe de poissons de roche quand une dame m’interpelle :

    – Bonjour, Monsieur, excusez-moi de vous déranger.

    – Vous ne me dérangez pas !

    – J’ai dans la main depuis presque une heure un carton que j’ai ramassé sur la plage. Vous vous rendez-compte ? Il y a des gens qui jettent n’importe quoi sur cette magnifique plage. C’est bien dommage.
    Je ne trouve pas de poubelle. Pourriez-vous déposer cela dans une poubelle sur votre passage en rentrant ? Ce serait formidable !

    – Bien-sûr, Madame !

    – Merci beaucoup.

    – Cela me fait plaisir, au revoir. 6a00d834209e6353ef017743e735d5970d

    – Au revoir….

    Je me suis retrouvé avec un petit carton de lait au chocolat dans les mains, et lorsque je suis passé davnt une poubelle… je l’ai jeté. Puis en rentrant à la maison, je me suis dit … Et si elle n’avait rencontré personne qui soit d’accord pour lui prendre ? Et bien, elle aurait gardé son petit carton avec elle, et l’aurait certainement jeté dans une poubelle car son engagement individuel était réel.

    Personnellement, je me sens dans la même dynamique et il m’arrive régulièrement de le faire, mais j’avoue que je n’aurai pas pensé à demander à quelqu’un qui passe de m’aider dans ma démarche.

    Mais là ! Il y a eu une collaboration entre deux personnes (voire trois ou quatre puisque mon épouse et ses enfants ont participé en tant que spectateurs à la scène)

    Et le bilan est grandement positif ! J’ai rencontré une personne qui agit comme moi ! Je me sens réconforté dans mon action personnelle, il en est de même pour elle…. Et les spectateurs peuvent s’apercevoir que cela peut fonctionner.

    Notre engagement individuel et conforté par notre engagement collectif et les spectateurs peuvent se trouver entraîné dans leur engagement individuel par notre engagement collectif.

    Finalement pas besoin d’attendre une engament collectif pour s’engager individuellement… Et nous pouvons toucher du doigt que c’est mieux de faire que de dire et si on est plus nombreux cela peut nous soutenir dans notre action.

    Alors engagement collectif ou engagement individuel ?

    Brigiitte et Pierrr AmourJe pense que l’engagement individuel peut déclencher un engagement collectif qui peut à son tour déclencher des engagement individuel. c’est une sorte de cercle vertueux, qui s’entretient par l’action individuelle.

    Alors, chacun d’entre-nous, choisissons nos engagements individuels et lançons le changement par l’action, la suite c’est l’Histoire qui se construit.

    C’est vraiment la démarche du coaching par excellence, ça, oui/non/peut-être ?

    Bien à vous

  • Quand l’expérience vécue rejoint la science expérimentale.

    Il est des petits bonheur que je savoure comme l’on peut savourer une bonne patisserie ou un plat rare et fin. je termine aujourd’hui une formation de d’hypnose où j’ai eu la joie d’accueillir 12 stagiaires d’horizons divers dont deux stagiaires très spéciaux pour moi.

    Il s’agit de ma mère (81 ans) et de son compagnon (80 ans) qui ont passé ces 10 derniers jours sur les bancs de l’école.

    Dans le dernier Science et Vie n°1138 de juillet 2012, je peux lire :

    Les néo-neurones dopent les capacités du cerveau

    Si on sait grâce à des études épidémiologiques que l’activité intellectuelle a des effets protecteurs contre les maladies neuro-dégénératives telles que les maladies de Parkinson et d’Alzheimer

    …/…

    Les animaux dont on active les neurones produits un mois plus tôt voient leur apprentissages divisé par deux

    …/…

    Plus on entretient son activité mentale et plus on produit de néo-neurones. …/…

    Et la conclusion est :

    « Le cerveau ne s’use que si l’on s’en sert pas ! »

    Ben voilà… et la conclusion de ce billet :

    « Ma mère m’a fait un beau cadeau en participant à ce stage et elle s’est fait un cadeau imprévu… 😉

    Voilà, maintenant, je vais remettre le certificat à la doyenne de mes stagiaires…

    C’est la fête !

  • Pourquoi je préfère le livre en papier …. Parce que j’aime la bibliothèque !

    6a00d834209e6353ef0163061cb10f970dAujourd’hui, je ne vais pas parler sur ce site de coaching, mais de lecture ! Car bien entendu je suis un lecteur. Et je dirais même un lecteur qui lit … Oui j’ai viré la télévision de chez moi il y a plus 8ans maintenant et le livre a rempli le temps si ce n’est l’espace.

    Pourquoi n’a-t-il pas rempli l’espace alors que je lis entre 1 et deux volume de 300 à 500 pages par semaine ? Cela devrait faire du volume non ? Vous pensez peut-être au livres de poche ? Et bien non…

    Je suis un adepte de la bibliothèque de ma ville et de ma communauté de commune que vous pouvez trouver sur le site : http://mediatheques.valetforet.org/ et pour 7 euros par an ? Il ne faut pas se priver ! Le plaisir de lire est à portée de toute les mains…

    J’ai essayé le livre numérique et ça pourrait être génial… Car c’est bien moins lourd avec mon Ipad pour lire un gros livre… Et là si je mets le thème « nuit », je peux lire sans déranger mon épouse… Génial non ?

    Et bien NON !!!!!

    Pourquoi ? Parce que je ne peux pas prêter un livre à un de mes proches pour qu’il le découvre, parce que je ne peux pas avec mon abonnement lire autant de livre que je veux… Je suis obligé d’acheter le livre puis je suis obligé d’acheter un livre par personne ….

    Lisez l’excellent article sur le site OWNIS.FR et vous comprendrez pourquoi

    1. le livre papier a de beaux jours devant lui.
    2. la culture va dans le sens d’une « déculturation » au fur et à mesure que l’individualisme forcené s’installe dans notre société.

    Dommage… J’aimais bien lire léger ! je reste un adepte du livre papier qu’on peut se prêter sans être un « pirate » ! Et après on se plein que les jeunes ne lisent pas ? Ca vous étonne vous ? C’est cher la lecture à ce compte là !

    Dommage …Et si on changeait de paradigme ? Et si la culture devenait plus importante que l’économie de marché ? Cela donnerait quoi ?

    Le support numérique est vraiment adapté à l’individu et si on repensait l’accès à l’information pour une utilisation collective ?

    Une numéricothèque !

    Ah oui j’aimerais ça … et j’achèterais alors des livres numériques bien sûr 😉

    bien à vous

  • La tête, le coeur, le corps qui fait quoi ?

    6a00d834209e6353ef0168ebf54e29970cLa plupart des gens que je connais font une séparation entre la tête (la raison), le coeur (les émotions) et le corps (l’action) et quelquefois cela m’arrive aussi d’ailleurs. 😉

    La question que je me posais, avec ma tête 🙂 était la suivante : « Quel est la fonction de chacune des partie, car dans mon métier nous rencontrons tous types d’individus chacun différents du voisin. Chacun unique et riche d’un vécu et de ses stratégies propres, ou en tout cas qu’il imagine avoir propres. (Est-ce vraiment les siennes ?)

    Une confusion généralisée est : « Un projet doit être pensé. La raison prime sur les émotions ! »

    Qu’est-ce que penser un projet ? Quel est le but que je poursuis en lançant ce projet ? Est-ce que je veux me marier ou non ? Est-ce que je veux être informaticien ou simplement jouer aux jeux vidéos ? Etre médecin ou aider les autres à grandir ?

    Qu’est-ce qui me motive et qui me permet de faire un choix vers un projet ?

    Eh bien comme l’écrit Antonio Damasio (Spinoza avait raison)… c’est le coeur qui décide et non la tête !

    Le coeur a ses raisons que la raison ne connaît point… (Blaise Pascal)

    Quand vous vous posez une question sur votre avenir, par exemple : « Je ne sais pas si je veux être professeur… » ou « Je ne sais pas… si j’aime Marie… »

    Faites l’exercice suivant :

    Dites à haute voix (important !!!!) :  » Je suis professeur » ou « J’aime Marie » et sentez en vous passer les émotions… Cette phrase sonne juste ou non, en vous ?  Vous sentez-vous en accord corporel avec cette phrase….

    Dites cette phrase à haute voix et pas seulement dans votre tête, c’est vraiment important.

    Faites cela pour chaque projet que vous avez… Vérifiez que vous êtes fidèle à vous même.

    • On ne se motive pas par la tête mais par le coeur
    • On ne se prépare pas bien par le coeur mais par la tête
    • Le coeur motive, la tête prépare et planifie puis le corps agit…

    A chacun son job 🙂

    Et pour finir en beauté écoutez les paroles de Grand Corps Malade

    Bien à vous

  • Ouverture et/ou focalisation où mettre le curseur ?

    6a00d834209e6353ef016305e7f923970dDans un article précédent, intitulé « La vertu de la frustration« , je parlais de l’échelle émotionnelle en 7 niveaux. Le septème niveau s’appelle l’interactivité, lisez l’article si vous voulez en savoir plus ;).

    Si maintenant je prends mon article sur Cromwell je parle de la focalisation sur un objectif.

    Or la grande vertu de l’objectif est de nous focaliser vers un point donné de notre histoire à venir et finalement son corollaire est « la focalisation permet de ne pas être distrait par ce qui nous entoure » et donc… Plus d’interactivité. Nous perdons une partie de ce qui fait notre richesse…

    Avoir un objectif peut-être indispensable pour atteindre notre objectif et être ouvert à notre environnement et aux autres peut aussi être indispensable. je vous donne un exemple : la recherche de l’âme soeur (si cela existe…).

    Méthode par l’objectif :

    • Définir à quoi elle ressemble pour être sur de la reconnaître en entrant dans une pièce si elle est là.

    Mais cela part du principe de tout est sous mon contrôle, que tout est immanent. Or l’amour est pour partie seulement immanent. Nous ne tombons pas amoureux simplement parce que nous le voulons, il reste une partie transcendante à l’amour… et donc.. Il est possible que l’âme soeur ne ressemble pas du tout à ce que l’on a espéreré…

    Et alors ? On se plante !!!! L’objectif  à tout prix n’est pas la solution !

    Méthode par l’ouverture d’esprit (inteactivité)

    • Rester ouvert à toutes les personnes rencontrées sans chercher à percevoir réellement l’ame soeur, se laisser porter par la vague de l’opportunisme.

    Là, nous allons rencontrer, beaucoup de personnes, faire des essais, se blesser aux épines nombreuses des roses que nous allons cueillir et finalement avec toute les chances de ne pas rencontrer celle que nous ne recherchons pas….

    Et alors ? On se plante !!!!

    Alors quoi ? Où est la solution ? 

    • Certainement dans un mixage entre les deux méthodes… De l’objectif avec de l’ouverture d’esprit et d’opportunisme. Comme le tir à l’arc… Je vise et… je lâche la corde ! Ce n’est pas pour rien que Cupidon est un archer ! 😉

    Par exemple :

    Je définit l’âme soeur au plus prês de ce que je souhaite et… je m’empresse de faire confiance à mon inconscient en me focalisant sur … les autres et l’interactivté… Je reste à l’écoute de la vie et de ses opportunités… Enfin je lâche prise quoi !

    Facile ? Houlàlà … Peut-être pas mais j’ai une idée…

    Et si vous me racontriez votre plus grande réussite dans la vie ? Et si nous entrions ensemble dans cette recherche par la méthode appréciative (Appreciative Inquiry) ? Pour voir la beauté à l’extérieur il faut être sûr que la beauté existe… Regardez en vous… C’est beau hein ?

    C’est un début maintenant  en route ! Vous voulez en savoir plus ? Contactez un coach de l’équipe No Limit Coaching… Je suis sûr que lui il saura ! 🙂

    Bien à vous

     

  • Le mythe de l’excellence ou rien. Alors ce sera plutôt NOS réussites !

    6a00d834209e6353ef016305c014e8970dJe suis coach professionnel comme certains parmi vous le savent, et j’accompagne des chefs d’entreprise. Il y a quelques année j’ai co-écrit un livre sur le coaching parental et souvent les parents viennent me contacter pour que je coache leurs magnifique bambin !

    Moi : Pour quoi faire ?

    Le papa (ou la maman) : « Ben mon brave monsieur, nous aimons notre enfant et nous devons le préparer à la compétition acharnée qu’il va rencontrer dans la vie, plus tard ! Il faut qu’il soit le meilleur …à l’école, en sport… enfin partout !…. »

    (Fin de citation)

    Et qu’est-ce l’on observe chez les enfants ? … Une hausse de l’anxiété que les parents leur transmette… Combien de fois ai-je rencontré ces parents ? Au moins une fois par mois par des demandes internet ou téléphone…

    Et qu’est-ce que cela donne au bout du compte ? On laisse croire à nos enfants que tous les coups sont permis ! Il n’y a pas de limites pourvu que tu sois sur le podium… On leur fait confondre leurs besoins et les moyens. Ils ont besoin de bonheur, oui mais et s’imaginent que le bonheur c’est d’être sur le podium… Que le bonheur est au pris de la victoire et de l’excellence !

    En effet même l’esprit olympique a disparu… Ce que l’on voit ce sont des nations qui s’affronte dans des guerres de médailles, et des athlètes qui ne concourent que pour la médaille qui restera dans les annales….

    Mais l’excellence n’est pas donnée à tous, et combien de personnes se lancent dans une compétition qu’il perdront finalement… Peut-être au pied du podium… simplement par que l’excellence n’est pas pour eux dans ce domaine… Est-ce grave ?

    Est-ce que, parce qu’il ne sont pas excellent en mathématiques, ils sont des vauriens pour autant ? NON !!!!

    Et pourtant ce mythe de l’excellence fini par leur pourrir la vie au point qu’il font un « burn-out » ou une dépression nerveuse… Cela peut aller jusqu’au suicide et pourtant ils sont (ou étaient) magnifiques !

    J’ai perdu un de mes cousins proches dans ces conditions… La course à l’excellence permanente à eu raison de lui… Et pourtant moi je l’aimais…Il avait des enfants… Et il s’est pendu… C’était il y a quelques années… Repose en paix, je t’aime toujours et tu es toujours vivant dans mon cœur avec toutes les qualités que tu avais et que tu ne voyais pas. Car tu étais simplement  aveuglé par le mythe de l’excellence que les autres t’ont fait miroité et que tu à pris à ton compte.

    Une introjection est la capacité d’intégrer dans notre moi des images ou des objets ou autre chose qui vient de l’extérieur (voir la notion de surmoi…)…

    Alors si vous aussi vous êtes aveuglé par le mythe de l’excellence, comment le savoir ? C’est assez simple… Si vous pensez qu’il est évident que pour être heureux vous devez être excellent…  😉 Facile de se faire piéger, hein ? C’est la confusion entre le besoin et le moyen.

    Allez je vous donne une explication : Certains écrivent « Imparfaits, libres et heureux »… (Voir Christophe André) CQFD… Donc on peut être heureux sans être parfait.. sans être premier… sans compétition… Et il y a bien confusion entre le besoin et le moyen !!! LOL

    Donc si vous aussi vous voulez charger vos enfants de tout le poids de votre aveuglement… Essayez d’abord cela :

    Apprenez à valoriser vos succès, aussi petits soit-ils, ou gros, cela n’a pas d’importance. L’important c’est qu’il valent gros, pour vous car ce sont les vôtres !Et personne n’a le droit de vous les enlever, ni le mérite qui y est associé. C’est terrible de voir comment cette méthode peut changer votre vie !

    C’est pour cela que j’ai adopté la méthode de « l’appreciative inquiry » dans chacun de mes coaching individuel ou collectif. C’est pour cela que j’ai mis en place cette méthode dans ma vie. C’est pour cela que je refuse les comparaisons inutiles entre les mérites respectifs de mes relations professionnelles…

    Cette méthode commence par « Racontez-moi une histoire que vous avez vécu et que vous considérez comme une réussite… etc… »

    Essayez la c’est l’adopter… Et la meilleure façon de l’apprendre c’est de la pratiquer, car les exemples vivants sont d’un autre pouvoir comme dirait le comte à don Diègue… dans le Cid de Corneille…. Il continue par : « Un prince dans un livre apprend mal son devoir. » Et pour finir cette question : « Apprend-on la vie à l’école ? »

    Un jour on peut essayer ensemble si vous voulez ?

     

  • Demandez : Vous permettez à l’autre d’accepter

    6a00d834209e6353ef0163051f706c970d

    J’ai remarqué que certaines personnes n’osent pas demander. Et cela peut aller très loin.

    • Ne pas demander sa route et tourner pendant des heures
    • Ne pas demander un café ou à manger, même en payant, et rester avec l’idée que « j’aimerai bien manger maintenant »…ne pas demander l’heure et courir pour rien à un RDV

    Avez-vous remarqué que lorsque vous ne demandez pas les autres ne refusent jamais ? La clé est peut-être dans la peur du refus ?

    Et alors avez-vous remarqué que si vous ne demandez pas ils ne peuvent pas accepter ? Etonnant non ?

    Combien de fois restons nous devant ce que nous voulons, sans oser demander, par peur d’un refus et à ce rythme là, nous de demandons plus rien à personne, même pas à la vie !

    Demander quelque chose à la vie c’est oser !

    Si vous demandez à l’autre vous lui donner le droit de dire « non », mais aussi le droit de dire  « OUI » !

    Si vous ne le faites pas… Alors… Rien ne se passe. Et vous demandiez à la vie ce que vous voulez vraiment ? Que croyez-vous qu’il arriverait ?

    • Soit la vie ne vous donne rien… Et vous n’avez rien perdu… Puisque vous ne l’aviez pas…
    • Soit la vie vous donne ce que vous attendez et … VOTRE vie peut changer…

    De quoi avez-vous peur ? Du changement de votre vie ?

    OSEZ !  😉

  • L’Appréciative coaching … ou comment se focaliser sur son objectif ?

    6a00d834209e6353ef01348827c68a970cVous avez déjà essayé de marcher avec de la boue collée aux chaussures ou aux bottes ? Ce n’est pas facile, hein ?

    On a parfois même l’impression que la boue est contre nous et qu’elle nous en veut. Pourtant consciemment nous savons que la boue n’a pas d’intention. Mais au niveau inconscient, c’est parti !

    « La boue me fait ch… » et la colère monte ou l’exaspération, ou le découragement….

    – Bon et alors… Pierre ? Que veux-tu dire ? Où veux-tu en venir ?

    – D’accord ! J’y arrive… La semaine dernière un client m’appelle et me demande : « Est-ce que tu peux faire quelque chose pour moi ? je suis dans la merde ! » Vous voyez ? Ce n’est pas de la boue mais… presque 😉

    Je lui réponds donc : « La réponse est oui ! Qu’elle est la question ? » Et là, il commence à … Se répandre… Ou plutôt à répandre sa M… « Tu comprends, j’ai un problème avec deux de mes cadres qui…etc… »

    Non, non !!! Il ne dit pas etc… Mais je ne vais pas vous répandre sa M… ici ! Ca sent mauvais ! 😀

    – Alors donc tu as un problème ?
    – Oui… J’ai un problème
    – et avant d’avoir ce problème c’était comment ?
    – Comment ça ?
    – Oui avant le problème. Il y avait quoi ? Ca marchait bien ?
    – Ben oui… Mais…
    – OK C’est super ça ! Il y a eu un moment où tout allait bien ?
    – Oui mais…
    – Vraiment ? Alors je te propose la chose suivante …
    – Quoi ?
    – On ne va pas nier le problème ! Il existe et il est réel certainement puisque tu m’en parles…
    – Ah ça oui alors !
    – OK donc on va commencer par le commencement. Peux-tu me raconter comment ça se passait avant le problème ?
    – Ben oui…
    – Alors va-y ! Racontes moi un moment où tout allait bien avec tes deux cadres…
    – Ben l’année dernière par exemple…
    – Super c’est ça ! Zyva !
    – Ben voilà alors… etc….

    Là je ne vous raconte pas…. Il me raconte son histoire pendant 3 minutes…et… Voilà comment nous avons commencé une appreciative inquiry (enquête appreciative).

    Cette méthode continue par les questions suivantes…

    Vous êtes curieux ?

    Si vous voulez les connaître ces questions… C’est facile ! Appelez-moi ! 😉

    En attendant qu’avons nous fait en prenant la chose de cette manière ? Et bien regardez de près… Nous avons… enlevé la boue de ses chaussures !

    Là où nous focalisons notre conscience nous focalisons notre énergie !

    Vous préférez quoi vous ? Parler de vos problèmes ou de vos réussites ? Vous ne savez pas ? Essayez devant votre glace ! Racontez une histoire de problèmes puis, si vous survivez, racontez-vous une de vos réussites .. Vous vous sentez comment ? Vous avez compris ?

    Alors, maintenant, vous voulez tester avec moi ? Alors contactez-moi par email , par téléphone (+33 675 25 34 42) ou par Skype pour prendre un RDV….

    Bien à vous