Étiquette : amour

  • Coaching de vie ? Et pourquoi pas ?

    oiseauxComme vous le savez, enfin ceux qui ont l’habitude de lire mes articles, je suis business coach. C’est-à-dire que mon activité est essentiellement concentrée sur l’accompagnement des chefs d’entreprise et des équipes dans l’entreprise autour de l’implémentation stratégique. Par ailleurs, j’ai une activité de formateur et, pas n’importe quel formateur puisque je forme des coachs. Depuis le mois de septembre, ma formation de coach en France a beaucoup changé. Elle n’a pas changé dans le fond, bien sûr, mais dans la forme. Puisqu’elle passe par un accompagnement individuel de chaque coach par 3 coachs, qui sont aussi tour à tour, formateurs, et même mentors.  Chaque coach est accompagné par 3 mentors, dans son démarrage d’activités, pendant 6 à 9 mois, comme une nouvelle naissance, en somme ou un véritable envol !

    Quel programme !

    En plus, j’ai ajouté à mon arc une nouvelle corde depuis un an, avec l’ACT (voir site de référence en français). Et je commence à avoir maintenant des retours d’expérience. J’ai particulièrement utilisé cette méthode dans le cadre de l’accompagnement des personnes en situation de handicap. Et c’est vraiment très bon.

    Bien sûr ce n’est pas magique. Ce n’est pas la technique qui « lave tout du sol au plafond » ! Pourquoi remplacer ce qui fonctionne? Si vous utilisez une technique très efficace pour vous ? Dans votre contexte ? Et que ça marche ? Alors, continuez, et bravo !

    Si par contre cela ne fonctionne pas, que vous en avez marre de toujours taper dans le mur. Si vous avez tout essayé (ou presque) et que vous n’y arrivez pas alors pourquoi ne pas m’appeler ? Un échange au téléphone pour vérifier avec vous le bien-fondé de la démarche, puis nous verrons ensemble si cela vous convient.

    Ça coute combien ? Le premier appel ne vous coûte rien ! Et ensuite ? Cela dépend de vos envies et de vos besoins. Si vous voulez des entretiens en tête à tête dans mon cabinet, ce n’est pas pareil que par téléphone ou par Webex (mieux que Skype). En tout état de cause, nous verrons ensemble, si le jeu en vaut la chandelle. Le prix d’une séance n’est pas vraiment important. l’important c’est le prix total à payer à la fin du processus, non ? Et cela dépend des moyens à mettre en oeuvre ensemble.

    Pour l’exemple  : Vous avez un problème de confiance en vous ? D’affirmation de vous ? D’estime de vous ? Des problèmes de troubles sexuels ?

    En général 7 à 8 séances suffisent, mais il est possible que 5 suffisent… Pour 8 séances (1 heure) par Webex le coût total sera de 500 €* (sur 2 mois soit 250€/mois)…

    Alors est-ce que le jeu en vaut la chandelle ?

    IMPORTANT : Le tarif indiqué est à la date d’aujourd’hui (le 3 novembre 2015 et jusqu’au 31 décembre 2015) pour un particulier et TTC (TVA 20% comprise) pour tous les autres cas, me consulter.

  • Et si nous vivions au présent ?

    Triflexe ACTLe passé n’existe plus, le futur n’existe pas encore, la seule chose que je sais c’est vivre au présent. Pourtant quand je vis au présent mon esprit me leurre souvent en m’envoyant vivre dans le futur, en prévoyant ce que j’ai à vivre dans les prochaines minutes, voire dans les prochaines années. Et quand mon esprit se prend à rester focalisé sur un événement désagréable du passé, il se bloque et moi, là dedans, qu’est-ce que je deviens ?

    Dans un précédent post, j’ai abordé la notion de valeurs et la différence entre ces valeurs, et les objectifs. Et donc vous savez que les valeurs se vivent « au présent », mais, comment y vivre au présent ? Pas facile hein ?

    Certains vous parleront de la méditation de pleine conscience, que j’aime pratiquer, moi aussi. Mais dès que l’on dit le mot «méditation» d’autres y voient « Tu planes à 5000 mec ! Elle est bonne hein ? » Dès que l’on parle de méditation , certains entendent les mots comme «baba cool», et même Katmandou… Et après les tremblements de terre de ces derniers jours, je ne suis pas sûr que cela soit de bon goût que de plaisanter sur ce sujet. Plus de 4000 morts… Voilà un événement grave qui hélas, est déjà dans notre passé et notre présent actuel est « Aider les survivants ! »

    Je vous propose aujourd’hui quelques exercices quotidiens qui permettent de vivre « un peu » au présent… On y va ?

    1) Prenez une activité du matin. Une activité qui fait partie de vos rituels habituels. Par exemple se brosser les dents, ou prendre sa douche, ou se raser…Voyons le brossage de dents :

    Pendant cette activité, observez ce qui arrive avec « ouverture » un peu comme si vous observiez cette activité comme un scientifique. La manière dont vous attrapez votre brosse. La couleur de votre brosse, la longueur des poils de la brosse. La sensation du contact contre vos gencives. La chaleur de la brosse, et/ou de l’eau. Le goût que cela a. Les bruits que provoquent le frottement de la brosse, et les bruits extérieurs, les odeurs spécifiques de la salle de bain à ce moment-là, et les autres odeurs. En d’autres termes, balayez complètement vos 5 sens… Et en même temps si possible. Et observez les pensées qui passent dans votre champ de conscience à ce moment, observez-les comme si c’était des voitures qui passent devant vous… Notez ces pensées, et revenez sur votre observation des 5 sens… la lumière de la pièce et les détails du lavabo… Sa couleur, les tâches qui s’y trouvent… Et observez les pensées qui passent… Et revenez à votre brossage de dents…

    2) Prenez une activité agréable. Par exemple pendant les câlins avec un être cher. Engagez-vous pleinement dans ce que vous faites ! Savourez chaque moment.Quand votre attention vagabondera… Dès que vous le réalisez, notez ce qui vous a distrait, et engagez-vous à nouveau dans ce que vous êtes en train de faire.

    Ce ne sont que 2 pistes, mais vous en trouverez d’autres je suis sûr. Vous pouvez m’en donner d’autres ?

    Ces exercices sont des exercices de pleine conscience, c’est facile non ? C’est très facile d’intégrer la pleine conscience dans notre vie de tous les jours. Alors vous attendez quoi ? Dans la thérapie ACT (acceptation/engagement) on passe par ces exercices de pleine conscience.

    La souplesse psychologie s’appuie sur 3 piliers :

    • Être présent
    • S’ouvrir
    • Faire ce qui importe

    Cela vous semble évident ? Alors, pourquoi ne pas le mettre en application au quotidien ?

    Vous voulez apprendre à l’utiliser pour accompagner les autres ? Formez-vous 😉 et suivez ce lien

  • Départ à la retraite : l’importance du pot de départ.

    Bopire un coupDernièrement je discutais avec un directeur de la fonction publique et nous échangions sur les « pinces fesses ». Vous savez toutes ces réunions où chacun vient uniquement pour se montrer. Le genre de réunion où le directeur, à moins que ce soit le chef de service fait un discours insipide sur le travail d’un collaborateur dont tout le monde se fout. c’est une fausse fête, en somme !

    Et pourtant cette personne me disais avoir été impressionnée par l’impact de ce type de réunion sur la personne concernée.

    Nous avons de plus en plus de personnes qui vont partir à la retraite après 65 ans dans les temps qui vont venir. Et oui, les règles changent et pour partir avec une retraite « correcte », il va être nécessaire pour certains de partir après avoir ajouté quelques années de travail.

    Une personne devait partir à la retraite après de nombreuses années de travail dans le même service, une secrétaire dont personne ne parle, et  une secrétaire particulièrement efficace, somme toute ! Cette personne, à l’âge de 67 ans décide de partir à la retraite. Elle échangeât avec le manager, en question, en lui disant : « Maintenant, je fatigue vraiment, le matin quand il s’agit de se lever chaque jour très tôt pour prendre les transports en commun. Le problème n’est pas de se lever, un jour mais CHAQUE JOUR… Je n’arrive plus à récupérer »

    Alors le directeur décide de faire un « vrai » discours d’au revoir. Un véritable travail de fond sur le fond de la mission d’une secrétaire. Il sera présent à ce « pince fesses » et simplement pour lui faire plaisir car il pense que cette personne est vraiment quelqu’un de « BIEN » (je ne suis pas sûr que ce soit le bon mot, mais c’est le mot invoqué, lors de notre échange ?)

    Et là, le directeur, à vécu un évènement très fort. TOUTES LES PERSONNES invitées étaient là pour faire la fête et la personne qui partait à la retraite à dit la phrase suivante : » Je ne savais pas que mon travail avait autant d’importance pour vous. »

    Effectivement TOUT LE MONDE, était là, sauf une personne, qui s’est excusée… Et la secrétaire est partie « HEUREUSE »… « Mon travail était important !!!! J’ai eu un rôle dans cette vie ! Je me sens importante… Je pars à la retraite heureuse ! »

    Et pourtant elle s’angoissait avant ce moment …. Vous y aviez pensé avant de refuser d’aller à ce pot de départ ? Maslow nous a montré l’importance de la réalisation de soi dans la pyramide des besoins. Et en voici un exemple direct. Alors pour le prochain, pot de départ ? Qu’allez -vous faire ? Quelle sera votre influence sur le bonheur de vos collègues ?

     

  • Je suis Charlie et après ?

    JeSuisCharlie

    Hier en rentrant de la « grande promenade républicaine »,j’étais encore sous le choc de cette grande journée et j’ai commis ces quelques lignes :

    « Je suis fier d’être Français ce soir. Nous étions des milliers : Des blancs, des noirs, des jaunes, des Beurs, des athées, des catholiques, des musulmans, enfin des…. Français et surtout des citoyens dans toute notre diversité. Nous avons tous défendu la laïcité et le bien vivre ensemble contre l’obscurantisme, le terrorisme, la peur. Nous avons défendu la liberté de pensée contre la pensée contrainte. Nous avons défendu ce qui fonde notre nation. Et Whaouuu ce que je suis rassuré… J’ai vu des parents avec leurs enfants, des religieux en aube, des musulmans en Djellaba qui marchaient cote à cote et la main dans la main, des personnes en fauteuils roulants à coté de personnes avec leurs deux jambes valides. J’ai vu une marée humaine qui voulait manifester son espoir de vivre ensemble tous ensemble, et debout et libres ! Bravo à nous. Oui ce soir je suis fatigué car j’ai marché avec mon genou gonflé (épanchement de synovie)  car j’ai fait du sur place pendant 3 heures… J’ai eu du mal à sortir de République puis de marcher dans les rues de Paris, pour finir à St Lazare et reprendre le train vers chez moi fatigué … J’étais fatigué et heureux…. Oui aujourd’hui j’ai rencontré l’esprit de la France, j’ai ri et j’ai pleuré. J’ai chanté la Marseillaise et j’ai tapé dans mes mains. Messieurs les terroristes, vous avez voulu réduire au silence quelques dessinateurs parce qu’il avaient fait des dessins qui ne vous plaisaient pas ? Vous avez en fait réveillé un pays tout entier qui refuse la dictature d’une religion quelle qu’elle soit. En 1905 les Français ont voté la séparation de l’église et de l’état. Messieurs les terroristes, nous ne nous tairons pas. Je suis Charlie. ‪#‎JeSuisCharlie‬ »

    Puis j’ai écouté l’émission sur France Inter, une émission qui prolongeait la magie de la journée. Je me sentais bien, et, ce matin je suis revenu devant mon écran, avec la radio (France Inter) En arrière plan. Et j’ai ressenti un sentiment de vide. Il est loin ce moment magique de partage. Seul devant mon écran ! Et j’ai vu défiler les remarques et affirmations des personnes sur internet… Et j’ai vu passer une vidéo d’un de mes contact Facebook du nord de l’Afrique, qui partageait une vidéo en Arabe, d’un blogueur du Caire. Donc je ne comprends rien à cette vidéo, enfin pas tout à fait car il y a des sous-titre en Français, en Anglais… Et tandis que je lis le contenu de la vidéo, mon regard est attiré par le sous-titre en dessous de la vidéo, un sous-titre en arabe lui aussi… Alors, j’appuie sur traduire et là, je lis en Français : « Aucun avis ne pourraient être écrit sur cette vidéo. Si notre Seigneur beyhebak. Vidéo verra inshallah.« 

    Qu’est-ce à dire ? Je n’ai pas le droit d’avoir un avis sur cette vidéo ? Et un de mes proches publie cela ? Mais ce proche est-il si proche ? Je vois le fossé ! Je vois mon proche s’éloigner…

    C’est quoi ce bordel, j’ai l’impression qu’un voile tombe. Je ne veux pas me laisser emporter par l’émotion. Cette personne peut penser ce qu’elle veut, mais tu te rends compte, Pierre ? Elle publie une vidéo sur laquelle elle t’enlève le droit de donner un avis….

    Bien-sûr je suis tellement choqué que j’arrête de visionner le contenu de cette merde ! Comment nommer autrement une vidéo de ce type ? Un document nauséabond, qui rappelle ce qui a tué, les dessinateurs de Charlie Hebdo.

    Bon il y a du boulot ! Ce n’est pas le moment de lâcher quoi que ce soit, Pierre, La défense de la liberté, passe par la laïcité pour vivre ensemble. Tous ensemble, debout… Or la personne que je connais, vis dans un pays qui n’accorde pas la liberté d’expression à ses ressortissants. Un sentiment de compassion, m’envahit. Pas facile pour cette personne de sortir du système qui la baillone.

    L’autocensure est plus forte que la censure explicite ! Depuis tout jeune, cette personne entend la phrase suivante : Tu n’as pas le droit, de remettre en cause, le contenu de ce livre car il est « sacré ». Et son corollaire, toute personne qui en parle commet un blasphème ce qui est interdit par la loi.  « Ite missa est ! » (La messe est dite…) … Tout est dit ! La religion lui a offert la fermeture éclair qui clos ses lèvres, avec l’injonction déguisée de clore les lèvres des autres.

    Bien-sûr, la personne que je connais, n’est pas un terroriste ! Cette personne ne tuera personne mais avec ces idées véhiculées, ne sommes nous pas là au début de ce qui va permettre de fabriquer à partir d’une personne en état de faiblesse passager, un véritable tueur ?

    Cela me renvoie à l’histoire de mon pays. Vous vous souvenez ? L’inquisition, puis la guerre entre les catholiques et les protestants… Puis les dragonnades de Louis XIV… Pour aller vers les têtes qui tombent et la terreur liées à la révolution Française, puis… arrive un jour la loi de séparation de l’église et de l’état (1905) mais petit à petit nous voyons revenir, le communautarisme autour d’une pseudo identité religieuse qui primerait sur l’identité de citoyen….

    Nos principes sont « LIBERTE, EGALITE, FRATERNITE »… Histoire et intelligence collective peuvent expliquer la situation actuelle où nous refusons l’amalgame entre le terrorisme et l’Islam. Nous sommes vivants et libre… Et si nous le restions ?

    Voilà… Je remercie Gelluck pour cette planche du Chat qui résume ma pensée.

    LeChat

  • Sidération puis action : Je suis Charlie

    CH-BaiserLa France est en deuil.
    Certains de nos amis sont morts
    Je suis Charlie… Je suis triste et je suis en colère.

    Je ne fais pas l’amalgame entre ces tueurs et tous mes amis musulmans, chrétiens et juifs…

    Je suis avant tout humain, un humain qui recherche dans la Laïcité le bien-vivre ensemble ! Bien vivre ensemble, c’est TOUS ensemble !

    ​Je pleure depuis avant-hier à 17:00 ​heure où j’ai appris la nouvelle de cet horrible attentat. J’en appelle à l’humanité de chacun, vivons ensemble…

    ​Tout le monde à le droit de vivre même ceux qui expriment des idées qui nous emmerdent !​ ​Ils maniaient un humour qui quelquefois ​m’a fait rire « jaune » quand ils se moquaient des handicapés ou de certaines religions. Mais tous ils maniaient le crayon, et le dessin. D’accord ou pas avec eux… Je les aimais. Et comme le disait avant-hier l’Imam de Drancy « On lutte contre le dessin par le dessin, par la haine ! »

    J’aimais particulièrement, Cabu que je connaissais et avec qui j’ai partagé des moments de rire autour du feu le soir, en regardant ses dessins. ​Je suis triste et je suis en colère.

    • Oui je sais que la tristesse m’envoie le message suivant : « J’ai un deuil à faire ». Je vais le faire, car le deuil est un processus psychologique d’ajustement à une perte ou un arrachement. Ma jeunesse est morte, Récré A2 (émission de télé de mes jeunes enfants avec Cabu) est morte, et le professeur Choron doit se retourner dans sa tombe. Maintenant que Cabu, va lui foutre le bordel dans le paradis. Mais aujourd’hui je pleure.
    • Oui je sais la colère m’envoie le message suivant : »une de mes valeurs a été violée par quelque chose ou quelqu’un dans mon environnement »

    Les valeurs fondamentales qui me dirigent ?

    • La liberté !
    • Le vivre ensemble, la Laïcité c’est-à-dire le refus du dogme et la liberté pour chacun de croire ou de ne pas croire à une vérité révélée de son choix.

    Voilà les valeurs qui me construisent aujourd’hui et ces valeurs son bafouée par les terroristes et les intégristes de tout poil. Que ce soit ceux qui veulent m’empêcher de vivre, au nom de leur religion.

    J’aime et j’accepte que chacun puisse être religieux. J’aime la religion chrétienne, j’aime l’islam, j’aime le Zen, j’aime le bouddhisme, j’aime toutes les religions qui aident les hommes à supporter leur vie pour aller vers un salut que toutes elles promettent. Ces religions donnent à chacun un sens à leur vie sur terre.

    Et j’ai le droit de me moquer de toutes les religions ! Car je vis dans un pays laïc où le délit de blasphème n’existe pas ! Je peux et j’ai le droit de blasphémer en France ! Et je suis un mécréant et un apostat, puisque j’ai abandonné, la religion catholique dans laquelle j’ai été élevé, et aujourd’hui je suis sans aucune religion ! Bien sûr quand je vais dans un pays autre, où la loi est différente, je respecte leurs lois où je n’y vais pas car je ne suis pas un activiste, révolutionnaire.

    Dans certains pays je serai mort, et je suis Français. Quelle chance, hein ? Et aujourd’hui certains voudraient nous retirer cette liberté ? Qui voudrait nous retirer cela ? Les intégristes, les extrémistes de tout poil ! Et je n’aime pas l’intégrisme qui masque souvent un objectif mafieux. Le terrorisme qui veut que TOUS les hommes à la pensée unique. Les gens qui se drapent dans une religion pour se donner une respectabilité !

    Les musulmans ne sont pas des terroristes ! Le terrorisme n’est pas l’Islam. Les catholiques ne sont pas des réactionnaires. Le fascisme n’est pas la religion Les Juifs ne sont pas des radins, banquiers qui dirigent le monde ! Arrêtons les amalgames.

    Ne tombons pas dans leur piège. Ce n’est pas une guerre de civilisation, c’est une mascarade de gangsters qui veulent dominer le monde par la drogue et l’argent des enlèvements mafieux.

    Ne soyons pas dupes. Aujourd’hui JE SUIS CHARLIE, je l’étais hier et je le resterai jusqu’à ma mort.

    Vous, je vous aime et je serai dimanche à la manifestation républicaine. J’y serai avec mon épouse et avec mes amis. Mais j’y serai aussi avec tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté.

    J’y ajouterai un message personnel :

    « Comme nous n’avons pas été présentés, je ne sais où vous écrire, donc je le fais ici, en espérant qu’on vous fera suivre.

    Madame Le Pen, si vous voulez participer au rassemblement de dimanche, je pense que personne n’y trouvera à redire. À part, bien sûr, les intolérants, mais comme la plupart sont dans vos rangs, rien à craindre.

    Au cas où vous ne seriez pas bien reçue, je pense que nous serions nombreux à soutenir votre positionnement. Sauf si vous utilisez l’affaire pour vous faire mousser, bien sûr.  

    Cela vaut d’ailleurs pour tout le monde.  Mesdames et messieurs les politiques, effacez-vous devant l’horreur, s’il vous plaît. »

    La laïcité appartient à tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté et en ce qui me concerne :

    J’ai pour principe la tolérance mutuelle, le respect des autres et de soi-même.
    Je proclame haut et fort, le principe de laïcité, considéré pour ma part comme l’opposition à toutes les aliénations et notamment à toute influence dogmatique.
    Je me réfère à la liberté absolue de conscience, c’est-à-dire le droit pour chaque humain de croire à une vérité révélée de son choix ou de ne pas croire.
    Ma devise est : Liberté, égalité, Fraternité.

    Et c’est pour cela que je défendrai les valeurs de liberté d’expression. Je rends hommage à tous les martyres morts pour cette liberté, tous les journalistes assassinés par les dictatures et le terrorisme. En particulier pour mes héros : (dans l’ordre alphabétique)

    • Frédéric Boisseau, 42 ans, agent de maintenance de la société Sodexo.
    • Frédéric Boisseau, 42 ans, agent de maintenance de la société Sodexo.
    • Franck Brinsolaro, 49 ans. Brigadier, était chargé de la protection de Charb.
    • Jean Cabut, dit « Cabu », 76 ans – Dessinateur
    • Elsa Cayat, 54 ans – Psychiatre et psychanalyste
    • Stéphane Charbonnier, dit « Charb », 47 ans – Dessinateur
    • Philippe Honoré, dit « Honoré », 73 ans – Dessinateur
    • Bernard Maris, « Oncle Bernard », 68 ans – Économiste
    • Ahmed Merabet, 42 ans, policier du commissariat du XIe arrondissement de Paris.
    • Mustapha Ourrad – Correcteur
    • Michel Renaud, il était invité du journal et participait à la conférence de rédaction.
    • Bernard Verlhac, dit « Tignous », 57 ans – Dessinateur
    • Georges Wolinski, dit « Wolinski », 80 ans – Dessinateur

    Je terminerai pas la phrase de Charb : « Je préfère mourir debout, que de vivre à genoux« 

  • Les semelles de mon épouse (Suite)

    6a00d834209e6353ef014e8bdf349f970dSuite à l’article d’hier « Les semelles de mon épouse » j’ai reçu un certain nombre de remarques par email ou sur les réseaux sociaux et je vous en remercie, beaucoup. Et comme je l’ai indiqué hier il y a une suite à cet article que voici.

    En fait il y a deux suites dont une autre que vous aurez dans les jours à venir. 🙂

    C’est Dallas ! Cette histoire de semelles qui n’en fini pas. Mais contrairement à Dallas où les méchants sont les véritables héros, ici c’est les gentils qui sont les héros. Ben oui, La journée de la gentillesse c’était hier !

    Alors venons en au fait. Hier le véritable problème de mon épouse avec le podologue, n’était pas un réel problème lié au podologue, comme vous l’avez remarqué mais un problème lié à certaines de ses croyances. Et c’est souvent notre cas à tous. Nos croyances se justifient par l’expérience.

    Quelle est la croyance qui la bloquait dans ce cas ? Elle l’a clairement identifié cette croyance : « La critique est vue comme « négative » par la plupart des gens et donc quand je critique le podologue ou plutôt son travail) je me mets en situation de conflit avec lui. »

    Elle a recadré depuis cette croyance : « La critique du travail du podologue n’est pas une agression envers le podologue même. Mais c’est une invitation à améliorer la situation pour les prochaines fois. Cela va être bénéfique pour le podologue est lui permettre de rendre un meilleur service à ses clients. Et cela va permettre à elle-même d’avoir des semelles adaptées. »

    Les bonnes questions à se poser sont  :

    • Est-ce que ce que je vais dire est profitable à l’autre ?
    • Est-ce que ce je vais dire est profitable à moi ?
    • Est-ce que ce je vais dire est profitable à tout le monde ?

    Et dans ce cas : « OUUUIIII » massif à toutes les questions. Il ne reste plus qu’à savoir le présenter à l’autre car la forme est aussi importante que le fond. dans notre communication. Et pour cela ma femme est TRES FORTE ! Communiquer et négocier sont en effet deux axes importants dans sa vie et son travail.

    Cela me rappelle un échange que j’ai eu avec un de mes anciens élèves à propos d’une lettre anonyme qu’il a reçu.

    Imaginez un peu que vous receviez une lettre venant d’une personne que vous connaissez avec une photo d’une tombe fleurie, sans aucun commentaire.

    • Réaction 1 : Cette lettre est une accusation de la part de l’envoyeur, m’accusant de ne pas entretenir la tombe de ma famille, alors que lui le fait ! L’absence de commentaire est clairement une attaque personnelle.
    • Réaction 2 : Cette lettre est une lettre pour me rassurer en me montrant que la tombe de ma famille n’est pas laissée sans entretien alors que je ne peux pas le faire. L’absence de commentaire est un signe de modestie de l’autre qui le fait sans quémander de remerciement.
    • Réaction 3 : … Soyez imaginatif, d’autres points de vue sont possibles…

    La réponse donnée à cette lettre sera en fonction du point de vue ….  Une réponse est-elle nécessaire d’ailleurs ? Cela dépend du point de vue. Le recadrage de sens est le sujet du prochain Coaching autour du pot à Pontoise. Inscrivez-vous 🙂 Ce sera un repas très spécial !

    Bientôt … Les semelles de mon épouse… Episode 3

  • Les semelles de mon épouse

    PorticcioJe viens de vivre une expérience formidable avec mon épouse. Cela nous a rapproché et nous a permis d’analyser notre relation au delà de notre choix initial. je suis vraiment très heureux pendant cette journée de la gentilles de m’apercevoir que notre relation est réellement authentique et orientée vers la gentillesse envers l’autre. Allez ! je vous en dis plus ? oui…

    Mon épouse et moi avons partagé cet été un magnifique voyage qui s’appelle « El camino Primitivo ». C’est un voyage à travers les Asturies (Espagne) puis la Galice pour aller vers Saint-Jacques de Compostelle. Nous avons découvert la beauté du soutien mutuel de notre couple dans cette épreuve (très physique)… Un soutien indéfectible qui met mon épouse dans mon camp de base comme je suis dans le sien… (Ce sera l’objet d’un autre article).

    Nous avons aussi découvert nos problèmes de pieds ! Et nous avons décidé de faire des semelles orthopédiques pour que l’année prochaine notre périple à travers le Camino Francès soit plus agréable. 😉

    J’ai fais faire les semelles chez le Podologue du coin et … c’est magique, mes problèmes de genoux sont réglés ! Aussi, mon épouse a décidé de s’occuper de ses pieds. Et à fait faire des semelles à sont tour… Elle est venue avec ses chaussures (38) alors quelle à des pieds plus petits (37) ce qui s’explique facilement quand on est soi-même randonneur (me contacter si vous voulez en savoir plus). Et le Podologue n’a pas tenu compte de cela et lui a fait des semelles à son pied !

    Et donc les semelles ne sont pas adaptées aux chaussures… Il suffit donc de retourner le voir et de lui demander de faire des semelles « correctes » mais voilà ce n’est pas si simple ! Elle a commencé à se plaindre à moi de son problème… 1 fois … 2 fois… 3 fois.. et Là … Je l’ai arrêtée !

    STOOOOPPPP mon amour que désirs-tu que je fasse ? Qu’attends-tu de moi ? Que je lui dise ? Tu ne peux pas le faire ? Que crois-tu qu’il va se passer si tu lui demande ? Et là, elle me dit … « Il va me les refaire ! Il me l’a dit » Ben alors tout est réglé non ? Et elle a ri…  Oui bien sûr c’est réglé !

    C’est terrible, cette façon, que souvent nous avons de nous plaindre de nos problèmes, auprès de nos proches, alors qu’il suffit de s’adresser directement à celui avec lequel nous avons un problème… Pourquoi charger nos proches de nos problèmes ? Pour se justifier ?

    Combien de personnes s’adressent à leur conjoint pour régler un problème qu’ils peuvent régler tout seuls… Nous avons besoin de quoi ?

    Je pense réellement que c’est un simple problème de « RE-ASSURANCE » . J’ai besoin d’être validé par mes proches pour prendre une décision. Est-ce une façon de me déculpabiliser ? Peut-être… Je ne suis pas seul à avoir décidé ou Est-ce une illusion, tout simplement. Un moyen de ne pas être seul ? Ou alors la croyance qu’en partageant nos problèmes avec les autres nous allons en avoir moins ? Pourquoi-pas !

    Pas facile d’avancer sans un cas de base, hein ?  (Voir prochain article à ce sujet) Et vous, quand vous avez un problème avec quelqu’un, ne vous arrive-t-il pas d’appeler vos proches à la rescousse alors que vous n’en avez pas vraiment besoin ?

     

     

     

     

  • La bonne chaussure c’est le choix sûr.

    Chaussure PierreOn construit sa vie comme on construit son chemin, en marchant. Quoi que certains vous diront que c’est le chemin qui nous construit. Mais au départ qui a commencé ? C’était la poule ou l’oeuf ?

    Au départ il y a la volonté, née de la motivation de la prise de conscience que quelque chose cloche et que l’on veut changer sa vie.

    Personnellement, je vis une deuxième vie, un peu comme un joueur de flipper reçoit une « extra-ball ». Je n’ai pas couru après cette extra-ball mais je me suis demandé alors comment vais-je jouer cela ? Après les souffrances à l’hôpital, et les souffrances dans mon corps dois-je continuer à vivre cette vie que je subis ?

    A cette époque, je me levais le matin pour prendre un « petit déjeuner » merdique, puis je prenais ma « petite » voiture pour faire un « grand » trajet pour une « grande » journée de travail, puis, je rentrais pour une « petite » soirée devant la télévision et je passais une « petite » nuit avec de « longues » période d’insomnies. Petits plaisirs de la vie en face de grandes déceptions.

    Voilà comment se résumait ma vie.

    Pourtant quelques années auparavant j’avais déjà vécu une expérience « mortelle ». Surtout mortelle pour Elise, ma première épouse qui décéda d’une rupture d’anévrisme. Alors, je me suis dis, à l’époque, « Il faut que ça change » et j’ai changé … De lieu, mais pas de chaussures ! Et j’ai emporté avec moi les longues journées de travail et les courtes parties de plaisir.

    Alors la vie frappa encore à ma porte avec le décès de mon fils Pierre-Simon. Et je me suis dis, « Il faut que ça change » et j’ai changé de voiture… Et toujours pas de chaussures ! Et j’ai continué ma vie comme avant car le besoin de changer n’était pas « URGENT » dans ma tête. Et là mon corps s’est rebellé et m’a montré la route que la vie m’avait montré par deux fois auparavant depuis 1996… Alors ? Que faire ?

    Depuis 1991 (année du décès d’Elise) je veux changer, et je ne change pas vraiment… En 2005 je commence le chemin de Saint-Jacques de Paris à Santiago (et j’ai même fais le retour), l’année d’après j’y retourne avec mes enfants puis je prends la route avec mon épouse actuelle. Et j’ai changé de chaussures, de métier, de vie… Enfin !

    Et qu’ai-je appris jusque là ?

    Que le chemin ne se dévoile qu’à celui qui le fait suffisamment longtemps.

    Tant que tu marches, tu apprends. or tu ne peux pas marcher si tes pieds ne peuvent plus le faire. Alors ? Alors, il faut avoir des chaussures à TON pied !

    Vendredi, je discutais avec des pèlerins, qui sont tous des habitués de la marche (religieuse ou sportive) et chacun, de donner son avis sur les chaussures :

    • Il faut quelles soient basses
    • Les sandales c’est mieux
    • Semelles Vibram ça c’est sûr
    • Il est nécessaire de protéger la cheville
    • etc…

    Personnellement je viens de trouver la chaussure que j’ai mis en photo dans cet article, et c’est la première fois que je suis si bien dans des pompes ! Une paire de chaussure c’est 4000 à 5000 km … c’est au moins 5 mois de marche. Imaginez que je marche avec des chaussures avec lesquelles je ne suis pas bien parce que mon pied souffre. Et bien dans ce cas, je serai obligé d’arrêter ma marche. Pourtant des chaussures doivent se faire à notre pied, non ? Dans l’armée ma fille m’a dit que ce n’est pas la « ranger » qui se fait au pied mais le pied qui s’adapte à la chaussure…

    Et vous avec quoi (et qui) marchez-vous ? C’est vous qui vous êtes fait à la chaussure (et c’est elle qui pilote ?) ou votre choix a été sûr ? Pas facile de choisir sa chaussure quand on sort de la métaphore hein?

    Dimanche, en marchant avec mon épouse sur le chemin juste avant qu’on se perde j’ai dit : « Mes chaussures frétillent, elles ont senti la pause prochaine » Or, Nous allions exactement à l’opposé de notre chemin. J’en ai conclu que ce ne sont pas les chaussures qui doivent diriger ma vie !

    La chaussure symbolise tout ce qui vous sert à avancer dans la vie, votre famille, vos amis, votre métier… Un clou dans la chaussure et c’est l’arrêt forcé, sauf si vous ne savez pas que vous avez un trou parce que vous n’avez pas marché dans une flaque ! Et la vie, quant à elle, vous met sous les pieds toutes les flaques que vous méritez.

    Buen Camino.

  • Préparation au voyage

    6a00d834209e6353ef015432d76b57970cEn ce moment je suis en train de me préparer au voyage et pour la 3ème fois je vais aller marcher sur les routes Européennes en direction de Santiago (Saint-Jacques de Compostelle).

    Chaque fois c’est différent ! La première fois je suis parti seul et sans préparation. Je suis parti de Paris à Santiago et retour en 5 mois… Je suis passé par la voie de Tours, puis El camino Francès. (5000 Km)

    La deuxième fois, je suis parti de Saint-Jean Pied de Port pour le Camino Francès avec trois de mes enfants, Valentin, Pierre-Jean et Lou, et nous avons cheminé ensemble jusqu’à Léon puis Valentin a terminé seul parce que je devais ramener les plus jeunes chez leur mère. Ce fut une belle découverte et un beau voyage et Valentin à 15 ans a eu sa Compostelle ! (500 km pour moi)

    J’en parlais avec PJ, la semaine dernière et il me disait qu’il envisageait sérieusement de terminer le chemin l’année prochaine. Oui l’année prochaine, si tout va bien ! Et Brigitte et moi nous disions la même chose. L’année prochaine ce serait bien de faire ensemble El Camino Francès… C’est un chemin qui soude un couple ou… le détruit ! Parions qu’il va souder encore plus le notre.

    Et cette année ? Oui Quand ? Que faire ? Et si nous partons marcher en Bretagne … La côte de granit rose … Et la galère commence ! Pas d’hébergement 🙁 Au mois d’aout ? Vous rêvez ? Ok on se calme.

    Cette année nous repartons sur les chemins de Saint-Jacques … Et cette fois ce sera El Camino Primitivo (vers El camino del Norte …) Oui nous partirons d’Oviedo vers Santiago en traversant la montagne en lisière de la Galice pour 320 KM environ ou plus qui sait ? …

    C’est décidé ! Nous partons. Alors nous préparons notre voyage préparation des sacs, préparation physique… Il faut TOUT alléger 😉

    Je vous en parlerez dans mon prochain billet « Comment voyager léger ? » En attendant voilà la carte de notre périple :

    Capture d’écran 2014-07-05 à 10.01.55

     

  • Il faut savoir …. ou pas ?

    Ce matin je reprends le clavier, après ce long week-end de Pâques et ce lundi où j’ai pu assister à un concert de l’ensemble Les violons de France à la Madeleine (voir l’extrait sur Youtube)

    [youtube http://www.youtube.com/watch?v=7yvb-f3t-54]

     

    Une bien belle musique qui correspond à l’humeur du moment. Aujourd’hui je suis en plein deuil. Or cette musique me renvois à l’époque où naissait Létitia, Jérémy, Ange et Valentin qui sont tous nés sur cette belle Musique de Vivaldi. (La 4 saisons). Un deuil souvent en appelle un autre. Et j’en ai vécu des deuils. Vous aussi ? Tant mieux ! Chaque deuils nous permet de passer à l’étape suivante même si le deuil est lourd ! Et même surtout si il est lourd. Après un deuil vécu et traversé, si vous sortez de ce deuil « par le haut » et que vous surviviez, alors vous sortez du deuil plus grand, plus fort, et avec une plus grande capacité au bonheur. (Voir les travaux de Martin Seligman)

    J’écoutais ce matin une chanson d’Aznavour, « Il faut savoir » où, il dit :  » Il faut savoir cacher sa peine, sous le masque de tous les jours ». Et je constate comme c’est difficile de savoir faire cela. Et la question, en corollaire, c’est « pourquoi faire ? »

    Oui pourquoi cacher sa peine ? Je n’ai pas le droit d’être triste alors que je vis un deuil ? Nous vivons dans un monde où « IL FAUT MONTRER UNE JOIE DE FACADE ». Il suffit de regarder toutes ces pages « Facebook » où tout le monde nous explique qu’il est le plus heureux …. Et ceux qui par malheur ne le sont pas… Leurs amis réagissent instantanément en leur disant « Mais il faut garder la tête haute » !

    C’est bizarre ça … D’un coté sur France Inter ce matin dans « le Grand Bazar » on nous expliquait que les Français sont le peuple le plus pessimiste du monde et d’un autre coté … Il faut savoir …..

    Ben moi quand je suis triste, je le dis… Et vous savez pourquoi ? Quand j’étais gamin j’ai lu une phrase qui a changé ma vie :

    « Partage ta peine, elle diminue ! Partage ta joie, elle augmente ! »

    Alors, voilà je suis triste car je clôture une belle aventure, qui a durée 6 ans avec mes amis de Casablanca. Bien-sûr je continue avec mes amis de Tanger et mes relations avec mes amis marocains ne sont pas closes. Seule la formation de coach de Casablanca s’arrête et c’est pour cela que je suis triste.  Demain, sera un autre jour ! La formation de coach continue à Paris et c’est magnifique car je vais pouvoir maintenant travailler pleinement avec le groupe « Business coaching de No Limit Coaching » et cela me remplit d’espoir, sans effacer ma peine. Je n’oublie pas le passé, je tourne simplement la page.