Étiquette : coaching parental

  • Aller à la découverte de soi et l’accepter pour avancer dans la vie.

    Triflexe ACTAprès avoir mené à bien l’expérience sur 7 jours consécutifs en visioconférences dont je parle dans un article précédent, je vous propose maintenant d’aller à la découverte de qui vous êtes et d’apprendre à vous poser pendant un mois pour faire le point sur vos valeurs, et poser des actions engagées. De reconnaitre vos évitements, d’accepter vos émotions… En fait d’apprendre la souplesse psychologique nécessaire pour vous permettre de vivre une vie pleine de sens pour vous. Et cela en passant par des exercices d’observation en pleine conscience.

    C’est à dire :

    1. Chaque lundi soir, à 20:30 et jusqu’à 22:00 maximum, je vous propose la méthode et les outils pour le faire. Et nous échangeons sur ces outils.
    2. Vous mettez en applications ces outils pendant la semaine à votre rythme.
    3. Nous nous retrouvons le lundi suivant à 20:30 pour faire un retour sur les exercices et les expériences faites et je vous donne les outils suivants.
    4. Cela pendant un mois c’est à dire 4 lundis.

    FAQ :

    1. C’est trop cher !
      Réponse : 15 € la séance vous trouvez toujours que c’est trop cher et si vous n’êtes pas content je vous rembourse la première séance et vous arrêtez là.
    2. Encore une méthode magique ?
      Réponse : Rien de magique. C’est une méthode tirée de la recherche scientifique, sur la psychologie positive. (Voir le site de l’ACBS)
    3. Et est-ce que cela va me permettre de me sentir bien au moins ?
      Réponse : je ne promets rien de tel, pensez-vous que se « sentir bien » vous permet de vivre une vie pleine sens ? Vous avez essayé ?
    4. Je connais une méthode meilleure.
      Réponse : L’avez-vous appliqué ? Si oui et que ça fonctionne dans votre contexte de vie , c’est vraiment super ! Ne changez rien. Sinon, choisissez ce qui fonctionne en fonction du contexte.
    5. Je n’ai pas le temps !
      Réponse : Lisez l’histoire suivante : Et si vous sortiez du trou ?
    6. Je ne vous connais pas !
      Réponse : Appelez-moi au 06 75 25 34 42 (France) … Et faisons connaissance 😉
    7. Je n’ai pas d’objectif sur lequel travailler.
      Réponse : Et si vous commenciez par le plus important ? Et l’important dans la vie, c’est de faire ce qui est important, non ? Alors c’est quoi pour vous l’important ? C’est le début de la méthode….
    8. Autre réponse : Voir le point 6.

    Et pour finir aujourd’hui, alors ? Vous voulez prendre la pilule rouge ? (référence à Matrix, suivre ce lien si vous ne connaissez pas cette histoire)

    Si vous voulez plus de renseignements remplissez ce formulaire
    [googleapps domain= »docs » dir= »forms/d/1umJ0-fkJi81DPLfrDkQNhqhQcB_n6xuhRcjzZqkevu4/viewform » query= »embedded=true » width= »760″ height= »500″ /]

  • La motivation, l’argent et l’arrêt de la cigarette.

    Capture d’écran 2015-11-05 à 09.25.27 copieCe matin en discutant avec ma fille préférée (LOL je n’en ai qu’une …), sur Facebook, j’ai touché du doigt une évidence que je n’avais pas envisagé réellement comme une réalité. Et pourtant, lisez donc ce qui suit :  « Le 2 novembre au rythme que j’avais à l’époque cela fait 160600 cigarettes non fumées et au prix moyen de 5 € ce qui est une approximation bien sûr : 26650€ d’économisé. Je fumais alors 40 cigarettes/jour et des Gauloises blondes… C’est énorme ! »

    Monique est intervenue sur mon mur en me disant : « Peut-être que cela va motiver certains de mes enfants »…

    NON !!!!

    L’objectif d’arrêter de fumer est un « objectif d’homme mort » (voir mon article à ce sujet).

    Petit rappel :

    « Si l’objectif du client peut être atteint par une personne morte,
    ce n’est pas un bon objectif d’accompagnement »

    Alors l’objectif de ne pas dépenser de l’argent c’est quoi ? PAREIL !!!! Un objectif d’homme mort ! LOL

    Il va falloir revoir vos valeurs d’abord … (Voir mon article sur le sujet du rôle des valeurs dans ma vie)

    Et pourtant …. J’ai réellement économisé 26 650€ alors, où est passé cet argent ? Si je l’avais mis dans une tirelire, je l’aurais aujourd’hui… Bien sûr j’ai fait d’autres choses, mais quoi ? Avez-vous remarqué comme souvent nous n’agissons pas en conscience ?

    Tiens pour vous mes amis un petit questionnaire sur la conscience (la pleine conscience) où en êtes-vous ? Téléchargez le questionnaire et faites-le pour vous… Et parlons-en si vous voulez. Vous savez que je suis toujours à votre écoute 🙂

    Échelle de pleine conscience de Philadelphie

  • Qu’est-ce que le bonheur ?

    ciblePour beaucoup de gens dans notre société il y a une confusion dans la définition du bonheur. Certains vont même jusqu’à dire que la définition du bonheur est différente pour chacun d’entre nous. Cela met une petite claque à bien des études sur le bonheur, non ?

    Comment peut-on dire que le pays où les gens sont le plus heureux est le Danemark, si les Danois disent eux-mêmes « je suis heureux » en tenant compte de paramètres différents des Français qui disent aussi « je suis heureux ». D’ailleurs moi-même quand je dis « je suis heureux » est-ce que je prends en compte les mêmes choses que vous ?

    Quand je lis le premier paragraphe de Wikipedia, sur le bonheur, je vois quand même se dégager une tendance qui fait un peu consensus actuellement : « Le bonheur est un état durable de plénitude, de satisfaction ou de sérénité, état agréable et équilibré de l’esprit et du corps, d’où la souffrance, le stress, l’inquiétude et le trouble sont absents. Le bonheur n’est pas seulement un état passager de plaisir, de joie, il représente un état plus durable, un équilibre. »

    Dan ce paragraphe je vois plusieurs aspects qui m’intéressent ici :

    • durable
    • plénitude
    • pas de souffrance
    • inquiétude absente

    Est-ce que cela voudrait dire que je ne dois pas avoir des émotions désagréables pour être heureux ?

    Dans notre société française actuelle (et certainement dans d’autres pas si lointaines) il existe une croyance, que dis-je ? Il existe un mythe selon lequel : « Pour être heureux, il faut supprimer les émotions négatives ».

    Cette injonction, nous pouvons la lire sur les réseaux sociaux, auprès des adeptes du « secret » et de la loi d’attraction… (Vous savez ce que je pense de cela et j’ai déjà écrit sur le danger du secret.)

    Je ne vais pas ici revenir sur le développement précédent, mais seulement rappeler que pour vivre. Simplement vivre il faut être capable de ressentir des émotions agréables et, désagréables ! Vouloir éliminer de sa vie les émotions désagréables, revient simplement à ne pas vouloir vivre. Or ne pas vouloir vivre, c’est quoi ?

    Pour moi la définition du bonheur :

    Le bonheur c’est de vivre une vie pleine de sens portée par mes valeurs.

    Cela est un peu loin de cette définition alternative : « Le bonheur c’est de me sentir bien »…N’est-ce pas ? Car cela veut dire que pour moi, pour être heureux, il faut pouvoir vivre pleinement les émotions agréables et désagréables. Or tout ce qui a du sens apporte son lot de plaisirs et de souffrances. Pour vivre pleinement sa vie, et donc, être heureux, il est nécessaire de savoir face à ses émotions désagréables.

    Faire face ne veut pas dire « éviter », ni « supprimer » et heureusement, car avez-vous essayé de le faire ? Dans un précédent article sur le désespoir créatif, j’explique les conséquences de ces tendances.

    Alors que faire ?

    1. Connaître ses valeurs
    2. Défusionner d’avec ses pensées
    3. Être conscient de là où on est
    4. Poser des actions pour aller vers ses valeurs.

    Nous avons abordé les valeurs dans des articles précédents. On verra dans un prochain article, comment commencer, à défusionner. On continue le voyage vers le bonheur ?

     

     

     

     

     

  • Un de mes collaborateurs pue… J’en fais quoi ?

    visiteursLa question est un peu provocatrice et c’est volontaire. J’en fais quoi de quoi ? Est-ce que la question est « j’en fais quoi de cette information »  ou « j’en fais quoi de ce collaborateur » ?

    Pas facile comme situation pour un manager. Et si en plus vous êtes son N+2 ? Déjà que ce n’est pas facile dans la vie privée alors dans la vie professionnelle, vous imaginez ? Et en plus si vous êtes dans un pays autre que le votre, cela se corse ! (Effectivement j’en viens… 😉

    Le GBS (Gros Bon Sens) va nous aider !

    1 – Traiter l’autre comme j’aimerai être traité

    La démarche est « traiter l’autre comme vous aimeriez être traité si vous étiez à sa place. Eh oui, souvenez-vous que nous odeurs sont plus difficiles à percevoir que celles des autres. Alors peut-être que vous aussi vous avec un problème, pourquoi pas ? Comment aimeriez-vous être traité ?

    Personnellement, je pense que j’aimerais être traité avec bienveillance. Et vous, qu’en pensez-vous ?

    2 – Discrétion

    Restons connectés au premier principe. Aimeriez-vous que cela soit jeté en pâture dans les autres ?

    3 – Conscience

    Toujours connecté au principe 1. Êtes-vous conscient de toutes vos odeurs, vous-même ? Vraiment toutes ? C’est peut-être pareil pour l’autre.

    4 – Changement possible ?

    Et vous pouvez vous changer votre odeur ? Peut-être bien que oui… Ou peut-être bien que non ! Certaines odeurs sont liées à une maladie en cours… (Crise d’acétone, kystes graisseux…) Alors qu’y faire ? Peut-être qu’il est nécessaire de garder simplement nos distances…

    5 – Comment le dire ?

    Et vous comment aimeriez-vous qu’on vous le dise ? Parce qu’en fait, si vous voulez changer quelque chose chez l’autre c’est pour quoi faire ? C’est bien parce que vous voulez continuer à collaborer avec cette personne, non ? Alors comment vous parleriez à une personne avec qui vous voulez continuer à travailler ? Calmement ? Certainement, mais encore ? En annonçant des faits et non des jugements sur l’origine de l’odeur ? Ou en accusant l’autre de cet état de fait ? Comment exprimez-vous vos propres besoins ? Savez-vous le faire ?

    6 – Culture

    Connaissez-vous les coutumes du pays dans lequel vous évoluez ? Croyez-vous qu’au Maroc, ou au Vietnam on ait les mêmes perceptions des odeurs dites agréables ou non ? Comment perçoit-on les odeurs corporelles dans cet endroit ? Savez-vous que pour certains l’odeur corporelle et un facteur de séduction important ? Pourquoi d’autres masquent-ils les odeurs avec un, parfum très fort voir insupportable pour d’autres.

    7 – Préparation à l’action

    Alors maintenant vous savez ce que vous allez dire ? Et si vous passiez à l’action !

    On fait le point ? Moi j’aime bien la méthode CQQCOQP… Exemple :

    • Comment ? En tête à tête
    • Qui ? Moi je ne le fais pas dire par quelqu’un d’autre que moi
    • Quoi ? Je parle de l’odeur, la prise de conscience de l’odeur et de mes besoins spécifiques face à la situation
    • Combien ? 1 fois
    • Où ? Dans mon bureau
    • Quand ? Demain matin
    • Pourquoi ? Parce que cela m’empêche d’être efficace quand je travaille avec cette personne
    • Pour quoi ? Pour pouvoir travailler ensemble dans la bonne humeur et la joie

    Et hop ! C’est parti ….Et vous comment répondez-vous à toutes ces questions? Parler de l’odeur c’est intime non ? Pas facile à faire ? Et si nous travaillons ensemble sur l’assertivité ? savoir poser des limites… etc… Il y a du boulot, hein ?

  • Les jeunes recherchent le bonheur, et les cinqua , alors ?

    HappyNous avons été avec Brigitte, mon épouse, visiter une exposition à la Gaïté Lyrique. « The Happy Show » de Stefan Sagmeister dont l’exposition fini le 9 mars. Ce fut une belle heure. Oui c’est cela une heure voire Une heure 30, et pour certains c’est deux heures de visite dans le bonheur.

    Une exposition sur le bonheur ? Je me suis dis, moi, qui suis coach, « Whouaouuuu, je DOIS y aller ! ». Et, bien-sur, je n’ai pas appris grand chose car j’ai lu les ouvrages de Seligman, de Sonja Lyubomirsky. Bien-sûr et donc je connaissais tout cela. Alors pourquoi y aller ? Parce c’est simplement un lieu ou une personne partage en toute simplicité, avec nous, ce qu’il en fa ait ! Oui, c’est frai ça. Qu’a-t-il faut de tout ça ?

    Il y a des moments de rêve et des moments de pure joie. Des choses bizarres, où l’on voit des gens faire la queue pour un simple chewing -gum…. Et se donnent la chance de partager avec les autres un moment de pure convivialité sans stress !

    faire la queue pour un bonbon dans la joie et la bonne humeur. Vous vous rendez compte ? A notre époque de vitesse  où attendre est une infamie sur pattes pour certains. La preuve, le nombre de personnes qui abandonnent parce qu’il faut faire la queue devant un magasin… Et bien là non ! Ils attendent ! Personnellement, j’ai un appareil dentaire alors … Pas de queue pour ça et les bonbons au gingembre-caramel, non plus…. Mais par contre voir les visages de ceux qui découvrent et sont heureux de partager le concept…

    En plus c’est une vrai pub pour mon activité ;: LOL regardez cette photo… c’est le discours de quelqu’un qui pratique l’hypnose. Et quand vous savez que là c’est la science, qui nous appuie … Quelle pub ! 😉

    Et ce fut un vrai moment de « bonheur » ! Quelle ne fut pas ma surprise … Il n’y avait que 2 cinqua …. Brigitte et moi…. Et nous étions mort de rire, et nous étions des jeunes nous aussi.. Mais pourquoi seulement nous ? Où sont passé les cinqua ? Les journaux disent que les Français sont pessimistes. Est-ce vrai ?

    Vous y avez été à cette exposition ? Non ? Allez-y c’est plein de jeunes de moins de 30 ans. Etonnant-non ? Est-ce une conséquence des réseaux sociaux et des effets de buzz ? Comme pour cette chanson « Happy » ? Qu’en pensez-vous ?

  • Violence contre les femmes

    stop-violences-femmesIl y a quelques temps… Je ne préfère pas préciser la date pour éviter les problèmes à la personne qui est l’héroïne malheureuse de mon aventure. Je prenais l’avion comme souvent pour le trajet vers le Maroc et retour. Cela se passait pendant le vol de retour, vers Paris CDG. Il y avait une femme qui est entrée dans l’avion avec des lunettes noires. Ce qui m’intriguait c’est que la lumière n’était pas très forte en cette période hivernale, le soir. Et je me suis dit des lunettes noires, le soir ? Tiens donc ?

    Puis pendant le vol elle a ôté ses lunettes noires pour lire et j’ai vu son oeil, où plutôt le dessous de son oeil, cerné de noir, comme un boxeur qui aurait pris un coup. Or elle n’avait pas le gabarit d’un boxeur mais elle était assise auprès d’un homme qui lui avait des poings capables de marquer un si beau visage.

    Tandis que le boxeur s’est endormi après le décollage, je me suis tourné vers elle et nos regards se sont croisés. je lui ai souri et j’ai aperçu dans ses yeux un gouffre profond de tristesse. Elle m’a répondu par un sourire. Un peu comme un réflexe des ses neurones miroirs tandis que j’étais tendu complètement vers les miens et, c’est là que j’ai senti passer une émotion qui ne m’appartenait pas j’ai senti comme une brisure en moi. Moi qui ne suis pas brisé et que rien jusqu’ici n’a pu briser. Mon empathie m’a transmis ce message de « jouet cassé ». J’ai montré mon oeil discrètement et j’ai regardé le boxeur qui dormait et elle a incliné la tête puis a replongé dans son livre pour que je rompe le contact.

    C’est quand elle est allée aux toilettes tandis qu’elle passait près de moi que je lui ai tendu discrètement ma carte de visite en lui disant : « Ceci est ma carte de visite, si vous avez envie de parler à quelqu’un qui sait écouter, c’est mon métier, appelez-moi. Ne prenez pas cette carte si vous ne voulez pas et si vous la prenez sachez que cela ne vous engage à rien. »

    Lorsque nous avons quitté l’avion je l’ai laissé passer et elle a incliné la tête en souriant, elle portait à nouveau ses lunettes. Puis je suis rentré chez moi et j’ai raconté cela à mon épouse, qui comme certains parmi vous le savent est responsable d’un service social. Et elle m’a dit : « Il y a un site à consulter sur ce sujet avec des vidéos très instructives pour des professionnels comme toi. C’est http://stop-violences-femmes.gouv.fr/« 

    Je ne peux pas m’empêcher de mettre un lien vers la première video : MÉCANISMES DE LA VIOLENCE / REPÉRAGE / PRISE EN CHARGE : Professionnels, un rôle essentiel dans la lutte…par droitsdesfemmes

    Et si tous les professionnels de l’accompagnement se donnaient la main sur ce sujet ? hein ? Aujourd’hui je suis triste, je me sens un peu impuissant… Et si elle ne m’appelait pas d’ici trois jours ? En France tous les 3 jours une femme meurt sous les coups de son conjoint…

  • Comment vous comportez-vous dans la relation amoureuse ?

    tourterellesLa recherche sur la psychologie positive montre que la vie de couple contribue au bonheur de manière assez importante (Voir le livre de Martin Seligman – La fabrique du bonheur – Vivre les bienfaits de la psychologie positive au quotidien). La vie de couple va influer de manière importante dans la mesure où notre comportement face à ces relation sont plus « sûres » et dans la durée. Les comportements sont autour de 4 tendances qui se classent autour de deux paramètres :

    • Peur de la séparation
    • Peur d’être envahi

    On retrouve face l’amour encore une fois la peur. L’amour comme force de construction et la peur force de destruction, comme le décrit, Neale Donald Walsch dans son livre Conversations avec Dieu.

    Ces quatre types sont :

    • Le type sécurisé
    • Le type évitant
    • Le type anxieux
    • Le type effrayé

    Souvent la relation que nous avons à l’amour est une variante de la relation que nous avons cultivé avec nos parents. Comme vous pouvez l’imaginer c’est bien les personnes ayant des relations sécurisées qui vont améliorer de manière importante la « taux » de bonheur global de chacun. Il suffit d’une des deux personnes pour influer sur le bonheur du couple ! Vous avez le pouvoir de le faire. Ce n’est pas une fatalité de rester dans un type de relation. le coaching peut vous y aider bien entendu. 😉

    Vous voulez savoir où vous vous situer avant de commencer ? Il existe un site très intéressant sur la psychologie positive où vous pouvez passer tous les tests. Ici celui qui vous intéresse est « Close Relationships Questionnaire« … En Anglais ? Oui vous avez deviné. Tous les tests sont en Anglais. Vous pouvez vous y rendre sur le site : http://www.authentichappiness.com …

    Bon si vous êtes pas du tout anglophone voici une description sur les trois premiers types :

    1. Je trouve qu’il est relativement facile d’être proches des autres et je me sens à l’aise lorsque je dépends d’eux et qu’ils dépendent de moi. Je n’ai pas peur d’être abandonné ou que quelqu’un soit trop proche de moi.
    2. Je suis un peu mal à l’aise d’être proche des autres. je trouve difficile de leur faire pleinement confiance, de me permettre de dépendre d’eux. Je suis nerveux lorsque quelqu’un est trop proche de moi et il arrive souvent qu’un partenaire souhaite avoir un niveau d’intimité plus important  que celui avec lequel je me sens à l’aise.
    3. Je trouve que les autres hésitent à être aussi proches que je le souhaite. Je m’inquiète souvent de ce que mon (ma) partenaire ne m’aime pas vraiment ou ne souhaite pas rester avec moi. Je souhaite fusionner totalement avec une autre personne, et ce désir fait parfois fuir les gens.

    Alors vous êtes 1, 2 ou 3 ? (1 = sécurisé, 2 évitant, 3 = anxieux) Je ne parle pas des 4 car pour eux … C’est la fuite !

    Alors comment agissent les couples de « type sécurisé » ? En 5 heures par semaine, ils vont augmenter la force de leur couple et leur niveau de bonheur.

    • Séparation : Avant de se dire au revoir, chaque matin, chacun découvre une chose que l’autre va faire ce jour là ( 2 minutes X 5 jours = 10 minutes )
    • Retrouvailles : A la fin de chaque journée de travail, le couple a un conversation peu stressante de retrouvailles ( 20 min. X 5 jours = 1 Heure 40 min )
    • Affection : Se toucher, s’enlacer avec tendresse et pardon ( 5 min X 7 Jours = 35 min )
    • Un RDV hebdomadaire : Réflexion sur leur amour dans une ambiance détendue ( 2 heures X 1 fois par semaine )
    • L’admiration et l’appréciation : Des manifestations sincères d’affection une fois par jour ( 5 min X 7 jours = 35 min)

    Facile  ! Non ? 5 heures par semaine ! En 5 heures seulement le bonheur grandi et le couple aussi... Et vous ? Vous en faite partie de ce couple ? Non ?

  • Quand l’acquis modifie l’inné

    IMG_7321Dans le magazine « Science et vie » numéro 1152 de septembre, un article retient mon attention, car, faisant suite à une discussion sur l’inné et l’acquis avec un ami. Vous savez une discussion comme il en existe le soir après un repas où l’on va reconstruire le monde. C’est magnifique comme le monde est souvent reconstruit pour le meilleur et pour le pire au cours de ces soirées. On y laisse tous un morceau de notre vie, sur une table et un banc comme le chantait Michel Fugain voir la vidéo ci dessous :

    [youtube=http://www.youtube.com/watch?v=7kxxO4AG8kU&w=420&h=315]

    Dans cet article de science et vie l’idée de base est : « Penser acquis plutôt qu’inné »

    Dans les années 2000 un chercheur a prouvé qu’un épisode de famine vécu par un ancêtre modifie le métabolisme des petits enfants ! Un régime alimentaire peut suffire à désactiver certains gênes sur plusieurs générations. cela signifie que nous pouvons aider nos descendants… Génial non ?

    Il suffit que je modifie ma manière de vivre pour pouvoir aider mes descendants à lutter contre des maladies que je pourrai transmettre et les aider à avoir une vie meilleure. Bon, comment la modifier ? Et quand le faire ? Bien sûr, pour moi, qui ai déjà eu, mon petit cancer et qui ne peut plus avoir d’enfants c’est trop tard ? Ben non… Car mes petits enfants inter-agissent encore avec moi. Simplement, je peux par exemple leur transmettre ma joie de vivre en espérant que celle-ci sera et restera contagieuse.

    Mes enfants aussi peuvent encore agir… Ils vont avoir des enfants … Ils ne sont pas encore né… Et les actions de papa et maman avant la conception agissent dans le « bon » sens… Donc mon action est aussi de les informer.

    Y -a-t-il un danger à cette magnifique nouvelle ?

    OUI !!!! Les intégristes, de tout poil, qui vont maintenant faire pression sur nous pour changer notre façon de vivre « pour notre bien » ! Et je ne parle pas d’action de respect, pour l’autre, comme dans le cas de la cigarette, mais de « respect » de notre descendance…. Que nous ne connaissons pas encore et que nous ne connaîtrons peut-être jamais.

    « A cause » de nos enfants pourrons-nous encore détruire nos petites cellules grises avec un « bon » verre de whisky ? Pas facile de placer le curseur, hein ? Notre liberté est un bien fragile. Et si je ne veux pas être heureux ? Ai-je le droit ?

    Bien-sûr nous n’en sommes pas encore là mais lorsque j’entends que je peux aider ma descendance en me changeant moi-même, que j’en ai le pouvoir, est-ce que j’en ai le devoir ?

    Allez… A vos neurones ! C’est VOTRE CHOIX ! Et heureusement 😉

  • L’article où enfin vous avez la clé de l’histoire

    6a00d834209e6353ef0168ebf54e29970cVoici la clé de mon histoire : « Je vous aime » Oui !

    Je vous aime, vous là ! Les humains qui me lisez, pas les machines. Vous les lecteurs en chair, en os, et peut-être bien en métal et kévlar, je vous aime. Vous les hommes, les femmes, les ceusses qui ne savent pas leur genre, les enfants, et même les enfants des ceusses nommés avant, je vous aime. Enfin je veux dire les humains de tous poils, et même ceux sans poils.

    Oui je vous aime et je tiens à vous le dire et le répéter.

    Certains croient en des divinités, d’autres croient en un dieu unique, et d’autres comme moi ne croient pas en cette entité, qui peut-être n’en est pas une. Certains croient qu’il est partout, et d’autres croient qu’ils est au ciel. Moi, je suis plutôt comme Prévert qui écrivait « Notre père qui êtes aux cieux, restez-y et nous et nous resterons sur la terre qui est quelquefois si jolie » (extrait de Paroles).

    Et sur Terre, j’ai rencontré quelque chose d’extraordinaire, pour moi : « L’amour »
    (Vous pouvez trouver plus de ce que j’y ai trouvé dans un précédent article sur le sujet)

    Et depuis que j’ai trouvé cela… Je ne peux m’empêcher de vous écrire comme si une force extérieure me poussait à le faire. Alors je commets des écrits ! Et depuis, que j’écris, j’ai remarqué que tous mes amis, qui n’ont pas de blog pour la plupart d’entre-eux, et qui eux, me lisent, me signalent régulièrement, qu’ils ont remarqué que je fais des fautes d’orthographe. Et cela, est tellement vrai ! Alors je vais vous faire une confidence : « Je fais du mieux que je peux pour vous transmettre dans les meilleures conditions possibles le contenu de mes messages d’amour« .

    Il peut arriver, que je ne fasse pas de fautes d’orthographe car je suis perfectible et humain, donc inconstant dans l’effort sur la durée. Je le sais, aussi, car cela m’est arrivé, une fois, au moins, dans ma vie et je peux donc être sûr que cela est potentiellement, accidentellement, arrivé.

    Alors si par malheur, vous ne trouviez pas de fautes d’orthographe dans mes écrits, ne mettez pas en doute l’authenticité de ceux-ci, avant, d’avoir vérifié à la source, c’est à dire, moi.

    Peut-être que réellement que j’ai commis cela… Demandez-moi. Je ne voudrais pas que quelques fautes d’orthographes en moins coupe la communication entre-nous. Je serais réellement triste car effectivement, je vous aime et du mieux que je peux et je lutterai contre le dieu « orthographe » de toutes mes forces, car celui-ci engendre quelque fois le silence, qui est pire que la mort. je continuerai à m’exprimer en faisant du mieux que je peux pour éviter les parasites orthographiques. Et ceux-ci ne m’empêcheront pas de vous exprimer mon amour. L’amour sera plus fort que la mort et le silence.

    A bientôt 🙂

  • La plainte un procédé perdant dans tous les cas.

    CalmimeroDernièrement j’écoutais se plaindre quelqu’un qui a été soumis à une épreuve quelque peut difficile. Jugez-en par vous même.

    Le soir arrivait et cette dame se préparait à se coucher. Son conjoint remplit son verre d’eau pour la nuit à la cuisine, puis passant par devant la porte d’entrée s’aperçoit qu’il y a de la fumée dans l’appartement. Il a appelle la dame  : « Viens vite ! Il y a le feu dans l’appartement »… Branle bas de combat ! Je ne vous ai pas dit que la dame à plus de 80 ans et habite au 3ème étage. ne trouvant la source de l’incendie, ils ouvrent la porte d’entrée… C’est l’enfer dehors , avec une fumée âcre et noire qui rempli l’escalier ! Alors, ils referment la porte d’entrée et se dirigent vers le balcon et, s’aperçoivent là, que la fumée leur bouche la vue à l’extérieur aussi.

    Heureusement les pompiers sont déjà sur place et  les appellent …. « Restez près du sol madame, asseyez-vous et fermez les fenêtres et les portes, on vient vous chercher ! »… Quelques minutes plus tard un pompier prend la dame dans ses bras et lui fait descendre par une nacelle les 3 étages, en même temps que son mari. OUF ! Les voilà saufs !

    Tout est bien qui fini bien… Il suffira de nettoyer l’appartement de la fumée qui s’est déposée sur les tapis, les meubles et le sol… Une entreprise de nettoyage et hop ! Cela c’est moins bien passé pour l’incendiaire qui habitait au premier étage et incendiaire malgré est brulé au 2 ème et 3ème degré sur une grande partie du corps.

    Alors là, la dame arrête sont récit et me demande : « Tu te rends compte ? Le pompier m’a dit heureusement que vous étiez réveillés sinon vous auriez pu mourir étouffés ! C’est terrible ! » et moi de répondre « Ouf, c’est finalement génial que tu t’en sorte comme cela non ? » Et là, la réponse, me laisse sans voix : « Je te dis que j’ai failli mourir et toi tu dis que c’est génial ? Tu ne comprends rien ou quoi ? » Aïe ! J’aurai du me taire…. le pompier aurait du se taire… La terre entière ferait mieux de se taire je crois… La dame vient de survivre et moi je suis heureux pour elle, mais non ! Elle veut que je la plaigne …

    Que répondre  à une plainte ? Si je lui dis que je suis compatissant, elle peut me répondre, « Mais tu ne comprends rien ou quoi je m’en suis sorti c’est génial non ? » Et alors ? Vive le silence.

    Finalement je m’en suis sorti en répondant et maintenant « Comment tu te sens ? Veux-tu que je t’aide ? Que puis-je faire pour t’aider ? Que vas-tu faire pour la suite ? »

    Et elle est reparti sur une autre plainte « Maintenant il faut que j’attende l’expert, je ne peux pas faire le ménage et en plus on m’a conseillé d’aller à l’hôpital pour faire une radio des poumons » et là … je ne me suis pas fais piégé ! LOL (pas deux fois !) Et j’ai répondu … « Et que vas-tu faire ? veux-tu que je t’aide à quelque chose ? » … Elle a bredouillé quelque chose d’incompréhensible sur le fait d’avoir à faire « quelque chose » d’urgent et m’a dit « au revoir ».

    Fin de l’aventure ! Cela me rappelle un précédent article sur les demandes pas claires… Vous vous en souvenez ? Il est facile de se faire piéger dans ce genre de situation, surtout si la personne en face de nous est une personne que l’on aime. Combien de fois devant une personne qui a perdu son conjoint on ne sait sur quel pied danser. Maintenant je reste ouvert : « Que puis-je faire pour t’être agréable, pour t’aider, pour alléger ta peine ? » Et vous ? Comment procédez-vous pour ne pas vous faire tirer à vue, alors que vous voulez sincèrement aider l’autre ? Et oui je ne demande pas comment « manipuler » l’autre mais comment réellement lui offrir votre aide… Des pistes ?

    Partageons, ce espace est fait pour cela, non ?