Étiquette : coaching

  • Ne t’énerve pas !

    ColèrePourquoi est-ce que l’expression « Ne t’énerve pas ! » est complètement inutile ?

    Avez-vous remarqué que lorsque vous commencez à vous énerver, si votre interlocuteur à la bonne, ou mauvaise, idée de vous dire la phrase qui tue « Ne t’énerve pas ! », vous pouvez alors sentir monter en vous, un énervement encore plus grand, voire une véritable explosion de colère !

    Vous avez peut-être vécu cela en sens inverse, non ? Pourquoi cela ?

    C’est relativement simple à exprimer, mais peut-être un peu plus difficile à accepter. Notre inconscient, et donc la partie agissante, de nous-même dans l’instantanéité, ne perçoit pas la négation et réagit à la phrase « Enerve toi »

    Je donne un exemple ? Suivez mes consignes …. « Ne pensez pas à un éléphant bleu ! » ….

    Vous avez perdu ! je le sais … N’est-ce pas ? Vous y avez pensé car pour ne pas y penser il vous faut d’abord conceptualiser ce à quoi vous ne voulez pas penser, et hop !

    On recommence ? C’est parti ! « Pensez à un éléphant bleu ! » …

    Vous avez gagné ! Vous n’avez pas pensé à un crocodile jaune à pois bleu ! Bon maintenant c’est fait ….

    Lorsque vous formulez négativement un objectif vous donnez vie à ce que vous ne voulez pas ! C’est ce que vous voulez ?

    Et si vous formuliez les choses positivement, cela changerait quoi dans votre vie ?

    Bonnes vacances et profitez-en pour vous entrainer. 🙂

  • Une fleur violette se réserve à qui peut la surprendre.

    IMG_7268Une fleur violette dans mon jardin cette après-midi, se cachait dans la pelouse. Depuis combien de temps se cachait-elle ? Je ne saurai le dire, mais aujourd’hui, je la vois ! Et oui, j’ai enfin réussi à la voir cette fleur qui était là dans pelouse de mon jardin, discrète et silencieuse. Silencieuse comme le sont les petites fleurs qui ne sifflent pas sous le vent et discrète comme le sont les fleurs sans parfum agressif.

    Ce matin je croyais que ma pelouse n’hébergeait pas ce genre de fleurs or aujourd’hui je donnais un cours de PNL (le dernier jour) et je rappelais aux stagiaires que les croyances se justifient par l’expérience. Et nous avons directement abordé la notion de croyances « ressources » et de croyances « limitantes ». Bien sûr j’expliquais que cela est « conjoncturel » et qu’une croyance limitante, ne devenait limitante que dans la mesure où elle ne permet pas d’atteindre son objectif que celui-ci soit un objectif personnel ou bien un objectif qui viennent de l’extérieur d’ailleurs.

    Certaines pensent que le port d’un attribut est nécessaire pour vivre leur vie et cet attribut fini par être indispensable pour elles. Tout cela parce qu’elle croient être différentes des hommes et avoir des devoirs différents d’eux parce qu’elles sont femmes. Personnellement, je ne le crois pas car je pense que les hommes ne différent pas tant que cela des femmes, et qu’il y a quelque fois plus de différence entre deux hommes qu’entre un homme et une femme. N’oublions pas que je suis un anti « Mars-Vénus » (voir mon billet à ce sujet) et que la science semble aller vers mon idée de la chose.

    Lorsque je croie quelque chose j’agis en conséquence pour justifier ma croyance ! Si je ne crois pas que je vais trouver le beurre, j’ouvre le frigo et… je ne trouve pas le beurre !

    Si je crois que dans mon jardin, j’ai une chance de trouver des fleurs, il suffit d’y aller et je vais faire le nécessaire pour en trouver. Bien-sûr il est possible que je n’en trouve pas quand même. mais… Si je crois ne pas trouver de fleurs dans mon jardin… Pourquoi est-ce que j’irai en chercher ?

    Et joignant le geste à la parole, j’y vais … Dans mon jardin et regardez la photo… Elles sont petites… Toutes petites et elles existent ! Le bonheur est autour de nous… Enfin j’y crois… Le bonheur est en nous… Ca aussi j’y crois… Est-ce que c’est pour cela que je suis heureux ?

    Et vous ? Vous y croyez au bonheur ? Avez trouvé des fleurs dans votre jardin ? Où simplement dans la rue ? Les fleurs sont là …. Pourquoi pas le bonheur ?

    C’est cela la « méthode apprécitiave »… D’abord une croyance… Puis une expérience.

     

  • Une invitation au partage

    ArbreAujourd’hui à la veille du début d’un stage que je vais animer à partir de demain, je suis dans un état d’esprit de véritable accueil aux autres. C’est un moment très agréable où revient dans ma mémoire l’histoire de l’arbre. Vous connaissez cette histoire ?

    L’histoire de l’arbre

    Pour moi la vie est un arbre, dont les racines plongent dans notre passé et les branches sont dirigées vers notre avenir. Cet arbre est au milieu d’une grande cour, entourée de bâtiments.

    Chacun d’entre-nous vivons dans des appartements du RDC au 9 (ou plus…) ème étage en fonction de notre niveau de conscience et de notre intégration de notre vécu.

    L’idée de base ?

    Nous voyons tous le même arbre mais pas de la même manière en fonction de notre angle de vue, de l’appartement où nous vivons. Si vous êtes de l’autre coté de la cour vous ne voyez pas l’arbre de la même façon que moi.

    Invitez-moi à voir cet arbre de chez vous ou venez chez moi. Mon appartement vous est ouvert. Tout le monde peut visiter. Partageons nos points de vue, et loin de diminuer ceux-ci, nous augmenterons notre angle de vue.

    Une seule demande si vous venez chez moi : « Essuyez-vos pieds avant d’entrer et ne posez pas vos crottes de nez sous la table du salon« 

    Bienvenue !

  • Un cadeau dans l’été : Les araignées.

    IMG_7239Hier je voulais installer la lumière dans un sombre placard, dont je vous ai mis la photo en début d’article. En haut de ce mur il y a un trou qui permet de passer un fil que je vais relier au réseau principal de courant de la cave. Pour cela j’ai besoin de passer derrière ce mur dans un espace appelé « vide sanitaire ». Vous connaissez les vides sanitaires ?

    C’est un endroit où personne ne va jamais et qui devient rapidement le paradis des araignées. Ca y est le mot est lâché : « Les araignées » !

    Suite à un problème physique je suis incapable dans des conditions acceptables de passer sous le vide sanitaire aussi j’appelle à l’aide mon fils Valentin. Valentin est très serviable, et particulièrement gentil, et c’est vraiment une de ses caractéristiques principales. sa réponse ne fait aucun doute … Et bien si !

    « Papa, je suis arachnophobe ! »  Pour info, l’arachnophobie est la phobie des araignées. Voir Wikipedia pour plus de détail

    Je propose une solution. « Tu sais que je pratique Tipi, et je peux t’aider à désactiver cela. » et sa réponse ne se fait pas attendre. « Tu m’a dit qu’il fallait une expérience précise, présente à l’esprit. Et je n’en ai pas ! »

    « Ben, voilà une bonne occasion non ? Mort de rire ! » et lui aussi de rire … Je te propose de faire passer devant toi ma canne de marche en faisant des moulinet… Cela détruira les toiles d’araignées puis tu passeras avec un projecteur puissant.. OK ? »

    Alors, il se lance… Avec lenteur… Avec circonspection… doucement puis.. Il y arrive.

    « BRAVO !!! Et merci Valentin… »

    Le soir après le repas, mon fils vient me voir… « Papa, je sors quelques minutes mais avant peux-tu me faire un Tipi ? Car J’ai maintenant une situation ! (Sourire)« 

    • « OK ! On y va! »
    • « Ca va être long ? »
    • « Non 10 minutes max… »
    • « OK ! »

    Et nous fîmes notre séance… Un succès ! Il ne reste plus qu’à vérifier cela à l’appui d’une expérience, et surtout, mon fils m’a fait confiance. Il m’a permis de l’aider et il m’a aidé, en retour, en me permettant d’avoir le 220V dans le placard… Un échange bénéfique pour les deux.

    Voilà pourquoi je parle de cadeau, un vrai cadeau au coeur de l’été.

    Merci à moi d’avoir osé faire appel à lui et d’avoir appris Tipi, merci aux araignées d’exister, et merci à Valentin pour sa gentillesse et sa confiance.

  • Une fille se fait violer : Le coupable est le violeur !

    VIOLFaut pas me prendre pour un idiot, quoique quelque fois je sois un idiot moi-aussi parce que je manque de conscience, mais je me soigne. Je viens de lire un article sur un viol… Un article sur un viol qui a eu lieu au Maroc. Cet article est un cri de colère et de désespérance face à un système qui semble être insensible aux douleurs des femmes (J’ai mis le lien vers cet article en fin de mon billet mais lisez d’abord le reste de mon article avant d’y aller)

    A la manière de Zola l’auteure accuse les institutions de ne rien faire. Je suis mal placé pour réellement savoir ce que font les institutions dans ce cas, mais je peux constater que la malaise est grand à la lecture des commentaires.

    Puis je suis tombé sur un commentaire qui m’a fait bondir hors de ma chaise et j’ai senti le sang taper sur mes tempes et la colère monter en moi. En effet comment peut-on accuser les parents qui laissent sortir leur fille avec leur amis d’être coupable du viol de leurs filles ?

    D’après l’auteur de ce commentaire le malaise est sociétal. Je suis d’accord avec lui il est sociétal, en effet, car comment comprendre une société où le coupable est celui qui est violé, celui qui qui est battu, par des hommes qui se comportent comme des animaux !

    Lorsque j’étais ados, j’ai entendu cette phrase d’une maman qui disait à la mienne : « Moi, je lâche mon coq, gardez vos poules ! » et je lui ai répondu et si « ton coq veut garder ses dents, il n’a qu’à se tenir à carreau, si il approche une de mes amis, je lui fais avaler son dentier, OK ? » … Elle est repartie avec son fils sous le bras, et me maudissant… Quelle cette société où l’on accuse les parents de vouloir le meilleur pour leurs enfants simplement parce que ce sont des filles ?

    Pour moi le coupable est « LE VIOLEUR » et c’est le seul coupable. L’être humain se différencie des animaux par son niveau de conscience, Or notre conscience elle même est aveugle de ce quelle ne perçoit pas. A partir du moment où une croyance existe dans notre vie, celle-ci prend sa place. Comment une croyance prend sa place ? En se justifiant par l’expérience et non l’inverse ! Nous construisons nos croyances par généralisation, omission ou distorsion… (Principes de la PNL)

    Une fois qu’une croyance est acquise nous perdons le pouvoir sur elle ! C’est elle qui dirige notre vie en se justifiant par l’expérience. (Voir mon article St Thomas et moi)

    Exemple : Si je pense que la femme est mauvaise (voir la tentatrice qu’était Eve) c’est donc qu’elle ne s’est pas comportée comme il faut si il lui est arrivé cela ! Elle a du être à l’origine de cela, car le pauvre homme s’est fait aveuglé par cette femme, et puis les parents auraient du la protéger … etc…

    A quoi sert la société si ce n’est de protéger les plus faibles ? Voilà mon système de croyance à moi sur quoi il est fondé. cela vaut bien certaines morales qui veulent emprisonner les femmes dans une armure individuelles, car la société ne veux pas prendre en charge son rôle ! Est-ce trop cher ?

    Le sujet n’est pas l’objet. La vraie question n’est pas « Comment ne pas se faire violer ? MAIS « Pourquoi est-ce que je suis un violeur ? » Ce n’est pas la victime la coupable et qui doit se questionner, mais bien le violeur qui doit chercher dans son système de croyance quelle est la croyance qui pilote ?

    Notre humanité est à ce prix 

    Voilà l’article de référence : http://www.hyawhowa.com/violez-impunement-jaccuse/

    A bientôt

  • Les vacances, un bon moment pour faire le point.

    CroisementVous allez partir en vacances ? c’est génial, non ? Un peu de calme, ou du farniente, où des vacances en marchant, voire un beau voyage en vélo, pourquoi pas ? Et si vous transformiez vos vacances en « vacances intelligentes » ?

    Les vacances c’est aussi le moyen de faire le point sur sa situation personnelle. Globalement la méthode qu’utilisaient les bâtisseurs de cathédrale peut éclairer notre construction de vie, car finalement construire sa vie n’est pas une simple action de construction ? Certains pensent que les plans sont déjà fait et qu’ils peuvent uniquement choisir de trouver la voie qui lui est destinée, d’autres pensent que les plans sont à faire et que seul le hasard dirige les choses et qu’ils doivent sortir du chaos par leur propre volonté. Mais tous peuvent à un moment où à un autre faire le point !

    Je résume les 5 phases du travail d’un bâtisseur :

    1. La première phase est la phase de la découverte et de l’extraction de la matière première. C’est un travail d’extraction de la pierre « brute ». C’est un travail qui se fait avec vigilance et persévérance, car la pierre est fragile et peut se fendre si on n’y prends garde. c’est un travail où celui qui commence le travail va devoir aller au fond de ses ressources internes, dans le silence. Rechercher qu’elle type matériau sont sur sa route, car c’est cela qui va déterminer avec le climat environnant le type de bâtisse à construire. Et oui on ne construit pas le même type de maison au Maroc où la pluie est plus rare et dans le nord de la France avec ses maisons en briques, où en montagne où la neige abonde ainsi que la pierre avec ses maisons aux toits pointus et leurs murs épais, ou les chalets canadiens. Ici nous devons creuser au fond nous pour découvrir tous nos talents. La volonté et le discernement sont à l’oeuvre 😉
    2. La deuxième phase est la phase de planification et du choix du lieu de construction. C’est la phase où l’on dessine la maison à construire ou on essaye de retrouver le dessin que l’architecte nous à fait, pour ceux qui pensent que tout est écrit, mais finalement cela revient au même dans les faits. Cela nécessite ouverture d’esprit et méthode dans la salle du trait, où se dessine notre vie. A la règle, notre capacité à avoir le compas dans l’oeil. C’est une phase où il ne faut pas oublier la direction de nos travaux, c’est là que le choix de l’objectif va devenir pour nous une règle de vie.
    3. Apporter les matériaux sur le terrain est le but de la troisième phase. C’est souvent ici que le bât blesse car nous ne sommes pas obligés de construire notre maison sur place, nous pouvons « choisir » le lieu si nous avons les moyens de déplacer la pierre. Par exemple, quel est l’effet levier qui va nous permettre de réussir à travailler moins pour gagner plus ! 😉
    4. C’est la phase de construction proprement dite. C’est là que l’on va élever les murs que l’on va vérifier que tout est d’équerre ! C’est la phase qui est souvent privilégiée et malheureusement sans les phases précédentes c’est comme si on donnait un coup d’épée dans l’eau. Et sa la phase suivante, c’est… pareil… Toutes les phases sont utiles.
    5. La cinquième phase est la phase où l’on fait le point. C’est celle du retour sur soi, la phase où l’on peut lisser les murs. C’est la phase  des vacances où les mains dans les poches, on peut admirer ou vérifier le travail accompli. C’est le moment où l’on peut s’apercevoir que l’on a une envie d’agrandir sa maison, où l’on voit que le travail fait peut-être fait plus simplement qui sait ? C’est travail indispensable que l’on fait pendant les « vacances ». car les vacances ne sont pas un moment où l’on est « absent » en laissant sa place vacante dans le monde. Nous sommes toujours dans le monde. la différence c’est que le travail est fait avec les mains « vacantes » ou vides ! C’est un moment aussi où l’on peut décider d’ajouter à ses talents d’autres compétences, d’autres points forts.

    Alors vous partez en vacances ? C’est génial non, Profitez-en pour faire le point ! Pourquoi pas avec un coach, durant le mois d’août ? En 4 séances vous ferez un véritable saut quantique c’est à dire un saut immédiat et en plus « non réversible » car cela c’est l’effet coaching.

    Vous pouvez aussi en profiter pour apprendre la PNL et/ou l’hypnose avec moi, ou avec d’autres, bien-sûr, et cela me ferait plaisir de vous voir dans mes locaux du 10 au 19 août pour la formation de praticien PNL et praticien hypnose.

    Et maintenant je pars marcher quelques jours sur les chemins du mont Lozère, pour faire moi-même ce point, suis-je en vacances ? oui ! Mais je ne laisse pas ma place vacante dans le monde… Et la maison continue de vivre au rythme des enfants et des petits enfants. 🙂

  • Les dégâts du secret dans les familles

    Une fois n’est pas coutume je vais commencer mon article par vous faire visionner un petit extrait (60 secondes de ratatouille, ce film magnifique de Pixar. Alors… Regardez et lisez ensuite la suite …

    [wpvideo gYScpRfS]

    Vous avez vu ? Edifiant non ? Est-ce que cela ne vous jamais est arrivé ? Non ? Et pourtant cela arrive dans presque toutes les familles, ou avec nos amis. Enfin cela arrive particulièrement avec … Nos amis ! ceux qui veulent bien se confier à nous. Et oui, pour qu’il y a ce type de comportement il faut qu’il y ait un secret à confier.

    J’ai déjà lu la phrase qui dit que « Dès que deux personnes connaisse un secret il y a une de trop ! » Et vous par rapport au secret où en êtes-vous ? Etes-vous prisonnier du secret ? Un prisonnier volontaire ou non volontaire ? Parce que le problème se situe à cet endroit là !

    Exemple : je suis coach et donc dans mon contrat de coaching je suis astreint à la discrétion (puisque le secret professionnel, ne concerne en France que certaines catégories de personnes définies par la loi)… moi le secret, je le cultive par la discrétion, malgré tout si j’avais connaissance d’un crime… Ce serait différent … »Dura lex sed lex » la loi est dure et c’est la loi… Au delà, il y a le choix de la désobéissance civique quand la loi est (ou semble) injuste et que l’on se bat contre la loi, car on estime que la justice et au dessus de la loi… Mais cela est un autre débat, je vous renvoie à un film magnifique, et très dur, sur la guerre d’Espagne : « le labyrinthe de Pan » qui traite magnifiquement de ce sujet épineux.

    Oui, le secret est un sujet épineux car il a un lien direct avec la liberté ! mettre quelqu’un dans le secret c’est le priver de liberté… Dans un certain sens mais c’est aussi lui permettre de garder sa liberté si il décide de ne pas rester prisonnier quelque soit le prix à payer. Car le secret, prive l’autre de liberté par le poids du prix à payer pour sortir de ce secret.

    Quand un membre de la famille, dit à un autre : « Je vais faire une fête et je t’y invite mais n’en parle à personne » … Et bien il décide de prendre en otage l’autre qui va par le fait même du respect du secret s’éloigner de ses proches. le secret par les liens qu’il créé entre certains sépare des autres.

    Souvent c’est un bon moyen de séparer les gens de leur famille, de les isoler et les rendre dépendant et ce système manipulatoire peut amener à des dérives sectaires.

    Personnellement, quand on me dit « je vais te confier un secret », je sais que je vais le garder … Peut-être ou peut-être pas…. Et je le dis !

    Je ne garde un secret, que lorsqu’il est conforme à ce que mon niveau de conscience peut valider, en conformité avec mes valeurs.

    Vous connaissez mes valeurs ? Bien… Alors partageons un secret ensemble : « Je vous aime ! » Comment ça ce n’est pas un secret ? Vous le saviez déjà ? 😉

  • Sauvez ma fille : elle est agoraphobe mais… Elle ne peut pas venir 😉

    Foule– Bonjour Madame, donc, votre fille est agoraphobe ?
    – Oui c’est cela !
    – Et donc elle ne peut pas se déplacer ?
    – Oui, car cela provoque chez elle des crises d’angoisse !
    – D’accord, Elle ne peut pas de déplacer car cela provoque chez elle des crises d’angoisse. C’est bien cela ?
    – Oui, exactement ! Alors, Monsieur, pouvez-vous l’aider ?
    – Je ne sais pas madame.
    – Ah !?
    – Oui, je ne sais pas car il est nécessaire tout d’abord que je puisse m’entretenir avec elle, pour répondre à cette question. Puis-je lui parler ?
    – Maintenant ?
    – Oui, pourquoi pas ?
    – Elle n’est pas là !
    – Ah ? Elle ne peut pas venir car cela provoque des crises d’angoisse et elle n’est pas là ?
    – Non, elle est sortie.
    – OK, donc elle n’a pas de crise d’angoisse aujourd’hui ?
    – Non, effectivement.
    – Donc il y a des moments où elle n’a pas de crise d’angoisse ? C’est super ça !
    – Oui…
    – OK, pouvez-vous lui demander de m’appeler pour échanger sur sa phobie au téléphone ? Cela ne devrait nécessiter que quelques minutes.
    – Vous êtes sûr ? Vous ne voulez pas venir ?
    – Je suis sûr, Madame, je ne viendrai pas chez vous pour vous faire payer quoi que ce soit, c’est à dire mon déplacement et ma consultation, sans avoir eu d’abord un échange téléphonique avec votre fille.
    – Cela va être difficile ! Ah, pourquoi d’après vous ?
    – Parce qu’elle doit aller chez son père la semaine prochaine.
    – OK, alors la semaine d’après ce sera possible.
    – Oui, mais elle a l’école….
    – Je comprends, cela semble très difficile que votre fille m’appelle, Madame, votre fille agoraphobe, passe son temps dehors de chez vous ? Et elle n’a pas de portable ? C’est cela?
    – Non ! Elle a un portable.
    – Super ! Alors elle peut m’appeler avec son portable ?
    – Cela est possible, oui.
    – Bien ! Alors j’attends son appel, puis je vous recontacte.

    Que croyez-vous qu’il se passât suite à ce bel échange avec cette maman affolée ? Vous ne savez pas ? La fille ne m’a pas appelé ! Mais la mère m’a recontacté. Toujours affolée… Je vous raconterai dans un prochain billet, l’échange avec la maman. Allez… En quelques mots… Voilà le contenu :

    – Bonjour, Monsieur, ma fille ne vous a pas appelé ?
    – Non, Madame…
    – …/…
    – Et comment va-t-elle ?
    – C’est bizarre… Ella va mieux ! Je n’y comprends rien. Mais… Elle m’a dit qu’elle vous avait appelé.. Ce n’est pas vrai ???
    – Super, (Rire) votre fille a changé de pathologie ! De Agoraphobe, elle serait devenue, menteuse ? (Rire) Mais, dite-moi, menteuse, n’est pas une pathologie… Quoi que …
    – (Rire)… Ou c’est cela…
    – Et vous là dedans ? Comment allez-vous ?
    – Je suis perplexe et angoissée…
    – (Silence…) Donc vous m’avez appelé pour les angoisses de votre fille et maintenant que votre fille va bien… (Silence…) Vous êtes angoissée ? C’est cela ?
    – (Silence) Non pas vraiment… (Silence) Mais …(Silence) Oui ! C’est cela vous avez raison !
    – OK, donc j’ai une bonne nouvelle et… (Silence)
    – Une mauvaise c’est cela ?
    – Non pas vraiment et une autre bonne nouvelle…(Rire)
    – (Rire)
    – La première « votre fille n’est peut-être plus agoraphobe… Peut-être une histoire de bénéfice secondaire… Pourquoi pas ?
    – … C’est quoi un bénéfice secondaire ?
    – C’est un bénéfice inconscient qui justifie de garder un problème conscient …
    – Ah ?
    – Oui il y en a un certain nombre… 9 ou plus… Par exemple :
    * l’excuse pour ne pas faire quelque chose,
    * l’habitude car changer c’est « dangereux »
    * l’exutoire, l’évitement,… etc..
    * le pire c’est peut-être l’identité … Car le problème est ma raison d’être !
    Vous voulez la deuxième bonne nouvelle ?
    – Oui !
    – Bien alors voilà, vous êtes avec moi au téléphone et vous avez un problème… La bonne nouvelle c’est que vous avez appelé la bonne personne pour vous aider !
    – (Rire) Vous êtes un bon vendeur, non ?
    – Ca dépend, vous êtes une bonne acheteuse ? (Rire)

    Bilan de ce billet. La maman a découvert à ses dépends, que vouloir sauver l’autre malgré, lui ne fonctionne pas. (cf Triangle de Karpman) et moi … J’ai permis à cette dame d’économiser de l’argent sur une thérapie pour enfin s’occuper de son problème à elle, et de le dépenser dans un coaching personnel ! 😉

    Car dans cette histoire… Qui a un problème ? La mère ou la fille ? La dame voulait un praticien TIPI, pour sa fille, et elle a trouvé un coach, pour elle !

    Bien à vous

  • Comment une information incomplète devient un argument fallacieux.

    François Hollande lors de son  discours à continué sur sa lancée, à affirmer un argument qu’utilise aussi la droite Française, dans son ensemble, pour justifier l’augmentation de l’âge de la retraite. En effet, il affirme : « L’espérance de vie s’allonge, il faut allonger la durée de cotisation ».

    Je me disais de manière empirique, mais alors si l’espérance de vie augmente, qu’en est-il de notre capacité à « profiter » de notre retraite ? Et hier, j’ai reçu le dernier numéro de Science et Vie (juin 2013) et là… J’apprends que l’espérance de vie, en bonne santé, est en baisse ! Et cela ça change tout !

    J’entends l’argument qui dit les travailleurs actifs financent la retraite des travailleurs qui ne sont plus actifs et c’est là que se pose le problème. En effet le revenu cumulé des travailleurs actifs devient insuffisant pour fiancer la retraite des travailleurs non actifs. Et après envisagé divers scénarios, la politique peut alors trancher entre les diverses options qui sont… Faisons participer TOUS les revenus pour participer à la guerre contre la pauvreté, et pour la solidarité… Y aurait-il des personnes « plus solidaires » que les autres ? Bon ce n’est pas mon propos, bien que je pense que cette voie n’a pas été assez visitée…

    Maintenant je reviens à l’argument qui affirme « Travailler plus longtemps car espérance de vie plus longue ». Mais de quoi parle-t-on ? Une espérance de vie avec la maladie d’Alzheimer? Une espérance de vie cloué dans son lit avec des problèmes de dos ? Une espérance de vie dans une chambre d’hôpital ? Une espérance de vie avec une maladie évolutive qui nous amène petit à petit vers la mort ?

    Mais de qui se moque-t-on avec ces arguments ? Car les études scientifiques en cours prouvent que en France si l’espérance de vie est la plus importante en Europe avec une moyenne à 81,4 ans (pour les femmes), les mêmes statistiques nous placent en 9ème position avec une espérance de vie en bonne santé n’excédant pas 65 ans (pour les même femmes) ! Il y a 4 maladies détiennent le record pour miner l’espérance de vie en bonne santé :

    • L’Arthrose
    • Le cancer du poumon
    • La maladie d’Alzheimer
    • L’insuffisance cardiaque

    C’est étude portent sur 400 000 personnes… je vous laisse découvrir cette étude sur Science et Vie.

    Alors messieurs les politiciens, votre argument est bien fallacieux ! Partir à la retraite à 65 ans c’est pour la plupart des gens quitter la travail pour la maladie… Est-ce cela l’avenir de la retraite ? La « retraite » c’est bien comme son nom l’indique le « retrait » d’une ressource usée pour le remplacement par une ressource neuve. Comme on jette les vieilles piles usagées

    Alors « qu’un vieux qui meurt c’est toute une bibliothèque qui disparaît » (Proverbe Africain) quand on change de paradigme… Sommes-nous seulement, des ressources humaines, ou, des richesses humaines ? En effet, pour moi, nous prenons de la valeur avec le temps qui passe, par nos échecs et nos réussites, par l’accumulation de toute l’expérience valorisée par notre analyse, et cela est vraiment le contraire de ce que l’économie actuelle mondiale affirme, en nous traitant comme une ressource à exploiter… A 50 ans, tu ne vaux plus rien… Car tu coûtes trop cher…

    Alors, il va falloir réfléchir et agir… Remplaçons les GRH (Gestion Ressources Humaines) en VRH (Valorisation des Richesses Humaines). Le coaching va dans ce sens, et si nous en parlions ? Comment valoriser votre richesse ?

  • Ce n’est pas au vieux singe…. 🙁

    MasterClassVous connaissez certainement cette expression : « Ce n’est pas au vieux singe que l’on apprend la grimace ».

    Quelle tristesse dans cette phrase, et quel désespoir pour les vieux de plus de 30 ans, si ils prennent cette phrase au pied de la lettre. Je pense que tant que je serai capable d’apprendre, je serai capable de vivre. Quelle tristesse que de savoir que l’on ne peut plus apprendre. Quelle tristesse que de dire ou d’entendre dire : « Je ne peux pas apprendre » ou « Je sais ! » à propos de tout et de n’importe quoi.

    Il y a quelques temps, j’ai commis un article sur l’apprentissage et sur ma mère qui a suivi une formation de praticien en hypnose à 81 ans. (Vous pouvez le lire ici). Dans cet article je parle du bienfait de l’apprentissage permanent. Au delà de cet effet bénéfique, une question que je me pose est « qu’est-ce que je veux faire de ma vie ? » et je dois dire qu’une partie de la répons est pour moi « Transmettre et aider » mais, que transmettre si je ne continue pas à apprendre. Chaque jour m’apporte des occasions d’apprendre.

    Allez je vous donne en mille ce que j’ai appris hier … Vous le savez déjà ? J’appris à faire un noeud à ma lacets qui tienne  grâce à TED… Grâce à Terry Moore, que je remercie du fond du coeur.

    Voici la vidéo édifiante de mon apprentissage… et Have fun … Profitez de ce moment : « APPRENEZ !!! » et pour ceux qui n’auront rien appris de la vidéo, qu’avez-vous appris hier ? Partagez avec moi 😉

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    Maintenant je vais vous transmettre ce que je crois avoir compris et mis en application dans l’école que j’ai créé (No Limit Coaching). Voici les niveaux d’apprentissage :

    • Inconsciemment incompétent : à ce niveau la personne ne sait pas que cela existe, et ne sait pas l’étendu de ce qu’elle ne connaît pas.( en entreprise : Pas de terme, extérieur à l’entreprise – compagnonnage : Profane )
    • Consciemment incompétent : à ce niveau la personne sait qu’elle ne sait pas ! Quel progrès ! ( en entreprise : Junior, Apprenti – compagnonnage : Apprenti )
    • Consciemment compétent : à ce niveau la personne sait ce qu’elle sait et doit y porter son attention pour faire. ( entreprise : Senior – compagnonnage : Compagnon )
    • Inconsciemment compétent : à ce niveau la personne sait ce qu’elle sait et elle le fait sans y penser. Elle connaît tous les trucs et astuces du métier. Et c’est là que le danger est le plus grand à cause du syndrome de Peters. ( entreprise : Expert – compagnonnage : Compagnon )
    • Consciemment incompétent de sa capacité à transmettre : à ce niveau la personne sait ce qu’elle sait et n’a plus besoin d’y porter son attention pour le faire, mais elle sait qu’elle ne sait pas transmettre, et veut apprendre à le faire. ( entreprise : Expert – compagnonnage : Maître )
    • Consciemment compétent de sa capacité à transmettre : à ce niveau la personne sait ce qu’elle sait et n’a plus besoin d’y porter son attention pour le faire, elle sait qu’elle sait transmettre, et doit y porter son attention. ( entreprise : Tuteur – compagnonnage : Maître )
    • Inconsciemment compétent de sa capacité à transmettre : à ce niveau la personne sait ce qu’elle sait et n’a plus besoin d’y porter son attention pour le faire, elle sait qu’elle sait transmettre, et n’a plus besoin d’y porter son attention. Elle peut rester focaliser sur la motivation de l’autre et ouvre le champs des possibles. ( entreprise : Mentor – compagnonnage : Maître )

    ATTENTION DANGER : Le syndrome de Peters… C’est quand l’expert se connecte à ses peurs et qu’il confond savoir et pouvoir.

    La transmission est une boucle qui passe par :

    • Je reçois
    • Je crée
    • Je donne
    • Et l’on recommence !

    Mais si vous regardez bien cette boucle il y a un début …. Où est-il d’après-vous ? C’est simple….. Vous voyez ? Non ? Le début c’est… je crée puis je donne et je reçois….

    Pour que cette boucle fonctionne il faut quelque chose à donner. Et c’est pour cela que pour moi un master coach est un créateur….

    Un coach certifié qui a créé SON outil peut ensuite en faire profiter les autres ! C’est pour cela que les d’après moi, une formation de master commencent par : « Puisque tu es coach et que tu pratiques ton métier… et que maintenant que tu es un expert… Alors veux-tu créer ton chef d’œuvre de maître que tu transmettra aux futurs maîtres ? »

    Voilà, mon état d’esprit …  Et vous ?