Étiquette : coaching

  • La 5ème saison : Savoir se poser, pour mieux repartir.

    Brigiitte et Pierrr AmourVous connaissez le modèle de Hudson ? Non ? Alors suivez ce lien avant de continuer, oui alors lisez la suite…

    Dans ce modèle qui ressemble furieusement aux 4 saisons de notre vie de tous les jours, nous avons choisi, en occident (enfin ce que l’on appelle communément l’occident) ,  de commencer l’année en phase 3, c’est à dire en hiver. Nous commençons l’année quand les jours sont les plus courts et que la lumière semble perdue…Et cela est lié à l’histoire de la religion Chrétienne et se trouve à l’époque (où très près en tout cas de la célébration de la naissance du Christ).

    Les Chinois, eux, la commence, cette fameuse année, au printemps; c’est à dire en phase 4 du modèle de Hudson. Et il nous en reste en occident, quelque chose qui a un lien avec un temps où nous commencions l’année, nous aussi, au printemps, c’est le fameux poisson d’Avril !

    Quant aux Musulmans c’est la fête de l’Hégire qui elle, commémore, un évènement historique de la vie du prophète Mohammed. L’Hégire (la « rupture » ou l »exil ») désigne en effet le moment où le
    prophète Mahomet, avec quelques compagnons, a quitté la Mecque pour se
    rendre à Médine et y fonder une communauté répondant à ses souhaits,
    c’est à dire soudée autour des mêmes croyances. Et cette période, se situe, vers le mois de novembre (variable selon les années), en automne donc, et en pleine phase 2 du Modèle de Hudson.

    Cela évoque chez moi la notion de choix personnel que chacun de nous peut faire pour repartir dans sa vie et commencer un nouveau cycle dans son existence.

    VitruveDans le référentiel des bâtisseurs des cathédrales, le bâtisseur faisait une pause, lors de son 5ème voyage, lui aussi, pour faire le point sur l’œuvre réalisée et celle à faire. Il en reste quelque chose dans l’association du nombre 5 à l’homme (Voir l’homme de Vitruve de léonard de Vinci) ainsi que le nombre d’Or Voir le livre de Matila GHIKA que j’aime beaucoup mais qui malheureusement est assez cher. 🙁

    Si j’en reviens à notre modèle de Hudson, cher aux coachs, il n’y a que 4 phases comme il n’y a que 4 saisons… Et si nous nous donnions le choix de décider que nous allons créer une 5ème saison ?

    La saison de la pause hors du temps… La saison pour faire le point !

    Et si nous rajoutions des jours épagomènes qui peuvent être festifs, et occasion de faire la rupture dans le rythme effréné de notre vie moderne. Et si donc, nous choisissions de créer notre propre 5ème saison, et non pas de rester des « consommateurs actifs » piégés par le rythme moderne qui s’impose à nos vacances dont il ne reste que des belles photos et de la nostalgie.

    Choisir de se poser pour mieux repartir… Vous pratiquez vous ?

    Aujourd’hui c’est mon jour… Et au programme, Écriture et réflexion sur ma vie. J’y suis et je vous invite, dans mon intimité, relative, pendant cet article

    Puis, au programme rencontre avec celle et ceux qui me sont chers, et enfin hammam, gommage, enveloppement et massage détente…. Un grand moment…

    Et vous ? Comment intégrez-vous vos jours épagomènes ?

    Personnellement, avec mon épouse, nous avons choisi de programmer ces jours comme sont programmées les fêtes légales et religieuses, c’est à dire indépassables et immuables dans notre calendrier.

    Bonne 5ème saison…. Je passe à la suite… 🙂

  • Le plaisir d’apprendre : Activité autotélique ?

    6a00d834209e6353ef0177449ce22d970dDrôle de titre ne trouvez-vous pas ? Qu’est-ce qu’une activité autotélique ?

    C’est une activité qui se suffit à elle-même. Et l’apprentissage se suffit-elle à elle-même ?

    Je viens d’en faire hier l’expérience en apprenant à utiliser mon flash en mode asservi puis apprendre à utiliser ma machine à coude pour faire du surfilage (arrêt de bout de tissu coupé pour éviter que cela s’effiloche) et pour faire les ourlet d’un jean noir que je viens d’acheter.

    C’est magique, je n’ai pas vu le temps passer pendant que j’apprenais.

    Comment utiliser le mode sans fil du flash, rechercher la documentation sur internet car ma documentation est…(je ne sais pas où !)…

    Puis lire et faire … faire et vérifier, tester toutes les positions du flash, puis avec et sans télécommande en testant chaque valeur de la balance des blancs en mode automatique non !!!! En mode manuel… Vérifier la priorité à l’ouverture puis priorité à la vitesse avec est sans auto-focus… avec un mini-pied et sans …

    Pour c’était vraiment pied et je n’ai pas vu le temps passer….

    6a00d834209e6353ef017c31bf3a71970bPuis apprendre à utiliser la machine à coudre (la nouvelle que je n’avais pas encore touché pour faire un ourlet … Apprendre à enfiler avec le système (génial) qui mets le fils dans l’aiguille (presque) seul… Vérifier avec un vieux drap, les mode de tension… changer le pied… la longueur du pas et la largeur…. faire une boutonnière simplement pour le plaisir de savoir le faire…

    et enfin couper mon pantalon à la bonne longueur, et surfiler puis faire mon ourlet…. Le premier avec avec cette machine…

    Et cela m’a renvoyé à l’époque où j’apprenais les mathématiques au lycée… L’éqpoque où nous nous retrouvions pour échanger, philosopher, projeter nos apprentissage dans notre monde .Où même en discothèque nous parlions des mathématiques… de la physique… et filles 😉

    Puis j’ai revu la perte d’intérêt pour ces sujets en arrivant vers les classes préparatoires… La lente descente de la motivation à faire et pratiquer dans ce domaine où j’excellais pourtant… La finalité avait changé… Seule la réussite aux concours comptait et cela … Ne comptais pas pour moi… Seul la joie d’apprendre comptait, la joie du partage… La source de la motivation par la finalité avait disparue…

    J’ai retrouvé cela sur la route, en marchant vers Saint-Jacques de Compostelle… Arriver finalement était moins important que les gens que je rencontrais sur la route, les paysages que je regardais, les cailloux du chemin… Aller à Saint-Jacques de Compostelle finalement c’est mettre un pied devant l’autre et rencontrer les autres et soi-même au bout du compte… Et cette activité se suffit bien à elle-même….

    Et si nous transmettions cela à nos enfants… L’effort est plus important que le résultat. Le plaisir est dans l’échec autant que dans la réussite… Et si je n’arrive pas à faire un ourlet aujourd’hui… Quelqu’un le fera pour moi… Et demain je saurai si j’apprends…. le temps est notre allier et il se contracte quand nous sommes dans le flow (voir la définition en lien avec les activités autotéliques).

    Je reviendrai sur ce sujet…. L’apprentissage est voie royale vers la construction de soi… Et le but de la construction de soi c’est quoi ? Pensez-vous qu’un jour vous aurez fini ? Que vous serez un homme fini ? Non ? Bien sûr !

    Alors apprenons chaque jour davantage… Simplement pour vivre !

    Bien à vous

     

     

  • La cigarette m’a volé un ami.

    6a00d834209e6353ef017744910b14970dJe viens d’accompagner vers sa dernière demeure un ami. Il est mort d’un cancer du poumon. Il est mort et je suis triste… Triste et en colère !

    Tout d’abord cela me pose un certain nombre de questions auxquels je n’aurais pas forcement la réponse mais que je dois envisager d’abord.

    • Fumait-il ? OUI !
    • Avait-il décidé d’arrêter de fumer?  NON !
    • Voulait-il mourir ? Il refusait d’en parler !

    Voilà tout est dit, et je reste avec ma tristesse, mais il y a aussi la colère !

    La tristesse et la colère sont deux émotions. Le mot émotion vient du latin « e movere » qui signifie, mettre en mouvement… Une émotion est un signal que me transmet une partie de moi pour m’indiquer qu’un changement est nécessaire.

    Pas facile d’interpréter la suite, hein ? Un changement, oui, mais lequel ?

    La tristesse c’est relativement simple et très complexe. cela veut dire qu’il y a un deuil à faire. Bon, OK, cela je le présentais un peu avec le décès de mon ami, car un deuil est un ajustement psychologique qui tend à stabiliser son état émotionnel suite à une perte.

    Mais que vient faire cette colère alors ? La colère est une émotion qui nous indique qu’une de nos valeurs a été violé par quelque chose ou quelqu’un…

    Qui a violé quoi ?

    Une de mes valeurs, (une chose importante pour moi) est la vie. C’est précieux et je pense que la vie ne doit pas être gaspillée en vain. Cela rejoins la valeur du mot sacré : c’est ce pourquoi je suis prêt à me sacrifier… (même étymologie)…

    Alors quoi ? Fumer c’est mourir une fois sur deux. Statistiquement un fumeur sur deux va mourir des suites de la cigarette et pourtant mon ami fumait. Est-il conscient de ça ? Oui m’a-t-il dit un jour et pourtant il fumait… Voulait-il mourir ? Il refusait d’en parler…. Le déni ! C’est la pire des choses que nous pouvons vivre.

    Refuser de regarder la vérité en face c’est terrible, or je suis coach et une grande partie de mon métier c’est d’aider les gens à prendre conscience de leur situation et je n’ai rien pu faire… Pourquoi ? Parce qu’il ne m’a pas demandé de l’accompagner à cela !

    J’aurai pu … Quoi ? Faire de l’ingérence dans sa vie alors que je cultive l’autonomie ? La contrainte ? Contre son avis ? NON ! Car cela va encore à l’encontre d’une de mes valeurs : la liberté et l’autonomie.

    Pas facile la vie, pas facile la mort… Tout se tient dans ce paradoxe.

    Le soir de sa crémation, j’étais chez lui et je voyais sur la terrasse tous les hommes qui fumaient ensemble… Sauf moi… Un d’entre-eux n’avait pas de feu pour allumer son bâton de mort (son clope) et un autre lui a dit : « Un homme sans feu est un homme sans queue »… Et je me suis aperçu que je n’avais pas de feu sur moi puisque je n’en ai pas besoin… Alors je me suis dit affectivement la cigarette a encore de beaux jours devant elle … Et les pompes funèbres aussi… Alors je suis entré dans la maison et j’ai pleuré en pensant à mon ami dans son four… Lui a avait du feu, mais plus de queue, et même plus rien d’autre que des cendres.

    La cigarette m’a pris mon ami… Le cancer m’a touché en 91 et j’en ai réchappé, je ne fume plus… Mais j’ai fumé longtemps. Mais mes enfants pour la plupart fument… J’ai transmis la vie à mes enfants et en même temps je leur ai transmis la mort, que faire ? Leur dire ? Leur dire quoi ? Qu’ils vont mourir ? Cela est une évidence. Leur dire que je suis triste de les voir détruire leur vie à petit feu ?

    Pierre (c’est moi) et si tu regardais ailleurs ? Mais je ne peux pas !!!  Je ne suis qu’un homme et j’ai déjà perdu un fils, et cela est insupportable, les parents ne devraient pas enterrer leurs enfants.

    Et si nous décidions d’arrêter de fumer ? Qu’est-ce que je dis moi… Les buralistes vont être au chômage, alors Pierre réfléchit un peu l’économie est plus importante que la vie. C’est aberrant !

    Je suis en colère contre mais cela ne suffira pas… Je suis en colère contre mon impuissance. Alors j’ai décidé d’accompagner gratuitement un fumeur qui veut s’arrêter de fumer, le coaching sera gratuit pour une personne…

    Faire une action concrète… Ma colère s’éloigne … Jusqu’au prochain décès…

    Pour ce cadeau si vous êtes en Région Parisienne écrivez-moi ou appelez-moi… Je n’offre cela qu’à une personne, je ne veut pas mettre au chômage tout le monde, mais je tiens à faire quelque chose pour mon ami…

    Bien à vous

  • Montez votre compétence et le plaisir vient

    6a00d834209e6353ef017c316ec873970bVous connaissez des gens, voire certaines fois, vous en faites partie, qui disent : « Je n’aime pas faire ça ». Posez leur la question suivante : « Et quel est le degré de compétence que tu as atteins dans ce domaine ? ».

    En d’autre terme, vérifiez que la personne sais de quoi elle parle réellement. Souvent l’incompétence dans un domaine s’associe avec le déplaisir. Et la réciproque est vraie.

    Je vais vous donner un exemple, tirer des discussions avec ma fille (avec son accord bien-sûr).

    Ce matin nous avons été passer un moment à la piscine, avec ma fille et ma petite-fille.

    Pour ma petite fille ce fut une initiation au petit bain dans les bras de Papidoux (moi-même) pendant que ma fille nageait dans le grand bain, puis nous avons inversé et j’ai été nagé quelques longueurs pendant que ma fille et sa fille jouaient dans l’eau.

    En sortant de la piscine, ma fille me dit :

    • Tu vois aujourd’hui quand je nage je prends du plaisir, je nage vite et longtemps. Il m’arrive même de prendre du plaisir à enseigner aux débutants comment avancer dans le plaisir et l’efficacité.
    • (Moi) Je me souviens quand tu es arrivée à Saint-Maixent-l’Ecole, ce n’était pas le cas.
    • (Elle) Non, effectivement je mettais plus de 3 minutes à faire 100 mêtre et c’était la galère ! Puis j’ai eu un accident et le médecin a précisé que le seul sport possible était la piscine, alors pour ne pas perdre complètement la forme. J’ai du me résoudre à y aller plus souvent. Puis j’ai demandé aux anciens leurs trucs, comment nager vite, comment respirer, comment…
    • (Moi) Oui tu leurs a demandé de te former, c’est ça ?
    • (Elle) C’est ça ! Et plus je suis monté en compétence et plus c’était facile et plaisant… D’ailleurs aujourd’hui je recommence avec la course à pied ! Et je commence à aimer ça !
    • (Moi) (LOL) J’ai vu tes performances sur Facebook !
    • (Rire collectif)

    Ce dialogue est seulement un exemple, et dans mon métier (je vous rappelle que je suis coach), J’ai pu souvent constaté que la même chose se produit dans divers domaines…

    6a00d834209e6353ef017c316ec92f970bMême dans le domaine de la nourriture, car le goût s’éduque… Je pourrais vous raconter comment j’ai commencer à apprécier la nourriture d’Afrique sub-saharienne, alors que je n’y connaissais rien… et donc je n’aimais pas !

    Rappelez-vous de ça quand vous n’aimez pas quelque chose. Posez-vous la question : « Je n’aime pas en toute connaissance de cause ou bien est-ce parce que je ne maîtrise pas le sujet ? »

    Est-ce pareil dans le couple ? Pourquoi pas ? Réflechissez-y un peu…

    Ensuite vous pouvez vous redonner le choix, un vrai choix … celui que l’on fait non pas parce que l’on a peur de ce que l’on ne connaît pas mais un choix en toute connaissance de cause !

    Mais qu’est-ce que vous voulez vraiment ?

    Bien à vous

  • Engagement personnel VS engagement collectif

    6a00d834209e6353ef0167690bcf4c970bJe reviens de mon île ! J’étais en vacances… Au sens propre du terme vacances… J’étais dans un trou en surface… Un magnifique trou, loin de vous (d’internet) et de vous certainement sauf si vous habitez en Corse.

    Je ne résiste pas à l’envie de partager avec vous ce petit coin de paradis. (Voyez les photos de cet article).6a00d834209e6353ef017743e70cdf970d

    Sur cette plage, il m’est arrivé une histoire peu banale. Je vous raconte.

    J’allais repartir de la plage où je venais de faire trempette et de pêcher une soupe de poissons de roche quand une dame m’interpelle :

    – Bonjour, Monsieur, excusez-moi de vous déranger.

    – Vous ne me dérangez pas !

    – J’ai dans la main depuis presque une heure un carton que j’ai ramassé sur la plage. Vous vous rendez-compte ? Il y a des gens qui jettent n’importe quoi sur cette magnifique plage. C’est bien dommage.
    Je ne trouve pas de poubelle. Pourriez-vous déposer cela dans une poubelle sur votre passage en rentrant ? Ce serait formidable !

    – Bien-sûr, Madame !

    – Merci beaucoup.

    – Cela me fait plaisir, au revoir. 6a00d834209e6353ef017743e735d5970d

    – Au revoir….

    Je me suis retrouvé avec un petit carton de lait au chocolat dans les mains, et lorsque je suis passé davnt une poubelle… je l’ai jeté. Puis en rentrant à la maison, je me suis dit … Et si elle n’avait rencontré personne qui soit d’accord pour lui prendre ? Et bien, elle aurait gardé son petit carton avec elle, et l’aurait certainement jeté dans une poubelle car son engagement individuel était réel.

    Personnellement, je me sens dans la même dynamique et il m’arrive régulièrement de le faire, mais j’avoue que je n’aurai pas pensé à demander à quelqu’un qui passe de m’aider dans ma démarche.

    Mais là ! Il y a eu une collaboration entre deux personnes (voire trois ou quatre puisque mon épouse et ses enfants ont participé en tant que spectateurs à la scène)

    Et le bilan est grandement positif ! J’ai rencontré une personne qui agit comme moi ! Je me sens réconforté dans mon action personnelle, il en est de même pour elle…. Et les spectateurs peuvent s’apercevoir que cela peut fonctionner.

    Notre engagement individuel et conforté par notre engagement collectif et les spectateurs peuvent se trouver entraîné dans leur engagement individuel par notre engagement collectif.

    Finalement pas besoin d’attendre une engament collectif pour s’engager individuellement… Et nous pouvons toucher du doigt que c’est mieux de faire que de dire et si on est plus nombreux cela peut nous soutenir dans notre action.

    Alors engagement collectif ou engagement individuel ?

    Brigiitte et Pierrr AmourJe pense que l’engagement individuel peut déclencher un engagement collectif qui peut à son tour déclencher des engagement individuel. c’est une sorte de cercle vertueux, qui s’entretient par l’action individuelle.

    Alors, chacun d’entre-nous, choisissons nos engagements individuels et lançons le changement par l’action, la suite c’est l’Histoire qui se construit.

    C’est vraiment la démarche du coaching par excellence, ça, oui/non/peut-être ?

    Bien à vous

  • La tête, le coeur, le corps qui fait quoi ?

    6a00d834209e6353ef0168ebf54e29970cLa plupart des gens que je connais font une séparation entre la tête (la raison), le coeur (les émotions) et le corps (l’action) et quelquefois cela m’arrive aussi d’ailleurs. 😉

    La question que je me posais, avec ma tête 🙂 était la suivante : « Quel est la fonction de chacune des partie, car dans mon métier nous rencontrons tous types d’individus chacun différents du voisin. Chacun unique et riche d’un vécu et de ses stratégies propres, ou en tout cas qu’il imagine avoir propres. (Est-ce vraiment les siennes ?)

    Une confusion généralisée est : « Un projet doit être pensé. La raison prime sur les émotions ! »

    Qu’est-ce que penser un projet ? Quel est le but que je poursuis en lançant ce projet ? Est-ce que je veux me marier ou non ? Est-ce que je veux être informaticien ou simplement jouer aux jeux vidéos ? Etre médecin ou aider les autres à grandir ?

    Qu’est-ce qui me motive et qui me permet de faire un choix vers un projet ?

    Eh bien comme l’écrit Antonio Damasio (Spinoza avait raison)… c’est le coeur qui décide et non la tête !

    Le coeur a ses raisons que la raison ne connaît point… (Blaise Pascal)

    Quand vous vous posez une question sur votre avenir, par exemple : « Je ne sais pas si je veux être professeur… » ou « Je ne sais pas… si j’aime Marie… »

    Faites l’exercice suivant :

    Dites à haute voix (important !!!!) :  » Je suis professeur » ou « J’aime Marie » et sentez en vous passer les émotions… Cette phrase sonne juste ou non, en vous ?  Vous sentez-vous en accord corporel avec cette phrase….

    Dites cette phrase à haute voix et pas seulement dans votre tête, c’est vraiment important.

    Faites cela pour chaque projet que vous avez… Vérifiez que vous êtes fidèle à vous même.

    • On ne se motive pas par la tête mais par le coeur
    • On ne se prépare pas bien par le coeur mais par la tête
    • Le coeur motive, la tête prépare et planifie puis le corps agit…

    A chacun son job 🙂

    Et pour finir en beauté écoutez les paroles de Grand Corps Malade

    Bien à vous

  • Ouverture et/ou focalisation où mettre le curseur ?

    6a00d834209e6353ef016305e7f923970dDans un article précédent, intitulé « La vertu de la frustration« , je parlais de l’échelle émotionnelle en 7 niveaux. Le septème niveau s’appelle l’interactivité, lisez l’article si vous voulez en savoir plus ;).

    Si maintenant je prends mon article sur Cromwell je parle de la focalisation sur un objectif.

    Or la grande vertu de l’objectif est de nous focaliser vers un point donné de notre histoire à venir et finalement son corollaire est « la focalisation permet de ne pas être distrait par ce qui nous entoure » et donc… Plus d’interactivité. Nous perdons une partie de ce qui fait notre richesse…

    Avoir un objectif peut-être indispensable pour atteindre notre objectif et être ouvert à notre environnement et aux autres peut aussi être indispensable. je vous donne un exemple : la recherche de l’âme soeur (si cela existe…).

    Méthode par l’objectif :

    • Définir à quoi elle ressemble pour être sur de la reconnaître en entrant dans une pièce si elle est là.

    Mais cela part du principe de tout est sous mon contrôle, que tout est immanent. Or l’amour est pour partie seulement immanent. Nous ne tombons pas amoureux simplement parce que nous le voulons, il reste une partie transcendante à l’amour… et donc.. Il est possible que l’âme soeur ne ressemble pas du tout à ce que l’on a espéreré…

    Et alors ? On se plante !!!! L’objectif  à tout prix n’est pas la solution !

    Méthode par l’ouverture d’esprit (inteactivité)

    • Rester ouvert à toutes les personnes rencontrées sans chercher à percevoir réellement l’ame soeur, se laisser porter par la vague de l’opportunisme.

    Là, nous allons rencontrer, beaucoup de personnes, faire des essais, se blesser aux épines nombreuses des roses que nous allons cueillir et finalement avec toute les chances de ne pas rencontrer celle que nous ne recherchons pas….

    Et alors ? On se plante !!!!

    Alors quoi ? Où est la solution ? 

    • Certainement dans un mixage entre les deux méthodes… De l’objectif avec de l’ouverture d’esprit et d’opportunisme. Comme le tir à l’arc… Je vise et… je lâche la corde ! Ce n’est pas pour rien que Cupidon est un archer ! 😉

    Par exemple :

    Je définit l’âme soeur au plus prês de ce que je souhaite et… je m’empresse de faire confiance à mon inconscient en me focalisant sur … les autres et l’interactivté… Je reste à l’écoute de la vie et de ses opportunités… Enfin je lâche prise quoi !

    Facile ? Houlàlà … Peut-être pas mais j’ai une idée…

    Et si vous me racontriez votre plus grande réussite dans la vie ? Et si nous entrions ensemble dans cette recherche par la méthode appréciative (Appreciative Inquiry) ? Pour voir la beauté à l’extérieur il faut être sûr que la beauté existe… Regardez en vous… C’est beau hein ?

    C’est un début maintenant  en route ! Vous voulez en savoir plus ? Contactez un coach de l’équipe No Limit Coaching… Je suis sûr que lui il saura ! 🙂

    Bien à vous

     

  • Le mythe de l’excellence ou rien. Alors ce sera plutôt NOS réussites !

    6a00d834209e6353ef016305c014e8970dJe suis coach professionnel comme certains parmi vous le savent, et j’accompagne des chefs d’entreprise. Il y a quelques année j’ai co-écrit un livre sur le coaching parental et souvent les parents viennent me contacter pour que je coache leurs magnifique bambin !

    Moi : Pour quoi faire ?

    Le papa (ou la maman) : « Ben mon brave monsieur, nous aimons notre enfant et nous devons le préparer à la compétition acharnée qu’il va rencontrer dans la vie, plus tard ! Il faut qu’il soit le meilleur …à l’école, en sport… enfin partout !…. »

    (Fin de citation)

    Et qu’est-ce l’on observe chez les enfants ? … Une hausse de l’anxiété que les parents leur transmette… Combien de fois ai-je rencontré ces parents ? Au moins une fois par mois par des demandes internet ou téléphone…

    Et qu’est-ce que cela donne au bout du compte ? On laisse croire à nos enfants que tous les coups sont permis ! Il n’y a pas de limites pourvu que tu sois sur le podium… On leur fait confondre leurs besoins et les moyens. Ils ont besoin de bonheur, oui mais et s’imaginent que le bonheur c’est d’être sur le podium… Que le bonheur est au pris de la victoire et de l’excellence !

    En effet même l’esprit olympique a disparu… Ce que l’on voit ce sont des nations qui s’affronte dans des guerres de médailles, et des athlètes qui ne concourent que pour la médaille qui restera dans les annales….

    Mais l’excellence n’est pas donnée à tous, et combien de personnes se lancent dans une compétition qu’il perdront finalement… Peut-être au pied du podium… simplement par que l’excellence n’est pas pour eux dans ce domaine… Est-ce grave ?

    Est-ce que, parce qu’il ne sont pas excellent en mathématiques, ils sont des vauriens pour autant ? NON !!!!

    Et pourtant ce mythe de l’excellence fini par leur pourrir la vie au point qu’il font un « burn-out » ou une dépression nerveuse… Cela peut aller jusqu’au suicide et pourtant ils sont (ou étaient) magnifiques !

    J’ai perdu un de mes cousins proches dans ces conditions… La course à l’excellence permanente à eu raison de lui… Et pourtant moi je l’aimais…Il avait des enfants… Et il s’est pendu… C’était il y a quelques années… Repose en paix, je t’aime toujours et tu es toujours vivant dans mon cœur avec toutes les qualités que tu avais et que tu ne voyais pas. Car tu étais simplement  aveuglé par le mythe de l’excellence que les autres t’ont fait miroité et que tu à pris à ton compte.

    Une introjection est la capacité d’intégrer dans notre moi des images ou des objets ou autre chose qui vient de l’extérieur (voir la notion de surmoi…)…

    Alors si vous aussi vous êtes aveuglé par le mythe de l’excellence, comment le savoir ? C’est assez simple… Si vous pensez qu’il est évident que pour être heureux vous devez être excellent…  😉 Facile de se faire piéger, hein ? C’est la confusion entre le besoin et le moyen.

    Allez je vous donne une explication : Certains écrivent « Imparfaits, libres et heureux »… (Voir Christophe André) CQFD… Donc on peut être heureux sans être parfait.. sans être premier… sans compétition… Et il y a bien confusion entre le besoin et le moyen !!! LOL

    Donc si vous aussi vous voulez charger vos enfants de tout le poids de votre aveuglement… Essayez d’abord cela :

    Apprenez à valoriser vos succès, aussi petits soit-ils, ou gros, cela n’a pas d’importance. L’important c’est qu’il valent gros, pour vous car ce sont les vôtres !Et personne n’a le droit de vous les enlever, ni le mérite qui y est associé. C’est terrible de voir comment cette méthode peut changer votre vie !

    C’est pour cela que j’ai adopté la méthode de « l’appreciative inquiry » dans chacun de mes coaching individuel ou collectif. C’est pour cela que j’ai mis en place cette méthode dans ma vie. C’est pour cela que je refuse les comparaisons inutiles entre les mérites respectifs de mes relations professionnelles…

    Cette méthode commence par « Racontez-moi une histoire que vous avez vécu et que vous considérez comme une réussite… etc… »

    Essayez la c’est l’adopter… Et la meilleure façon de l’apprendre c’est de la pratiquer, car les exemples vivants sont d’un autre pouvoir comme dirait le comte à don Diègue… dans le Cid de Corneille…. Il continue par : « Un prince dans un livre apprend mal son devoir. » Et pour finir cette question : « Apprend-on la vie à l’école ? »

    Un jour on peut essayer ensemble si vous voulez ?

     

  • L’Appréciative coaching … ou comment se focaliser sur son objectif ?

    6a00d834209e6353ef01348827c68a970cVous avez déjà essayé de marcher avec de la boue collée aux chaussures ou aux bottes ? Ce n’est pas facile, hein ?

    On a parfois même l’impression que la boue est contre nous et qu’elle nous en veut. Pourtant consciemment nous savons que la boue n’a pas d’intention. Mais au niveau inconscient, c’est parti !

    « La boue me fait ch… » et la colère monte ou l’exaspération, ou le découragement….

    – Bon et alors… Pierre ? Que veux-tu dire ? Où veux-tu en venir ?

    – D’accord ! J’y arrive… La semaine dernière un client m’appelle et me demande : « Est-ce que tu peux faire quelque chose pour moi ? je suis dans la merde ! » Vous voyez ? Ce n’est pas de la boue mais… presque 😉

    Je lui réponds donc : « La réponse est oui ! Qu’elle est la question ? » Et là, il commence à … Se répandre… Ou plutôt à répandre sa M… « Tu comprends, j’ai un problème avec deux de mes cadres qui…etc… »

    Non, non !!! Il ne dit pas etc… Mais je ne vais pas vous répandre sa M… ici ! Ca sent mauvais ! 😀

    – Alors donc tu as un problème ?
    – Oui… J’ai un problème
    – et avant d’avoir ce problème c’était comment ?
    – Comment ça ?
    – Oui avant le problème. Il y avait quoi ? Ca marchait bien ?
    – Ben oui… Mais…
    – OK C’est super ça ! Il y a eu un moment où tout allait bien ?
    – Oui mais…
    – Vraiment ? Alors je te propose la chose suivante …
    – Quoi ?
    – On ne va pas nier le problème ! Il existe et il est réel certainement puisque tu m’en parles…
    – Ah ça oui alors !
    – OK donc on va commencer par le commencement. Peux-tu me raconter comment ça se passait avant le problème ?
    – Ben oui…
    – Alors va-y ! Racontes moi un moment où tout allait bien avec tes deux cadres…
    – Ben l’année dernière par exemple…
    – Super c’est ça ! Zyva !
    – Ben voilà alors… etc….

    Là je ne vous raconte pas…. Il me raconte son histoire pendant 3 minutes…et… Voilà comment nous avons commencé une appreciative inquiry (enquête appreciative).

    Cette méthode continue par les questions suivantes…

    Vous êtes curieux ?

    Si vous voulez les connaître ces questions… C’est facile ! Appelez-moi ! 😉

    En attendant qu’avons nous fait en prenant la chose de cette manière ? Et bien regardez de près… Nous avons… enlevé la boue de ses chaussures !

    Là où nous focalisons notre conscience nous focalisons notre énergie !

    Vous préférez quoi vous ? Parler de vos problèmes ou de vos réussites ? Vous ne savez pas ? Essayez devant votre glace ! Racontez une histoire de problèmes puis, si vous survivez, racontez-vous une de vos réussites .. Vous vous sentez comment ? Vous avez compris ?

    Alors, maintenant, vous voulez tester avec moi ? Alors contactez-moi par email , par téléphone (+33 675 25 34 42) ou par Skype pour prendre un RDV….

    Bien à vous

  • Le coaching par téléphone est une chance.

    6a00d834209e6353ef0168e8f99530970cCes derniers temps j’ai rencontré des dirigeants de toutes les professions à la recherche de Zen (itude ?)… Et même des dirigeants que j’affectionne particulièrement :

    • Un plombier (tout seul)
    • Un maçon (présent sur le salon avec son épouse)
    • Une architecte d’intérieur avec une belle orientation Fengshui !

    Et là j’ai eu la fameuse question (de la mort qui tue) bateau ( tous les bateaux, tous les oiseaux…) : « Qu’est-ce qu’un coach ? »

    Et là je me lance dans … Rien justement !

    Je ne me lance pas dans l’explication habituelle : Un coach c’est quelqu’un avec qui nous avons envie de faire un bout de route car nous savons qu’il va nous permettre d’atteindre notre objectif plus vite et plus facilement que si nous étions seuls !

    Car le coach ce n’est pas que cela !

    • Le coach c’est un importateur de stress c’est à dire quelqu’un qui permet de faire diminuer celui-ci
    • Le coach c’est aussi un exportateur d’énergie qu’il fait augmenter
    • Le coach c’est un professionnel source d’inspiration, et révélateur de motivation
    • Le coach c’est un révélateur de talents
    • Le coach c’est un professionnel de bon sens
    • Le coach c’est….

    Bouuuuuuuuuuuuhhhhhhhhhhhhh….. Ce n’est pas fini cette liste ? Si au lieu d’en parler on le pratiquait hein ? ce serait plus facile ! Alors allons-y, voulez-vous ? Répondez à ces questions pour vous :

    • Citez-moi trois choses que vous faites de bien ?
    • Citez une chose que vous pourriez améliorer ?
    • En quoi est-ce un problème pour vous de ne pas améliorer cela ? (important pour vous… pas pour les autres !)
    • Si vous ne réglez pas ce problème d’ici un an, le 31 décembre 2010 (par exemple) que vous arrivera-t-il ?
    • Est-ce ce que vous voulez ? (si vous répondez OUI, le coaching ne vous concerne pas !)
    • Que préfèreriez-vous à la place ?

    Voilà un premier objectif à clarifier ! Et là le coach peut être utile ! Le coach accompagne des personnes en bonne santé pour aller vers leur objectif :

    Pas besoin d’aller mal pour vouloir aller mieux !
    NE PAS CONFONDRE COACHING ET THÉRAPIE !

    Bon alors on va ?

    Non parce-que… Et là une série d’excuses :

    • Je n’ai pas le temps
    • Le coach est trop loin
    • Une séance de coaching c’est une demi-journée de perdue

    Et si vous pensiez au téléphone ?

    • Le coaching par téléphone c’est le pied me disait un client la semaine dernière.
    • C’est souple d’utilisation (Je peux faire varier le nombre de séances de 1 à 2 voire 3 / semaine)
    • Je gagne du temps (pas de déplacement)
    • C’est écologique (Pas de voiture, ni de transport)
    • C’est économique (je dépense moins… Essence, assurance, temps perdu…)
    • Je peux avoir un contrat au forfait
    • Je peux avoir des séances « flash » (par exemple : avant d’entrer en réunion…)
    • Je peux choisir MON coach partout en France (ou au Maroc) et prendre le meilleur pour moi!

    Vous voulez en savoir plus sur le coaching par téléphone ? Appelez-moi au +33 675 25 34 42 ou par Skype pour prendre RDV…. 🙂

    Bien à vous
    Pierre