[et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.0.9″][et_pb_row _builder_version= »4.0.9″][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.0.9″][et_pb_text _builder_version= »4.0.9″]
Comme je l’indiquais dans d’autres articles, il n’est pas possible de changer ses pensées de manière complètement autonome. La plupart des pensées qui viennent à notre conscience ne sont pas choisies par nous mais par les évènements, et les circonstances auxquelles nous sommes soumis. Vous trouvez ça pénible ? Ben quelquefois cela peut nous paraitre très inconfortable, en fonction des pensées qui viennent.
C’est souvent à l’origine de ce que l’on appelle des phobies d’impulsion.
Une petite défintion simpose : La phobie d’impulsion est un symptôme psychiatrique caractérisé par la crainte obsédante de commettre un acte qui peut être agressif ou moralement incceptable.
C’est pour cela que certaines mamans viennent me voir avec des pensées qu’elles ne supportent plus. Par exemple : « Elles se voient en train de noyer leur bébé ou de le jeter par la fenêtre » et c’est insupportable pour elles ! Alors elles culpabilisent, et s’exposent à des épisodes dépressifs qui ont des conséquences certaines sur leurs vies.
Avec la thérapie d’acceptation et d’engement, le processus mis en oeuvre pour les aider est la défusion cognitive.
Pour toucher du doigt la puissance de la fusion avec nos pensées, je vous propose un exercice. Cet exercice vient des travaux de Monestès & Vilatte (2011), que l’on peut retrouver dans le livre The Big Book Of ACT Metaphors…
[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.0.9″][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.0.9″][et_pb_slider _builder_version= »4.0.9″][et_pb_slide heading= »Puisance de la fusion cognitive » image= »https://pcarnicelli.wordpress.com/wp-content/uploads/2023/12/ff8fc-image1.jpg » _builder_version= »4.0.9″ header_level= »h2″ background_enable_color= »on » background_enable_image= »on » background_enable_video_mp4= »on » background_enable_video_webm= »on »]
Prenez une feuille de papier vierge et un stylo. Lancez le disporama et suivez les instructions sur chaque image.
[/et_pb_slide][et_pb_slide heading= »Étape 1/6″ image= »https://pcarnicelli.wordpress.com/wp-content/uploads/2023/12/b7885-image2.jpg » _builder_version= »4.0.9″ header_level= »h2″ background_enable_color= »on » background_enable_image= »on » background_enable_video_mp4= »on » background_enable_video_webm= »on »][/et_pb_slide][et_pb_slide heading= »Étape 2/6″ image= »https://pcarnicelli.wordpress.com/wp-content/uploads/2023/12/e0d4c-image3.jpg » _builder_version= »4.0.9″ header_level= »h2″ background_enable_color= »on » background_enable_image= »on » background_enable_video_mp4= »on » background_enable_video_webm= »on »][/et_pb_slide][et_pb_slide heading= »Étape 3/6″ image= »https://pcarnicelli.wordpress.com/wp-content/uploads/2023/12/05042-image4.jpg » _builder_version= »4.0.9″ header_level= »h2″ background_enable_color= »on » background_enable_image= »on » background_enable_video_mp4= »on » background_enable_video_webm= »on »][/et_pb_slide][et_pb_slide heading= »Étape 4/6″ image= »https://pcarnicelli.wordpress.com/wp-content/uploads/2023/12/534ab-image5.jpg » _builder_version= »4.0.9″ header_level= »h2″ background_enable_color= »on » background_enable_image= »on » background_enable_video_mp4= »on » background_enable_video_webm= »on »][/et_pb_slide][et_pb_slide heading= »Étape 5/6″ image= »https://pcarnicelli.wordpress.com/wp-content/uploads/2023/12/28fdb-image6-1.jpg » _builder_version= »4.0.9″ header_level= »h2″ background_enable_color= »on » background_enable_image= »on » background_enable_video_mp4= »on » background_enable_video_webm= »on »][/et_pb_slide][et_pb_slide heading= »Étape 6/6″ image= »https://pcarnicelli.wordpress.com/wp-content/uploads/2023/12/c3b3f-image7.jpg » _builder_version= »4.0.9″ header_level= »h2″ background_enable_color= »on » background_enable_image= »on » background_enable_video_mp4= »on » background_enable_video_webm= »on »][/et_pb_slide][/et_pb_slider][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.0.9″][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.0.9″][et_pb_text _builder_version= »4.0.9″]
Peut-être vous êtes-vous aperçu que cet exercice n’est pas facile. Pour la plupart des personnes, à partir du moment où la phrase devient intelligible, un malaise apparaît. Bien-sûr, dans cette phrase il semble que vous vouliez que je meure … Mais je sais bien que ce n’est pas votre intention ! 😉
Mais vous ne me connaissez pas vraiment et donc, puisqu’il n’y a pas de témoins, c’est moins difficile. Mais la dernière diapo…
C’est un autre regard que vous y portaez, n’est-ce pas ?
Vous n’avez aucune intention de tuer qui que ce soit, mais … on ne sait jamais …. N’est-ce pas ? Et si ça se réalisait ? Hein ?
Déjà vous vous sentez coupable … mais coupable de quoi ?
En Fait dans la vie de tout les jours, nous avons des pensées qui nous viennent directement de l’extérieur… Et pourtant … Quel impact sur nous, hein ?
CQFD ! (Ce qu’il fallait démontrer)
Bon travail de défusion … Et haut les coeurs… Tournez vous vers vos valeurs… Et si vous veniez faire ce stage de méditation de pleine conscience en janvier ? Venez avec nous ! Je suis sûr que ça va être génial ! Pour vous inscrire suivez ce lien ou écrivez-moi.
[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]
Aujourd’hui je vais aborder un problème général que rencontrent les coachs et aussi certains thérapeutes. Quand on rencontre un patient ou un client avec qui on n’avance pas ! Il semble même impossible d’avancer. Nous avons bien des techniques pour entretenir voire développer la motivation. Mais quand la motivation est « absente » … Que la personne n’a vraiment envie de rien…
L’année 2016 se dirige de son pas de sénateur (un pas lent) vers sa fin. Certains me diront que ce n’est pas un pas de sénateur, car ils passent leurs vies à courir ! Bon OK OK… Je reprends, c’est bientôt la fin de l’année … Ça vous va mieux ? 2017 va donc bientôt commencer et bien entendu elle va ressembler à 2016… Ben, oui … Il n’y a aucune raison que ça change puisque tout va bien !

Lorsque je présentais ACT à quelqu’un, je rencontrais souvent un problème autour d’un des points de l’hexaflex (voir schéma). Ce point c’est le « soi-comme-contexte« . Qu’est-ce que c’est que cette bête ? Comment expliquer le soi-comme-contexte à un béotien sans être compliqué ? Sans entrer dans un jargon où le poisson se retrouve souvent noyé plus vite que le chien qu’on a trouvé comme excuse….
J’ai trouvé en me baladant sur les sites des réseaux sociaux un « Therapist’s Heart » qui m’a beaucoup plu. C’était sur le site http://www.goodtherapy.org. Je me suis dit que cela ressemblait tellement à mon coeur que je vous en livre une traduction approximative, mais très ressemblante. Cela peut s’adapter à un psychologue, à un coach, à un métier de l’accompagnement en général.
Dans mon métier, je rencontre de nombreuses personnes qui sont piégées par leur intelligence. J’ai moi-même été dans ce cas de nombreuses années sans réellement comprendre le piège.
Lorsqu’une personne se présente à mon cabinet pour que je l’accompagne une des premières questions est : « Vous avez fait l’effort nécessaire pour être ici avec moi. Vous avez pris un RV. Vous avez attendu le jour et l’heure de ce RV. Vous vous êtes organisé pour venir ici. Peut-être avez-vous déplacé des choses à faire. Peut-être que le fait d’être ici provoque en vous des émotions désagréables, telles que la peur, la honte, l’ennui. Peut-être aussi que vous préféreriez être ailleurs, par exemple à la piscine, ou au cinéma, que d’être ici. Et malgré tout cela vous êtes ici. Si vous êtes ici, c’est donc que cela vous semble important d’âtre ici. Peut-être espérez-vous quelque chose d’important pour vous en venant me voir. Pouvez-vous m’en dire quelques mots ? »
Depuis maintenant presque 2 ans complets, je vous parle de ACT et des indications pour diverses pathologies ou inconfort de la vie de tous les jours. Le principe est relativement simple. Il tient en un processus basé sur la pleine conscience, et une matrice très facile à utiliser. (Voir le schéma de la perspactive au début de cet article.)
Nous avons, Aurélie et moi, décidé de partager nos passions avec vous, autour d’un repas « sans y voir ». Aurélie est la fondatrice des 5à7 sensoriels, et moi du Coaching autour du pot… Vous imaginez bien que ce type de repas c’est un peu la fête des sens et des prises de conscience. Alors, en partenariat avec le Café de la Paix à Auvers sur Oise, nous avons donc décidé d’organiser pendant ces vacances un repas dégustation… sans les yeux !
Cette soirée coanimée par Aurélie DUCLOS, Coach sensoriel, association les5a7sensoriels, et Pierre CARNICELLI, psychologue et coach, fondateur du Coaching autour du Pot.
Aurélie et Pierre vous accompagnent dans un dîner dégustation à l’aveugle, depuis la prise de commande, jusqu’au dessert… Puis, à