Étiquette : PNL

  • La joie d’apprendre et de partager

    Initial Bike RideSamedi j’écoutais l’excellente émission de Jean-Claude Ameisen : Sur les épaules de Darwin que je vous conseille. Une fois n’est pas coutume, je vous donne un conseil 😉

    Comment apprenons-nous ?

    Lorsque que j’ai crée l’école certaines études scientifiques dans le domaine des neurosciences n’avaient pas encore été faites. Antonio Damasio avait déjà publié certains de ses livres et les études des PNListes nous enseignait déjà quelques pistes intéressantes, mais de manières non scientifique.

    Aujourd’hui les progrès dans le domaine des neurosciences donnent raison à nos intuitions pour certaines et contredisent apparemment les autres.

    • Apprendre c’est changer
    • Apprendre c’est se souvenir, et se souvenir c’est avant tout fragiliser son souvenir et le mettre en péril.
    • Le sommeil a un rôle important dans l’apprentissage
    • La joie est un élément important tout au long de l’apprentissage et pas seulement à la fin
    • L’apprentissage est un phénomène dynamique qui est d’autant plus efficace que l’on devient acteur de son apprentissage

    Et HOP (comme dirait mon ami, Achille Talon !6a00d834209e6353ef015434f42f41970c

    Le fait d’imposer à mes stagiaires de coacher pendant leur apprentissage est bénéfique pour eux et leur apprentissage.

    La méthode pédagogique qui va utiliser le coaching et la mise en action sera plus efficace qu’une autre méthode plus « académique et classique »

    Voici un bilan des deux méthodes :

     

    Formation pédagogique traditionnelle

    Coaching

    Le Contenu – Enseignement théorique

    – Simulations

    – Centré sur vos expériences

    – Vos interprétations propres de situations vécues

    L’objectif – Délivrer des savoirs

    – Stimuler la participation
    active à la formation

    – S’entraîner à maîtriser des connaissances

    – Créer et s’approprier un cadre propice à l’action

    Base de travail – Savoirs théoriques – Votre vécu et les vécus des autres participants
    Le Pôle d’intérêt

     

    – Orienté sur le formateur – Orienté sur vous
    Transmission du savoir – Par l’animateur

    – L’orateur vous transmet le savoir

    – Construction des connaissances par vous-même

    – Le Coach catalyse vos ressentis et facilite la formulation du savoir

    Évaluation – En fin de formation – Tout au long et en fin du processus
    Le rôle de
    votre animateur
    – En représentation

    – Montre l’exemple

    – Une posture bienveillante de facilitateur

    – Oriente votre apprentissage

    – Facilite la prise en charge

    – Facilite l’autonomie

    Votre rôle de stagiaire – Passif

    – Acceptation

    – Actif

    – Vous confrontez, vous remettez en question

    Étonnant non ?

    Que conclure (provisoirement car la science va encore évoluer…) ?

    1. La thérapie a bien sa place dans le système d’accompagnement puisque simplement le fait de se rappeler quelque chose va permettre d’apprendre à remplacer le souvenir traumatisant par un autre plus acceptable par le patient. Et cela conforte l’idée que « L’important n’est pas la réalité mais la perception que j’en ai et ce que je vais en faire. »
    2. Le coaching est une véritable méthode d’apprentissage et non une mode passagère. C’est en accompagnant le changement que l’on aide nos coaché à apprendre comment construire leur avenir vers les objectifs qui sont les leurs.

    Passer d’un savoir livresque et sans intérêt  véritable à une connaissance active. (co-naissance = naître avec = savoir intégré) : C’est l’enjeu d’une méthode pédagogique efficace et c’est la méthode pédagogique que nous utilisons chez No Limit Coaching 😉

    Alors qu’attendez-vous pour nous rejoindre ?

  • Une nuit de cauchemar

    6a00d834209e6353ef014e86beb227970dLa nuit de la catastrophe à Fukushima,  j’ai visité l’endroit où je range mes peurs. Vous connaissez cet endroit ? Chacun de nous peut y mettre tout ce qui le dérange, et de temps en temps cet endroit déborde.

    Pour moi il a débordé cette nuit et heureusement, je commence à avoir l’habitude de gérer ces moments que je trouve difficile pour moi.

    Cette nuit, j’ai vu revenir du fond de ma mémoire un livre hallucinant de Christian Lehmann No Pasaran : Le jeu. C’est un livre qui se lit en 2+3 heures et qui reste en mémoire toute la vie ! Je l’ai lu en 1996… Pourquoi ce livre ?

    • En quelques mots, c’est un livre qui parle de jeu vidéo, et de guerre d’Espagne… C’est un livre qui parle de guerre civile et haine… c’est un livre qui parle d’amour et de croyances.
    • Je l’ai lu en 1996 au sortir de mon opération suite à mon cancer

    6a00d834209e6353ef0147e33eca0f970bEt mon esprit à fait le lien entre tous les évènements que nous vivons actuellement et les souvenirs que j’ai… Pas réellement les souvenirs en fait mais la perception que j’en ai…

    • Ce qui se passe en Syrie, et avant en Lybie, me renvoie aux atrocités de la guerre d’Espagne, aux atrocités de la guerre de religion en France et de sa suite avec les dragonnade de Louis XIV, du roi Soleil… (Quel nom !)… celui qui a révoqué l’édit de Nantes !
    • Ce qui se passait au Japon me renvoie à ma période où j’intervenais au CEA, à Saclay… Avant mon cancer… A Tchernobyl… Et aux maladies que j’ai vues se développer chez l’ami que j’ai perdu suite à son voyage là-bas….

    6a00d834209e6353ef014e5fe41c70970cEt Libye+ Syrie + Japon + Souvenirs et ancrages = Cauchemars ! Cette équation est destructrice pour le sommeil. Et j’ai besoin de sommeil sans lequel je ne peux pas être qui je suis ! Et, en fait,  j’aime bien celui que je deviens chaque jour. Je me suis habitué à moi et finalement ce n’est pas si mal de vivre avec moi. Ça tombe bien car je vais vivre avec moi jusqu’à ma mort !

    Combien de fois dans notre vie rencontrons-nous des cauchemars, qui hantent nos nuits ? Des inquiétude injustifiées ? Des espoirs déçus ?

    Alors que faire ?

    1. Une phrase m’a donné une clé cette nuit : « Avoir la force de supporter ce qui ne dépend pas de moi, le courage de changer ce qui dépend de moi, et la sagesse de faire la différence entre les deux ! » Merci à Marc Aurèle !
    2. Une autre phrase m’en a donné une autre : « Entre le stimulus reçu et la réponse donnée, nous avons la liberté de choix » Et ici merci à Viktor Frankl !

    Et hop !

    Je suis sorti dans mon jardin… J’ai respiré, j’ai écoté ma respiration. J’ai écouté les oiseaux, et les fleurs qui poussaient… J’ai pratiqué le rituel que j’ai appris pour être en contact avec moi.  J’ai utilisé mes cinq sens (Voir-Entendre-Toucher-Sentir-Gouter) et enfin….

    J’ai vu de belles choses dans mon jardin… Le printemps ! Et le courage est revenu, et l’amour et la joie ont à nouveau remplis, mon espace de vie…

    6a00d834209e6353ef014e86beb5f1970dJe me suis connecté à ce qui est sacré pour moi : l’Amour

    Je me suis connecté à l’amour, et j’ai pleuré de joie et de compassion, en constatant que des hommes et des femmes sont aujourd’hui en train de mourir dans ces pays pour ce qui est sacré pour eux… Pour l’amour de leurs enfants. Pour que leurs enfants puissent avoir un avenir.

    Enfin, j’ai pu me connecter à demain, sans ma présence… Sans moi, juste avec  les suivants dans la grande chaîne d’union de l’humanité. Je me suis senti relié à tous les hommes et les femmes, à tous mes frères et soeurs, en humanité. Je me suis connecté à quelque chose qui me dépasse et qui me nourrit.

    J’ai remplacé un cauchemar par un rêve. Je suis redevenu un Homme. Je vais  maintenant relever mes manches et je vais bâtir.

    C’est beau un homme qui marche !

    Bonne journée à vous, puissiez-vous vous-même vous rencontrer… Avez-vous pris le temps de le faire ? Et avez vous travillé votre rituel à vous ? Celui qui vous permet de passer de votre espace profane (la vie de tout les jours) à votre espace sacré (ce que vous voulez y mettre)… Car c’est vraiment sa fonction au rituel, non ? De passer d’un espace à un autre…

    Et comme le dise tous les pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle : Buen Camino ! Car le chemin se fait en marchant (Camino caminando)

    Ultréïa !

  • Les stratégies d’apprentissage.

    6a00d834209e6353ef014e86b2e85f970dL’apprentissage passe par trois grands mécanismes, qui sont bien décrits dans les fondamentaux de la PNL

    • Omission
    • Distorsion
    • Généralisation

    C’est trois termes semblent à première vue être négatifs et pourtant !

    Sans omission, comment notre cerveau pourrait utiliser les « bonnes informations » à garder dans un évènement de notre vie ?

    Nous recevons les informations par nos 5 sens (et même que certains en ont un 6ème…) cela en fait des canaux de réception, non ?

    Est-il important lorsque je me souviens de la journée d’hier de savoir que la quatrième branche du bas de mon olivier a été cassé par le gel ? Cela dépend de la suite que je vais donner à ce souvenir !

    De même est-il important que je me souvienne du poids exact des épluchures de carottes mises à la poubelle ce jour ? Cela dépend aussi ! Par exemple si je payais le ramassage des ordures au poids cela en aurait… Et pourtant c’est bien le cas ! Puisque je paye une taxe à la commune pour ramasser les ordures …. Et donc ce la a une influence sur ma vie…

    Mais cela est noyé dans la masse des informations reçues ! Et là intervient la distorsion… Due à mes croyances et valeurs… A quoi suis-je connecté comme valeurs ? Qu’est-ce qui est important pour moi ? Et de là je généralise : Tout le monde devrait… et Blabla…

    Mais la généralisation est intéressante dans l’apprentissage car cela me permet de réagir lors de rencontre du même type en fonction de la réponse précédente !

    Enfin cela devrait le faire ! Et pourtant… Il y a eu :

    • Three Mile Island
    • Tchernobyl

    Et l’on a dit : Plus jamais ça ! Et il y a eu aussi le réchauffement climatique et on a dit le nucéaire est bon… Et.. Et… Cela recommence avec le Japon aujourd’hui !

    Sommes-nous dans un mauvais sénario ? Un sénario de vie comme l’appelle les tenant de l’Analayse Transactionnelle.

    En général un sénario de vie se reconnaît car il se reproduit, et il semble ne jamais dépendre de nous !

    En fait nous reproduisons, la première erreur que nous avons faite en ne reconnaissant pas notre responsabilité dans l’échec. Nous entendons le genre de phrases suivantes :

    • « J’aurai pu mieux faire »
    • ou « ce n’est pas de ma faute si …(la terre tremble !) »
    • ou « j’avais pris toutes les précautions mais… je ne pouvais pas prévoir que … (ce serait si fort) »

    Etc. Vous avez déjà entendu cela ?

    Et bien, quand nous refusons de généraliser quelque chose c’est que nous avons un conflit entre nos valeurs (nos croyances) et ce que nous avons constaté ! C’est le déni… Les hommes politiques savent bien le faire, et ils ne sont pas les seuls ! LOL

    Alors dire que la généralisation ce n’est pas une bonne chose, est-ce une bonne généralisation ? 😉

    6a00d834209e6353ef0147e3330d48970bPour la distorsion c’est pareil ! (Je généralise, là…) LOL

    Il est des cas où la distorsion provoque des phobies… (j’y reviendrai dans un prochain article) Malgré tout la distorsion peut-être nécessaire davant certaines atrocités et nous allons utiliser celle-ci pour attéuner la douleur… Par exemple : il y a des années j’ai perdu un enfant… Comment survivre à cela ? Et je suis toujours vivant non ? (ou je le crois en tout cas)…

    Par contre la distorsion, nous fait envisager les choses à travaers des filtres … qui nous arrangent ! Sartre écrivaient, l’enfer c’est les autres… Et je pense que l’enfer est comme le paradis, au fond de chacun de nous… Alors vous préférez quoi ? Que les autres aient le pouvoir sur vous ou que vous l’ayez sur vous ?

    Voilà, j’en arrive à la fin de cet article nous n’avons pas traité de l’optimisation de l’apprentissage qui fera l’objet d’un autre article.

    Savoir que nous utilisons des mécanismes d’apprentissage et en être conscient sont deux choses différentes.

    Observez-vous pendant quelque temps… Vous verrez vos stratégies préférées… Et revenez me voir… Prenez le temps d’en prendre conscience et reprenez le pouvoir sur votre vie 😉

     

     

  • A quoi servent les outils en coaching ?

    6a00d834209e6353ef0147e03b0fbf970bSamedi, je publiais une note sur « Comment j’ai perdu le symbole de la mesure » et ce matin en arrivant sur internet je tombe sur un article que relaye un de mes contacts sur un réseau social et qui me met en colère. Là… Je reste fidèle à la méthode que j’ai choisie ces dernières années et je recherche quel est le message de changement positif pour moi, que me demande une partie de moi-même, en m’envoyant cette émotion.

    Petit exemple d’utilisation de cette méthode sur cet exemple :

    1. Quelle est le message général de la colère ? Une de mes valeurs a été violée par l’autre (l’autre étant quelque chose d’extérieur ou d’intérieur)
    2. Action à poser pour supprimer l’émotion : (émotion = E movere -> mettre en mouvement) écrire un article pour expliquer le sens de l’utilisation d’un outil…

    Et hop ! Je ne suis plus en colère… j’écris cette article 😉 Et ça marche ! :DD

    Donc A quoi servent les outils en Coaching ?

    Pour l’exemple : A quoi sert un marteau (outil dans le bâtiment par exemple ou l’automobile) ?

    • à taper sur un clou pour l’enfoncer
    • à décabosser une tôle
    • à frapper sur un pieu dans mon jardin

    et un couteau (outil dans la cuisine) ?

    • à couper sa viande
    • à éplucher un légume
    • à tailler un bout de bois

    Or ces deux outils servent quelque fois à un usage non prévu : tuer ! Et bien pour les outils du coaching c’est pareil ! Un outil mal utilisé et c’est la blessure ! 

    Je suis coach avec un code de déontologie et donc je respecte l’intention dans l’accompagnement. Je pense que dans toutes les relations entre être humais, il y a des opérations de manipulations comme par exemple la séduction. Malgré tout ces manipulations ne sont pas toutes, et heureusement, des relations de type pervers… Nous ne séduisons pas l’autre pour lui faire du mal, heureusement. Quoique certains le fassent (voir l’article sur les manipulateurs).

    A quoi sert la PNL ?

    • pour un coach ? A accompagner ses clients !
    • pour un thérapeuthe ? Pour soigner ses clients
    • pour un manipulateur ? A séduire !

    D’où l’utilisation qui en est faite dans le domaine du commercial, ou de la séduction… Ouf … Ce n’est pas l’outil qui est dangereux c’est l’usage qu’on en fait ! Alors avez-vous compris l’intérêt du code de déontologie ? Quelle est votre intention quand vous utilisez la PNL ?

    PS : Vous voulez savoir que de quel site je parle dans cet article ? Ce qui m’a mis en colère ? Est-ce bien important ? Vous reconnaîtrez tout de suite le site et vous pourrez penser à ce que j’en dis ici, quand vous verrez cette page qui associe le mot « PNL » au mot « Séduction », tout un programme pour les manipulateurs de tous poils,non ?

    Je ne suis plus en colère et vous ?

  • Le blues du dimanche soir…. Et les madeleines de Proust…

    J’ai lu un article sur un périodique trimestriel qui parle du malaise au travail. Références de l’article : http://www.scienceshumaines.com/malaise-au-travail_fr_318.htm

    Le blues du dimanche y est pris pour je cite : « Le blues du dimanche soir n’est qu’un symptôme d’un malaise plus profond » et de là… Rapidement… L’auteur de l’article saute allègrement de nénuphar en nénuphar pour traverser la mare de mon passé, tel un éléphant gracieux à la recherche de la portance maximum,  et en arrive, très rapidement par une ellipse à « Malaise au travail… etc… »

    Cet article est extrêmement intéressant et très bien documenté, et je vous recommande de le lire si vous en avez l’occasion.

    Mon billet concerne lui uniquement le blues du dimanche soir.

    Je ne nie en aucun cas que la situation du malaise au travail ne soit pas une des causes de ce malaise pour certaines personnes.. Et même que le malaise au travail est un véritable fléau.  Par contre quelle que soit la raison d’un malaise, il est indispensable de se poser la question du comment en sortir, si ce malaise est gênant, non ? Mais, un malaise non gênant ça existe ça ?

    Alors voilà ma réflexion, sur le comment en sortir.

    J’ai été atteint en son temps de ce blues… et ça remonte à loin !
    Hou là là ! A très loin, puisque je me vois encore le dimanche soir lorsque j’étais en CE2 et que je ne voulais/pouvais pas m’endormir ce soir là.

    L’angoisse commençait à monter vers 18H, quand il fallait rentrer à la maison pour prendre sa douche et se préparer pour le repas.
    J’entendais la télévision dans la salle de séjour qui ronronnait ses émissions laxatives…
    Et je sentais monter la tension… la soupe du soir, la re-lecture des leçons du lendemain… Et dans ma chambre, à la lumière de ma lampe de chevet l’angoisse !

    Et je ne parlais pas encore de travail ! Quoi que l’école en soit un non ? Mais malaise lié au travail et à notre période post-68 où les cadres sont pressurés entre performance et relations humaines… etc… etc…
    NON !
    Je n’étais pas concerné !

    Et aujourd’hui non plus ! Je ne suis pas concerné et je n’ai plus le blues du dimanche soir…
    Qu’est-ce qui s’est passé ?

    (suite…)

  • La boussole du langage

    Pour communiquer, il est nécessaire de se comprendre… Et pour se comprendre il est nécessaire de ne pas perdre de vue, l’important !

    Et l’important c’est quoi ? Hein ?

    L’important ce n’est pas ce que je dis mais bien ce que l’autre comprend… Et si cet autre c’est un coach, alors il a à sa disposition quelques outils bien pratiques pour ne pas se perdre dans le dédale des explications alambiquées de son coaché… Aujourd’hui je vais vous perler de la boussole du langage !

    La voici en dessin :

    Boussole

    Comment ça marche ? Eh bien c’est assez simple : Quand vous repérez dans une phrase une généralisation, un jugement, une règles, une interprétation ou des faits imprécis… Posez les questions qui suivent… Et vous comprendrez mieux la position de l’autre… Et souvent vous l’aiderez à comprendre sa position !

    Vous voulez en savoir plus ?

    Généralisations :

    • Indicateurs : « Toujours, jamais, personne, tout le monde, les gens… »
    • Questions : Toujours ? Jamais ? Personne ? Éventuellement donner un contre exemple… 
    • Exemple : « Les gens riches sont toujours des égoïstes ! » Réponse : « Vraiment toujours ? Mais alors que fais-tu de Bill Gates et de sa fondation ? »

    Règles :

    • Indicateurs : Il ne faut pas, je ne peux pas, ça ne se fait pas , on doit …
    • Questions : Que se passerait-il si vous le faisiez ? Qu’est-ce qui vous en empêche ? Comment savez-vous que cela ne se fait pas ? (ou sur quoi vous basez-vous pour dire que …)
    • Exemple : Je ne peux pas faire le chemin de Saint-Jacques de Compostelle ! Réponse : Et que se passerait-il si vous le faisiez ?

    Jugements :

    • Indicateurs : C’est bien, c’est mal, c’est important, je suis incapable, ce n’est pas réalisable…
    • Questions : En quoi est-ce bien ? Mal ? … Sur quoi vous basez-vous pour dire que…
    • Exemple : C’est impossible d’arrêter de travailler pendant 2mois complets ! Réponse : Sur quoi vous basez-vous pour dire cela ?

    Interprétations :

    • Indicateurs : Suppositions, interférences, hypothèses, déductions, conclusions…Sil savait combien je souffre, il ne le ferait pas, il ne m’a pas sourit parce qu’il ne m’aime pas…
    • Questions : Comment savez-vous qu’il doit penser cela ? En quoi le fait qu’il ne vous sourit pas est la preuve qu’il…
    • Exemple : Il ne me salue pas parce qu’il ne m’aime pas Réponse : En quoi le fait qu’il ne te salue pas est la preuve qu’il ne t’aime pas ?

    Faits imprécis :

    • Indicateurs : On fait des choses intéressantes…
    • Questions : Qui est on ? fait quoi ? avec qui ? intéressantes pour moi ? …
    • Exemple : On part en vacances longtemps Réponse : C’est combien de temps longtemps ? C’est quoi être en vacances pour toi ? Qui part en vacances ?

    Voilà ! Et maintenant moussaillons … En bateau sur la mer de la communication avec votre boussole du langage !