Étiquette : politique

  • Comment passer une soirée exécrable avec des gens qu’on aime ?

    IMG_5289_DxOAvez-vous remarqué comme il est facile de se « pourrir » une soirée facilement avec des gens qu’on aime. Pourtant, on les aime vraiment et sans arrière pensées.

    Alors que se passe-t-il pour que cette soirée soit aussi lamentable ?

    Les sujets qui fâchent.

    Il y a des sujets qui sont réellement à éviter lors de ces soirées. Vous les connaissez ? NON ? Vraiment ?

    La politique et la religion.

    Deux sujets qui vont inexorablement pourrir la soirée. C’est pour cela que dans certains clubs, ils sont toujours interdits. Dès que vous abordez ces sujets, il y a toujours Zorro et Robin des bois qui guettent et qui vont s’inviter à la fête ! Si ce n’est Godefroy de Bouillon, Torquemada, ou Saladin… Quel malheur !

    Si vous abordez Daesch, les colonies israéliennes, la Syrie, L’Iran, le foulard islamique… Et j’en passe… C’est la guerre qui monte… Même la laïcité n’a pas le droit de citée à table si vous voulez passer une soirée agréable…

    Le football et les sports à « fan-club »

    Surtout si comme moi vous avez vécu à Marseille votre jeunesse et que vous vivez à Paris… Au secours, les hooligans débarquent plus vite que leurs ombres.

    Les sujets « théorie du complot »

    Par exemple, les vaccins, le gluten, le réchauffement climatique, les illuminatis, « on nous cache quelque chose », Trump (est-ce de la politique ?), « la montée du populisme »…

    vaste sujet,

    La langue qui sépare

    Avez-vous déjà passé une soirée avec des personnes qui parlent toutes une langue que vous ne comprenez pas ? Alors qu’ils savent parler votre langue ?

    Voilà pourquoi au Maroc, j’évite presque toutes les invitations à une soirée… Dès qu’ils sont ensemble, ils oublient que je ne parle pas leur langue et je reste « tout seul » … Vraiment je les aime, mais je me fais chier !

    Avez-vous passé tout un mariage à une table où il n’y a que des hommes qui parlent entre eux… Même votre femme qui se trouve à la table des femmes vous fait un regard implorant… On se casse quand ?

    Terrible !

    Une solution ?

    mer.jpgEt le GBS alors ? (Le gros bon sens)

    Il reste quand même la cuisine, en dehors du pinard, le porc, la viande, les menus végétariens, végétaliens, végans, et les interdits divers et variés des religions. Bien sûr… Vous pouvez tester les recettes à la carotte… voire au navet, sauf avec ma femme qui ne supporte pas les navets…

    Vous pouvez tester les voyages, en dehors des pays où il peut y avoir polémique… Évitez le Vatican, la France, L’Espagne, L’Iran, L’Arabie Saoudite, le Maroc, L’Algérie… Au secours. Évitez les voyages !

    Sortez avec des gens qui parlent votre langue. Attention aux ados ! Ça cause par ça jacte…

    Que j’aimais les repas de ma jeunesse où l’on se réunissait autour d’un feu de camp, avec une guitare ! Avec les gars je parlais de fille, avec les filles je parlais d’elles… Quand on regardait le ciel, on parlait d’amour et d’avenir. Quand on se lançait dans la mer en prenant un bain de minuit. On ne parlait pas. On courait sur le sable, puis dans l’eau, on jetait nos maillots … On se baignait, on s’embrassait… On s’aimait… C’était si simple…

    Est-ce avec l’âge que tout devient compliqué, ou est-ce le monde qui change ? Bon et si on restait chez soi avec sa petite femme ou son petit mari (pour les femmes) ? Si on passait une soirée « tendresse » ?

    Bonne soirée !

  • Age, handicap et emploi : un tiercé gagnant !

    Handicap-tousSavez qu’un Français sur cinq de plus de cinquante ans présente une incapacité ? (Source Cidem) Savez-vous aussi que l’écart se creuse entre espérance de vie et espérance de vie en bonne santé ? (Source Science et vie N°1180 – janvier 2016)

    Qu’est-ce que cela sous-entend ? Et bien que nous serons touchés par le handicap lié à l’âge avant retraite pour beaucoup d’entre nous. Vous êtes prêt ?

    Qu’est-ce que le handicap ?  La loi n°2005-102 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées a, dans son article 114 défini la notion de handicap :
    « Constitue un handicap, au sens de la présente loi, toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant. »

    Ce qui veut dire que beaucoup de personnes ne savent pas faire la différence entre handicap et invalidité. Que beaucoup de personnes ne se pensent pas en situation de handicap, car pour elles : « Être handicapé c’est être malade »

    J’ai même lu un truc genre « la connerie ce n’est pas un handicap » alors que ces personnes sont souvent réellement des handicapés. Ce peut prêter à sourire jusqu’au moment où votre vieille maman qui a du mal à tenir debout en raison de la fatigue musculaire liée à l’immobilisme de sa vie  n’arrive plus à faire les courses parce que faire la queue à la caisse c’est trop difficile.

    Et là vous lui dites … Et pourquoi ne ferais-tu pas faire une carte de priorité et elle vous répond… je ne suis pas handicapée, je suis vieille !

    Eh oui… Elle est en situation de handicap, mais elle refuse la terminologie… Elle ne comprend pas que le handicap n’est pas une maladie, mais la conséquence d’un état de santé… la conséquence sur sa vie de tous les jours… Et être vieux n’est pas un handicap par contre ne plus pouvoir tenir debout à la caisse du supermarché est un handicap…

    Combien de fois en entreprise j’entends que des personnes dites valides se plaignent de la position de leur fauteuil parce que j’ai eu un accident quand j’étais jeune… je ne suis pas malade, mais… Dans cette position je souffre…  Bilan … des arrêts de travail.. Un absentéisme accru.. Et quelquefois une perte de travail… Dommage non ?

    Une reconnaissance de travailleur handicapé n’est pas un handicap en soi ! C’est au contraire la possibilité d’être accompagné par la société pour équilibrer les chances…

    Voilà pourquoi lorsque j’interviens en entreprise pour faire des « sensibilisations au handicap » pour les équipes… ce n’est pas du temps perdu ! Ni de l’argent perdu d’ailleurs ! Et ces prestations sont… en partie prises en charge par les Agefiph… (Voir les applications de la loi Macron)

  • Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités

    vous-etes-iciCe soir une mise au point. Je fais régulièrement le point… Et vous ? Je viens de couper la relation avec une personne avec qui j’étais en contact par les réseaux sociaux. Pourquoi ? Parce que je crois en cette phrase de Sipderman : « Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités ». C’est fou ça hein ? Siperderman ? Non mais dis-donc Pierre t’as pété un plomb ou quoi ?

    Non ! Je n’ai pas pété un plomb. Cette personne publiait sur son mur un lien vers un site WEB dont les références scientifiques restent à démontrer où l’on affirmait que la chimio-thérapie serait peut-être contre productive. Pourquoi ? Quand ? pour qui ? On ne sait pas mais « une étude… bla bla… » pas de références tangible et hop c’est parti ! Cette personne par ailleurs est « coach » et là mon sens n’a fait qu’un tour. Qu’un coach affirme « C’est vrai par expérience, puisque qu’on se tue à vous le dire ! » Et j’interviens bien-sûr pour tempérer les propos en disant qu’un étude ne fait pas la science, et que la chimio-thérapie a sauvé des gens… Et non, elle et sa bande insistent ! « La chimio c’est de la M… », C’est tout juste si elles n’affirment pas toutes ensembles « la preuve c’est que ça tue les gens ».

    Ben moi je me disais que c’était le cancer qui tuait les gens.

    Je me disais comme je n’ai pas la compétence technique pour me soigner je fais confiance à mon médecin… et là je lis que les médecins, sont vendus aux laboratoires pharmaceutiques… Je me rappelle quand j’ai appris que j’avais un cancer. les seules personnes en qui j’ai pu avoir confiance étaient : mon médecin traitant, mon chirurgien, mon gastro, etc… Enfin MON équipe médicale… sans eux je serai mort aujourd’hui. A cette époque, j’étais désespéré et ils m’ont soutenu comme ils ont pu, mais ils l’ont fait avec leur, tripes ! Ce n’est pas juste de les mettre en cause comme cela. C’est la médecine qui m’a sauvé et non les charlatans qui se veulent plus efficace que… La chimio-thérapie. Et je pense aux personnes en situation de détresse comme je l’étais et je me dis : « On ne peut pas leur enlever leur espoir ! On n’a pas le droit surtout si on est coach ! Car nous c’est l’espoir, nous c’est la lumière dans la nuit. »

    On ne peut pas dire à une personne malade : »De toutes façons les médecins c’est de la merde et la chimio va te tuer ! »

    Je demande un entretien téléphonique avec cette personne pour échanger de vive voix, car par chat Facebookiens, cela est difficile, et, la réponse est : « Pierre, Je me dois de dire cette information, et les gens en situation de détresse, ne m’en parle pas, je connais ! »

    Ben moi aussi, je connais et je dis : »Quand on est coach, on ne peut pas dire que on ne peut pas faire confiance à son médecin traitant ! » Pour moi c’est une faute déontologique. C’est pour cela que je ne veux plus être lié avec cette personne dans un réseau où l’on pourrait croire que je cautionne ces agissements.

    « De grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités ! »

    Je ne dis pas n’importe quoi, quand je n’ai pas la compétence, pour le dire. Et cette personne n’est pas un oncologue de renom et encore ceux-ci ne tiennent pas ces propos.

    Bonne soirée.

  • Nos résolutions en 2014. Je nous souhaite… (2ème partie)

    6a00d834209e6353ef0168ebf54e29970cEt voilà, ouf ! C’était pas gagné d’avance mais nous y sommes arrivés !

    2014 l’année du bonheur.

    Quand j’avais 12 ans en 1970, je rêvais de l’an 2000.

    • Je rêvais d’une civilisation où les guerres n’existerait plus.
    • Je rêvais d’une vie où l’on pourrais rester en bonne santé pendant 100 ans au moins.
    • Je rêvais d’un climat régulé, par la météo.
    • Je rêvais de voitures volantes en location.
    • Je rêvais en dinde en tube.
    • Je rêvais de voyage dans l’espace.
    • Je rêvais d’une vie où le travail serait fait par des robots et où les humains seraient toujours en vacances

    Et en 2014 ? Je croyais que mes enfants partiraient sur la lune, sur mars, où plus loin encore.

    Puis les années se sont succédées pour me rappeler que le rêve n’est pas la vie, bien qu’il en fasse partie.

    Aujourd’hui je vais allègrement vers mes 56 ans, malgré les aléas de la vie, le décès d’Elise, ma première épouse, le décès de Pierre-Simon, mon cinquième enfant, et mon cancer en 1996. Bien-sûr il y a eu d’autres décès, et d’autres naissances…Les naissances de Jade et Nayerie en 2012, puis en 2013, Ambre est venue nous rejoindre sur terre.  Certains sont nés et d’autres nous ont quittés.

    2014 serait l’année de tous les dangers, pour certains ? Mais pour qui ? Pour les entreprises et donc pour les salariés ? Pour les chômeurs ou pour les gouvernants ?

    Et si 2014 était l’année de tous les espoirs ?

    • L’espoir de vivre une vie en paix pour ceux qui veulent sortir de leur état de guerre.
    • L’espoir de vivre une vie simplement pour ceux qui viennent de passer sur la table d’opération.
    • L’espoir de plus d’optimisme pour ceux qui s’y mettent aujourd’hui pour des raisons de bien-être. (Et oui l’optimisme fait du bien à celui qui le pratique)
    • L’espoir de plus de bonheur parce que nous aurions décidé de mettre au centre de notre vie notre essence (et pas celle de la pompe)

    Alors voilà, ce que je nous souhaite :

    1. Découvrir quelles sont nos forces personnelles.
    2. Les mettre en oeuvre chaque jour, dans tous nos domaines de la vie, pour augmenter notre niveau de bonheur individuel et collectif.

    Comme je vous l’ai indiqué dans mon dernier article de l’année dernière, j’ai fait le premier pas.

    Aujourd’hui je passe à la suite :

    1. Reprendre mes études et mes recherches autour de la psychologie positive. Retourner sur les bancs de la Fac ? Pourquoi pas !
    2. Ecrire un article (au moins) par semaine sur mon blog (C’est un engagement facile à tenir ?)
    3. Dire aux gens que je côtoie, combien je les aime.

    Et vous ? Vous avez décidé quoi ?

    Bon allez je commence aujourd’hui car j’ai écris un article et je vous dis (à vous ceux qui prennent le temps de lire ce blog…)

    JE VOUS AIME

  • Cromwell : un anti-coach ?

    6a00d834209e6353ef013488ba4841970cOlivier Cromwell (1599-1658) a dit un jour :  « On ne va jamais si loin que lorsque l’on ne sait pas où l’on va. »

    Ce personnage très contreversé par les historiens, soutient que celui qui ne sait pas où il va pourra aller loin.

    Mais qu’en est-il réellement ? Et comment expliquer cette assertion ?

    En tant que coach je soutiens qu’il est nécessaire pour aller où l’on veut d’avoir un objectif clair. Est-ce incompatible ?

    A première vue oui, mais à y regarder de plus près. Cromwell ne dit pas que l’on va où l’on veut ! Il soutiens simplement qu’on va loin ! Et encore quand il doit loin y ne soutiens pas précisément que la distance est en ligne droite ! Dans ce « loin » il y a la notion de distance parcourue depuis le départ…

    Vous savez que la terre est ronde ? Oui bien sûr… Alors savez-vous que si l’on était capable de voir à 40 000 Km … Nous verrions notre dos ! 😉

    Eh oui ! Aller loin en tournant en rond ? A quoi ça sert ? Aller loin en ligne droite mais… Et si je ne veux pas aller là ?

    Et bien voilà le piège !

    Quand on ne sait pas où l’on va on peut aller loin… Mais pas forcement où l’on veut !

    Alors à qui profite le crime ?

    Réfléchissez-y un peu ? Qui veut vous laisser dans l’ignorance pour vous amener où vous ne voulez pas aller ? Alors, je ne vais pas répondre à ces question, bien entendu, car mon métier c’est de poser des questions… Pas d’y répondre ! L’important c’est la question pour MOI. Pour vous l’important c’est VOTRE réponse….

    Pourquoi les manipulateurs en tout genre ont un tel pouvoir  sur ceux qu’il manipulent en les laissant dans le noir sur l’objectif vers lequel ils les amène ?

    Pour vous aider à réfléchir quelques questions :

    • Savoir où l’on va est-il confortable pour vous ?
    • Que pensez-vous de la peur de ne pas réussir ? La peur de ne pas être parfait ?
    • Combien de fois avez-vous trouvé une excuse pour ne pas vous lancer, par peur de l’échec ?

    Quand on regarde son objectif dans le fond des yeux….

    On accepte d’abord et avant tout le risque !

    Je traite de ce risque dans mon article : Le risque c’est la vie

    Pour aller vers SON objectif il y a deux pré-requis :

    • Je me donne le droit à l’échec
    • Je reconnais que je peux apprendre

    Pas facile hein ?

    N’est-ce pas plus facile d’écouter un marchand de rêve qui nous entraîne vers des lendemains qui chantent ?

    Alors ? Cromwell est-il un anti-coach ?

    Ma réponse sera double :

    1. Soit, il a été un acteur conscient de sa position et, auquel cas, il appliquait cette formule aux autres car il pouvait en les laissant rester dans l’ignorance pour les manipuler.
    2. Soit il était une simple marionnette ballotée par les évènements, et auquel cas, cette formule était aussi pour lui… Et ….

    Alors il était conscient ou non-conscient, d’après-vous  ?

    Pour moi c’était une « BETE » politique, et donc j’opterai pour la 1ère option….

    Alors, maintenant regardez ce que les hommes politiques actuels nous offrent : « Que sera l’avenir ? »

    Un clin de d’oeil de l’histoire à l’histoire …. Nicolas Sarkozy…. François Hollande… Oliver Cromwell … Même combat ?

     Pensez-vous réellement que le but, soit de laisser les gens dans le doute, pour les faire avancer ?

    Allons, allons ! Pierre un peu de calme, tu ne vas pas céder à la théorie du complot, non ?

    Et tout cela à l’insu de notre plein gré ? 😀