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  • La Laïcité n’est pas une religion, ni une opinion…

    LaïcitéAvant toute chose ce qu’il faut savoir pour comprendre la suite de mon article de ce jour, c’est que je suis un être humain et que je vis en France. En France il y a un état de droit, et depuis 1905 un état laïc. J’entends des discussions, et je lis des articles et des déclarations sur la laïcité, comme tout le monde, enfin comme tous ceux qui savent lire et qui veulent lire. Et surtout j’entends une incompréhension, une confusion sur ce qu’est la laïcité !

    Dernièrement je me suis fait traiter de « laïcard »… Et dans d’autres pays où je voyage régulièrement, je me suis même fait traiter de « terroriste laïc »… Bon, passons vite là-dessus, quoi que… Je ne suis pas un terroriste, je ne veux pas semer la terreur. Effectivement je suis pour l’application de la laïcité à la française en France et c’est pour cela que je tiens à expliquer à ceux que j’aime ce qu’est vraiment la laïcité. Car la laïcité ce n’est pas ce que veulent nous faire croire certains religieux :

    • mulsulmans en France faisant passer les tenants de la laïcité pour islamophobes,
    • catholiques  taxant les laics d’espions, voire une cinquième colonne, à la solde des islamistes
    • dans la sphère politique l’extrème-droite qui veut s’approprier la notion de laïcité pour mieux exclure les musulmans en France. En utilisant des termes comme « eux » et « nous ».

    Dans tous les cas, c’est une honte de voir comment est traitée la laïcité, qui n’est pas comprise ! Avant de poursuivre, une question sur moi : « Suis-je adepte d’une religion ? Suis-je agnostique ? Suis-je athée ? »

    Ben cela n’a aucune importance pour les propos que je veux tenir ici. Parce que la laïcité n’est pas une religion. Je connais des catholiques, des protestants, des bouddhistes, des juifs, des musulmans et des athées, qui sont laïcs. Bien sûr, je n’ai pas balayé ici l’ensemble de toutes les religions. Mais je persiste et signe. Je ne suis pas pour ou contre les religions, je suis pour « La liberté absolue de conscience ».

    Vous voulez être religieux, vous ? Pour moi c’est d’accord. Ce n’est pas incompatible et je n’ai rien contre vous tant que vous ne voulez pas m’imposer cette religion ou cette non-religion. Et de toute les façons, la laïcité n’est pas une série de contraintes, mais plutôt une série de valeurs que je vais appeler « naturelles », c’est à dire liées à la nature de l’humain ! Vous êtes humains, alors, pour et grâce à la laïcité, vous avez des droits et je m’en vais les décrire succinctement.

    • La laïcité c’est le droit d’avoir ou de ne pas avoir une religion, car la laïcité c’est d’abord et avant toute chose la liberté absolue de conscience. Le droit de croire ou de ne pas croire à une religion. Donc la laïcité se place en amont, avant la possibilité d’avoir une religion. La laïcité c’est le principe qui permet aux religieux, aux agnostiques, et aux athées de pouvoir être religieux, agnostiques ou athées.
    • La laïcité à la française, est un principe qui permet ensuite de « pouvoir ne pas être inquiété pour ses opinions religieuses » c’est-à-dire que la laïcité garantit un traitement égal de toutes les expressions de religions, toutes les religions, et non seulement les religions dites « du livre », que vous soyez bouddhiste, zen, adepte de la religion de la tour qui penche », ou athée, du moment que vous le faites dans le respect de la liberté de conscience de l’autre et que vos pratiques ne sont pas à l’encontre du droit, vous pouvez le faire, dans une pratique égalitaire. C’est-à-dire que toutes les options religieuses sont égales pour la laïcité. Il n’y a pas de primauté pour telle religion ou pour l’athéisme. C’est pour cela d’ailleurs que l’homme et la femme sont égaux sans primauté, car cela est lié à leur nature. Ils sont humains et par leur nature même, ils sont libres et égaux en droits (et en devoirs)
    • La laïcité à la française c’est aussi la prise en compte de la solidarité et du bien commun. C’est-à-dire que toutes les pratiques doivent au niveau de l’état favoriser le traitement de la prise en charge de l’intérêt de chacun et le bien de tous. Et donc ne pas « favoriser » une religion, voire toutes les religions au détriment d’une partie de la population qui serait athée. Ni l’inverse !

    On retrouve ici les trois grandes valeurs de notre république : Liberté, Égalité et Fraternité

    Pour terminer, un petit rappel qui a son importance : « La Laïcité c’est la séparation des pouvoirs (des options) de la religion et de l’état »

    Et comment l’histoire nous montre que cela est un principe valable? Un simple raisonnement par l’absurde (les matheux s’en rappellent ?)

    Si la religion dirige l’état qu’est-ce que cela donne ?

    • Religions chrétiennes (catholiques -protestants) : En 1572 la Saint Barthelemy lors des guerres de religion en France, pour imposer la terreur sur une population, provoqua en une journée 3500 morts.
    • Athée : pour imposer la terreur contre les religions, le régime soviétique lors des purges a fait disparaitre des centaines de milliers de personnes.
    • Islam : le 11 septembre 2001, dans les Twin-Towers, il y a eu 3500 morts au nom d’une revendication religieuse pour imposer la terreur. Depuis le début de l’année 2016, il y a eu 48 morts par exécution, en Arabie Saoudite et des tensions dans la région du Golfe entre chiites et sunnites.
    • Religion juive : colonies en Palestine, guerre à Gaza… révoltes des Palestiniens… Beaucoup de morts… plus de 1600 morts en 15 jours…

    Et j’en passe…

    L’histoire nous montre qu’il n’y a pas d’options religieuses meilleures que les autres dans ce domaine.  Vous croyez que la France est arrivée à la Laïcité sans se battre pour sa liberté ? Vous croyez encore qu’il y a eux d’un coté et nous de l’autre ? Comme semblent le dire des personnes qui veulent s’approprier la laïcité et qui surtout développent des thèses d’exclusion mutuelle.

    L’antisémitisme est la cause de morts et/ou d’exil, et si les religions chrétiennes vivent aujourd’hui ensemble ou plutôt cote à côté…. ce n’est pas sans heurt ! Les religieux veulent imposer leur liberté de penser. Le communautarisme veut prendre  le pas sur le vivre ensemble dans l’esprit de beaucoup de politiques qui n’assument pas la laïcité et ses principes. Vous remarquerez que si les religieux prônent un mariage avec une sexualité uniquement tournée vers la reproduction, les adeptes du mariage pour tous, les adeptes de l’utilisation des préservatifs et/ou de la pilule ne leur imposent rien.

    Combats (en vrac…) en cours ou récents  pour défendre la liberté absolue de conscience:

    • le droit à mourir dans la dignité,
    • le droit au mariage homosexuel,
    • le droit de vote pour les femmes (ce n’est pas si vieux)
    • la séparation de l’église et de l’état
    • le droit à disposer de son corps
    • le droit à la médecine pour tous
    • …/… (Liste non exhaustive)

    Tous ces combats sont des combats qui sont liés de près ou de loin à la laïcité.

    Et pour finir, je vais résumer mon propos pour que plus jamais vous ne fassiez de confusion entre laïcité et athéisme.

    La laïcité c’est la liberté absolue de conscience de croire à une vérité révélée de son choix
    ou de ne pas y croire.
    C’est le traitement égal de toutes les croyances
    et la prise en compte de la solidarité
    pour le bien commun et le bien vivre ensemble.

    laicite-drapeau-fLa laïcité n’est pas une option religieuse, et ce n’est pas une opinion… Certaines personnes qui voudraient bien revenir sur la laïcité argumentent en disant que la loi de 1905 date de 100 ans donc il faut la revoir. Je répondrais que la nature humaine n’a pas changé depuis 100 ans, et que la plupart des religions s’appuient sur des faits (avérés ou supposés) qui datent de bien plus longtemps et qu’eux ne veulent pas remettre en cause leurs principes, même si ceux-ci s’appuient sur des événements conjoncturels et des pratiques qui nient la nature humaine…

    Alors quoi ? Pour moi la remise en cause de la laïcité reviendrait à réintroduire en France les guerres de religions, qui dans les faits, n’ont jamais fini. Les options religieuses ne sont possibles que parce que la laïcité permet de les accepter pour ce qu’elles sont… des options. La laïcité n’est pas une option , la laïcité permet les options.

    Alors que vous soyez chrétiens, musulmans, juifs, adogmatiques, bouddhistes , athées ou autres, la laïcité, vous permet de le vivre dans votre sphère privée, et de pouvoir partager avec les autres les services de la République. Tout ce qui s’éloigne de ces principes s’éloigne de ce « bien vivre ensemble » à la française que nous recherchons, s’éloigne de la laïcité et menace les 3 valeurs fondamentales de notre république.

    Quelques exemples pêle-mêle :

    • Les crèches dans les mairies, au moment de Noël
    • La volonté affichée de certains politiques de vouloir affirmer une Europe de racine chrétienne
    • Demander des horaires spéciaux pour les femmes à la piscine municipale
    • Les repas confessionnels dans les écoles publiques
    • Le financement des écoles confessionnelles
    • Le concordat en Alsace-Lorraine
    • Le port du voile intégral dans l’espace public
    • Le refus du port voile musulman dans l’espace public
    • Le port du voile des fonctionnaires en exercice
    • Le refus du port du voile au boulot (sauf nécessité du service, bien sûr)
    • …/…

    Liste non exhaustive ….

    Bien sûr, comme vous pouvez le constater à la lecture des exemples précédents, ce n’est pas si simple. Le port du voile n’est pas « contre la laïcité » dans certains cas c’est le refus du port du voile qui l’est… Puisque la Laïcité c’est la possibilité de pratiquer notre religion du moment que nous ne sommes pas dans la sphère publique, mais même dans cette sphère publique chacun peut pratiquer sa religion… Sauf si vous êtes agent de la fonction publique…

    La Laïcité ce n’est pas simpliste, la laïcité nécessite un apprentissage,
    alors, vous voulez apprendre à vivre ensemble ?

     

     

  • Les naufragés du développement personnel.

    ile-deserteLe développement personnel mal compris, mal vécu, est dangereux. Il est même très dangereux ! Je l’affirme, je confirme et je signe.  combien de personnes en déroute j’ai rencontré dans mon passé professionnel.Aujourd’hui, combien je rencontre de personnes qui sont « perdues » qui se sentent seules, abandonnées incomprises. Et pourtant, combien de travail « sur elles » ont-elles fait ?

    Je les appelle, aujourd’hui, les naufragés du développement personnel. Ces personnes ont suivi une formation de coach, ou autour d’un outil comme la PNL, l’analyse transactionnelle, le communication non-violente, et j’en passe et des meilleures. Si vous regardez de près leurs CV, ce sont des personnes qui ont passé ces dernière années à apprendre à se développer.

    Mais autour de ces formations malheureusement, il y a beaucoup de pièges. Je ne veux pas dire que les formateurs ne sont pas bons. Oh non ! Ils sont bons ! Techniquement certains sont même meilleurs que moi dans des domaines où je me considère comme techniquement au top. Je ne remets pas en cause leur technicité, ni leur bienveillance, ni d’ailleurs leurs compétences pédagogiques. Je remets simplement en cause leur spécialisation !

    Pourquoi ? Parce que le développement personnel n’est pas une fin en soit ! Parce que la PNL n’est qu’un outil, et si vous avez un bon outil et même le meilleur outil qui soit. Si vous ne savez pas ce que vous voulez en faire, vous n’en ferez rien.

    Vous pouvez avoir une table à dessin, le meilleur papier, des crayons de qualité, et en plus savoir dessiner si vous n’avez pas d’idées, vous n’aurez pas de résultat.

    La grande question est « Pour quoi faire ? ». Une autre question est « A quoi ça sert le développement personnel ? » On pourrait même se poser la question « à qui ça sert ? »

    Souvent la réponse que je reçois est « Pour être soi-même ! » ou bien »Pour s’affirmer » ou « Pour avoir confiance en moi ou d’augmenter mon estime de moi (on ne sait pas trop en fait) » Et hop c’est parti pour un naufrage annoncé ! Pourquoi ? Parce que pratiquement l’ensemble des objectifs annoncés ne sont pas des raisons suffisantes pour faire un travail de développement personnel. Et donc les solutions proposées correspondent à la demande et termine par une série de « règles de bases » à suivre pour arriver à ce résultat et hop nous voilà parti dans une démarche où l’arbitraire côtoie la logique simpliste.

    Exemple de règles qui, mal comprises envoient le pauvre cherchant dans le mur :

    • Il faut être égoïste : Impact sur la vie de la personne  : Je me retrouve seul !
    • Il faut éliminer les gens négatifs : impact sur la vie de la personne : Je me retrouve seul !
    • Il faut penser positif : impact sur la vie de la personne : Je déprime, je suis nul car je n’y arrive pas…
    • La loi d’attraction c’est facile : impact sur la vie de la personne : Je suis un gros Naze, car je n’y arrive pas

    Et si on regardait un peu ce qui se passe dans la démarche du développement personnel ?

    • D’un coté il y a Sarthe avec « l’enfer c’est les autres » et les accros du développement personnel qui deviennent progressivement ou tendance vers un solipsisme bon teint.
    • Et de l’autre coté un penchant naturel à se laisser porter par la culture et la société, en tendant vers le paradigme suivant : « Le paradis c’est les autres » et effectivement les études de psychologie positive tendent à montrer que le bonheur est toujours lié à une bonne interaction avec son réseau relationnel.

    Alors quoi ? Les autres c’est quoi ? Et si la voie était au milieu ? Au milieu entre le moi d’abord et les autres d’abord… Et si le développement personnel était un truc genre : « Me permettre de vivre, le bonheur au quotidien, avec et sans les autres. »

    Et si la solution n’était pas simple ? Mais une solution comme si souvent dans ce monde « complexe »… Mais notre temps où nous sommes si pressé est-il propice à l’émergence de solutions complexes ?

    Et si on commençait par « ralentir et observer » et si nos DVC (Directions de vie choisies) étaient vraiment les nôtres ? Si nous commencions par nous approprier notre réflexion, au lieu de vivre notre vie par procuration ?

    Un simple axiome peut nous y aider : « Il n’y a pas le feu au lac ! »

     

  • Age, handicap et emploi : un tiercé gagnant !

    Handicap-tousSavez qu’un Français sur cinq de plus de cinquante ans présente une incapacité ? (Source Cidem) Savez-vous aussi que l’écart se creuse entre espérance de vie et espérance de vie en bonne santé ? (Source Science et vie N°1180 – janvier 2016)

    Qu’est-ce que cela sous-entend ? Et bien que nous serons touchés par le handicap lié à l’âge avant retraite pour beaucoup d’entre nous. Vous êtes prêt ?

    Qu’est-ce que le handicap ?  La loi n°2005-102 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées a, dans son article 114 défini la notion de handicap :
    « Constitue un handicap, au sens de la présente loi, toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant. »

    Ce qui veut dire que beaucoup de personnes ne savent pas faire la différence entre handicap et invalidité. Que beaucoup de personnes ne se pensent pas en situation de handicap, car pour elles : « Être handicapé c’est être malade »

    J’ai même lu un truc genre « la connerie ce n’est pas un handicap » alors que ces personnes sont souvent réellement des handicapés. Ce peut prêter à sourire jusqu’au moment où votre vieille maman qui a du mal à tenir debout en raison de la fatigue musculaire liée à l’immobilisme de sa vie  n’arrive plus à faire les courses parce que faire la queue à la caisse c’est trop difficile.

    Et là vous lui dites … Et pourquoi ne ferais-tu pas faire une carte de priorité et elle vous répond… je ne suis pas handicapée, je suis vieille !

    Eh oui… Elle est en situation de handicap, mais elle refuse la terminologie… Elle ne comprend pas que le handicap n’est pas une maladie, mais la conséquence d’un état de santé… la conséquence sur sa vie de tous les jours… Et être vieux n’est pas un handicap par contre ne plus pouvoir tenir debout à la caisse du supermarché est un handicap…

    Combien de fois en entreprise j’entends que des personnes dites valides se plaignent de la position de leur fauteuil parce que j’ai eu un accident quand j’étais jeune… je ne suis pas malade, mais… Dans cette position je souffre…  Bilan … des arrêts de travail.. Un absentéisme accru.. Et quelquefois une perte de travail… Dommage non ?

    Une reconnaissance de travailleur handicapé n’est pas un handicap en soi ! C’est au contraire la possibilité d’être accompagné par la société pour équilibrer les chances…

    Voilà pourquoi lorsque j’interviens en entreprise pour faire des « sensibilisations au handicap » pour les équipes… ce n’est pas du temps perdu ! Ni de l’argent perdu d’ailleurs ! Et ces prestations sont… en partie prises en charge par les Agefiph… (Voir les applications de la loi Macron)

  • Occupez-vous de votre vie de couple ! Ça vous intéresse ?

    OmbresVous avez lu mon dernier article sur « La souplesse psychologique : capital émotionnel au service du couple » mais c’était trop long !

    Vous n’avez pas lu l’article jusqu’au bout et vous n’avez pas vu que j’organise un stage/atelier sur ce sujet ? OK, alors, je vous en parle un peu plus en détails. Je vous propose, avec mon épouse Brigitte (ma coach préférée) de vous accompagner dans cet univers autour d’un séminaire sous forme d’ateliers pratiques de 2 jours où vous pouvez venir avec votre conjoint ou seul(e) pour travailler chacun sur :

    • La pleine conscience au service de votre souplesse psychologique. Apprenez comment créer vos propose exercices de plein conscience.
    • L’acceptation c’est à dire apprendre à accueillir avec bienveillance, consciemment et avec douceur au lieu de de rester sur une acceptation passive,imposée, résignée et évitante.
    • Se donner le pouvoir d’agir en sortant de la lutte et de l’évitement. vérifier l’impact des actions posées. Améliorer la communication avec l’autre et les autres.
    • Définir vos directions de vie choisie, c’est-à-dire aller vers ce que vous voulez vivre vraiment ! Faire la différence entre ce qui dépend de vous et ce qui ne dépend pas de vous. Eclairer chaque domaine de votre vie et vérifier l’impact de la réalité sur votre vie de couple et vice et versa.
    • Poser des actions engagées vers ces directions de vie choisie au quotidien et vérifier votre avancement. Apprendre à créer votre feuille de route et de suivi des actions/souffrances au quotidien.
    • Découvrir que vous n’êtes pas simplement une machine à régler les problèmes, et que nous pouvons aussi choisir une autre voie vers la réussite. Ralentir pour prendre le temps de construire réellement la vie qui vous convient.

    Ensuite vous pourrez bénéficier d’un accompagnement individuel (optionnel) sur 5 séances de coaching en visioconférences ou en présentiel (1 mois d’accompagnement)

    Et le prix *?

    • 300 € pour le séminaire de 2 jours (Repas non compris)  avec un tarif spécial pour un couple 450 €
    • 150 € pour les visioconférences (tarif individuel ou couple ensemble) – Pour les séances en présentiel me contacter.
    • Soit un total de 450€ (me contacter pour les facilités de paiement) ou 600€ pour un couple

    Nous avons programmé cet atelier à Paris, pour le week-end de la Saint-Valentin, en février 2016, et nous envisageons avec mon partenaire sur Rabat d’organiser celui-ci au même prix* pendant l’année 2016 (date à déterminer). Vous voulez en savoir plus ? Appelez-moi, par téléphone ou par Skype, Whatapp, ou en remplissant cette Demande de renseignement et je vous rappelle dans la foulée. 😉

    Nous avons programmé cet atelier à Paris  en février 2016, et nous envisageons avec mon partenaire sur Rabat d’organiser celui-ci  pendant l’année 2016.

    * Pour le Maroc, traduisez en multiplant par 10 le prix en Euros pour obtenir le prix en Dirhams (environ…)

  • La souplesse psychologique : capital émotionnel au service du couple

    Nous-camino1Vous connaissez les contes de fées ? Ça commence souvent par « Il était une fois… » et souvent cela termine par « Ils se marièrent et ils furent heureux et eurent beaucoup d’enfants… » Et… Dans la vraie vie, ce n’est pas comme cela : « Le vilain mari tue le prince charmant » comme le disait justement Claude Nougaro dans sa chanson « Une petite fille ». Vous pouvez écouter la chanson en bas de mon article, comme un clin d’oeil

    Et oui la vraie vie ne s’arrête pas à la rencontre de l’autre, puis la découverte de l’autre, d’autant plus que notre environnement culturel pèse sur cette rencontre, puis sur notre vie commune. Le quotidien s’incruste dans chaque domaine de notre vie et le couple et l’intimité n’échappe pas à cette « humidité » ambiante.

    PerspactiveEt nous alors ? Notre bonheur ? Comment s’en occupe-t-on ? Est-ce que le couple peut survivre à l’habitude ? À l’incompréhension de l’autre au quotidien ? À la course effrénée vers un bonheur illusoire et formaté ? Au manque de dialogue ? Mais est-ce que cela est inéluctable ? Car même au coeur de la relation intime, même quand l’épaisseur une feuille de papier ne sépare les conjoints, il y a une séparation.

    En effet, notre intelligence est piégée à l’intérieur de notre corps. Notre intelligence, la partie de nous même qui règle les problèmes au quotidien, fait ce qu’elle peut pour régler les problèmes, mais … sommes-nous réellement conscients de notre pouvoir ? Sur quoi pouvons-nous agir ?

    J’aime bien la phrase tirée des « Pensées pour moi-même » de Marc Aurèle : « Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l’être, mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l’autre. »

    Supporter ce qui ne peut être changé ? Hou la la ! Notre intelligence se rebelle et elle répond : « Que la toute-puissance m’habite ! Je peux tout ! » Or notre intelligence ne peut pas tout.

    Bus ACTUn petit exemple : Un homme rencontre une femme dans l’intimité pour la première fois. Il apporte avec lui, sa vison du monde, son idée sur les rapports sexuels, son idée sur ce qu’est l’homme parfait, la femme parfaite…  Et la femme arrive aussi avec l’ensemble toutes les idées qu’elle a conçues alors qu’elle était seule, en discutant avec ses amies, en regardant la télé, en discutant avec sa mère et … pour les deux, un tas de questions se mêlent :

    • Ça va faire mal ?
    • Combien de temps ça doit durer ?
    • Est-ce que je vais avoir une érection correcte ?
    • Et si elle ne se ressent rien ?
    • Et s’il est brutal ?
    • Que faire ?

    Et les intelligences respectivement essayent de trouver des solutions. Et comment régler un problème ? Le plus simple c’est de le supprimer ! Comment ? En l’évitant, ou alors en le repoussant. Et les problèmes commencent !

    Il suffit d’un problème non réglé pour que la lutte intérieure commence… Pour l’homme et/ou pour la femme :

    • Suis-je impuissant ou éjaculateur précoce ?
    • Suis-je frigide ?
    • « Il FAUT que je me détende ! », mais comment faire ?
    • Je n’y arriverai pas…

    6a00d834209e6353ef01538fc332d6970bEt le couple s’enferme dans un « non-dialogue » car comment parler de quelque chose dont on pense que cela doit-être « naturel » … Si cela ne marche pas naturellement c’est que je n’ai pas rencontré « l’âme soeur » et le mythe de « l’âme soeur » tue le couple silencieusement.

    Alors on supporte dans le silence de vivre avec quelqu’un avec qui on va élever nos enfants… Sans plus se toucher… Mais on reste ensemble « pour les enfants » ce qui est pire que tout pour les enfants eux-mêmes… Alors quoi ? Divorcer ? Pourquoi pas ? Mais avant qu’avons-nous fait pour aller vers la vie que nous voulons vivre ?

    Si on remettait les choses à leurs places ? La vie de couple c’est :

    1. La rencontre
    2. La découverte
    3. La vie quotidienne
    4. la séparation (la mort ?)

    Or la phase 3 représente 98% de la vie du couple… Or le conte de fées ne parle que de la phase 1, rarement de la phase 2. Et sauf dans des cas très rares, la phase 4 est oubliée… Sauf dans Roméo et Juliette ou il y a eu phase 1 puis phase 4 directement… Est-ce cela que vous voulez vivre ?

    Imaginez que l’on se focalise sur la phase 3. Que voulez-vous vivre au quotidien ? Qu’est-ce qui dépend de vous ? Acceptez-vous vos pensées ? Où êtes-vous dans la lutte ou dans l’évitement ?

    Et si vous vous redonniez le pouvoir en prenant conscience réellement de la différence entre ce qui se passe « en vous » et ce qui se vit « à l’extérieur de vous » ?

    Triflexe ACTJe vous propose, avec Brigitte (ma coach préférée) de vous accompagner dans cet univers autour d’un séminaire de 2 jours ou vous pouvez venir avec votre conjoint ou seul(e) pour travailler chacun sur :

    • La pleine conscience au service de votre souplesse psychologique
    • L’acceptation c’est à dire (ABCD) Accueillir avec Bienveillance, Consciemment et avec Douceur au lieu de (PIRE = Passif,Imposé, Résigné et Evitant)
    • Défusionner de ses pensées pour se donner le pouvoir d’agir et sortir de la lutte et de l’évitement
    • Définir et éclaircir vos directions de vie choisie
    • Poser des actions engagées vers ces directions de vie choisie
    • Découvrir que vous n’êtes pas simplement une machine à régler les problèmes…

    Ensuite vous pourrez bénéficier d’un accompagnement individuel sur 5 séances de coaching en visioconférences (1 mois d’accompagnement)

    Et le prix ?

    • 300 € pour le séminaire de 2 jours (Repas non compris) / 450 € pour un couple
    • 150 € pour les visioconférences (tarif individuel ou couple ensemble)
    • Soit un total de 450€ (me contacter pour les facilités de paiement)

    Ça vous tente ?

    • Je prévois cela pour les 13 et 14 février 2016 (pour la Saint-Valentin) à Paris
    • Et à Rabat à une date non encore fixée pourquoi pas en février aussi ?

    Vous voulez en savoir plus ou peut-être vous inscrire ? Remplissez le formulaire ci-dessous sans engagement.

    Demande de renseignement

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=Ru1pwbHaVz0]

  • Les objectifs comme moyens d’augmenter notre vitalité.

     boussoleDans mes articles précédents, et depuis plus d’un an, j’ai échangé avec vous sur les objectifs dits « autoconcordants » puis du rôle des valeurs dans notre vie.

    Derrière le mot, il y l’objet et il y a nos souvenirs, et nos pensées auxquelles nous tenons ! Mais pourquoi y tenons-nous ? Ce n’est pas le sujet de mon article d’aujourd’hui, et il y a certainement là un sujet de réflexion. Pour nous permettre de sortir de la définition du mot « valeur » je vais aujourd’hui changer de vocabulaire pour nous permettre de comprendre avec plus de faciliter de quoi je parle.

    Je vais parler ici des « directions de vie choisies » l’ensemble de nos directions de vie choisies sont notre boussole personnelle pour aller vers notre vie, notre vitalité ouverte, plutôt que de survivre dans une vie « étriquée ».

    Pour identifier ces directions de vie, nous pouvons nous poser un certain nombre de questions.

    1. Si aujourd’hui je ne souffrais pas. Est-ce que ce que je fais, actuellement, resterait important à faire pour moi ?
    2. Est-ce que je peux faire cela par moi-même ? Est-ce que mes actions peuvent me permettre de m’orienter vers cela?
    3. Si personne ne sait jamais que j’ai fait cela, est-ce que je le ferai quand même ?
    4. Est-ce que je peux atteindre cela ou est-ce que je peux seulement espérer le vivre au quotidien sans jamais l’atteindre ?

    Vous pouvez trouver quelques exemples dans l’article suivant.

    Une direction de vie choisie se vit au quotidien en posant des objectifs qui eux sont atteignables chaque jour. C’est important pour vous ? Alors pourquoi ne l’incarnez-vous pas ? Et si vous le viviez au quotidien ? Et si vous en parliez ? Et si vous deveniez un militant de vos directions de vie ? Est-ce que cela changerait votre vie ?

    Imaginez que le plus important pour vous soit que tout le monde soit habillé avec des chaussures rouges. Vous en porteriez, bien sûr ! Vous pourriez distribuer gratuitement des chaussures rouges, en faire de la publicité, organiser des conférences sur ce sujet, écrire des articles sur votre blog. Vous pourriez créer une association qui ferait du lobbying pour des réductions d’impôts soit donner à ceux qui portent les chaussures rouges. Faire voter des lois qui imposent le port des chaussures rouges. Vous pouvez trouver d’autres moyens pour cela ?

    Si vous faisiez ces choses ou même seulement une partie de ces choses, chacun s’accordera pour penser que c’est important pour vous, non ?

    Mais si vous ne faisiez rien ? Imaginez que vous ne portez jamais de chaussures rouges ? Vous n’en avez jamais parlé. Ni jamais engagé aucune action dans ce but. Si un de vos amis voulait, lors de votre enterrement, dire que pour vous l’important c’est « le port des chaussures rouges », croyez-vous qu’il serait cru ?

    Ce n’est pas en pensant aux choses importantes qu’on les incarne, c’est en réalisant des actions que l’on rend les choses réellement importantes.

    Nos directions de vie choisies (DVC) sont toujours parfaites ! Elles ne peuvent être améliorées par qui que ce soit. Si la direction est importante pour nous, elle est d’emblée parfaite et ne peut être améliorée d’aucune façon. C’est pourquoi elles sont et restent « personnelles ».

    Si vous pouvez améliorer une DVC, c’est que ce n’est pas une DVC !
    CQFD (ce qu’il fallait démontrer)

    MatrixIncarnez vos DVC dans le moment présent. Choisissez des actions à poser pour aller vers vos DVC. Choisissez une action que vous n’auriez habituellement pas réalisée, et même si vous avez des émotions, des sentiments ou des pensées qui vous poussent à ne pas le faire.

    • Observez ce que vous avez ressenti, avant, pendant et après la réalisation de cette action.
    • Puis considérez une autre fois où vous n’aviez pas posé l’action en direction de vos DVC.

    Considérez maintenant la différence dans votre vie entre ces deux fois. Pouvez distinguer l’action qui va dans le sens d’une vie qui s’élargit, de celle qui la fait se rétrécir ?

    Alors que choisissez-vous ? La pilule rouge ou la bleue (comme dans Matrix) – voir article de référence

  • La motivation, l’argent et l’arrêt de la cigarette.

    Capture d’écran 2015-11-05 à 09.25.27 copieCe matin en discutant avec ma fille préférée (LOL je n’en ai qu’une …), sur Facebook, j’ai touché du doigt une évidence que je n’avais pas envisagé réellement comme une réalité. Et pourtant, lisez donc ce qui suit :  « Le 2 novembre au rythme que j’avais à l’époque cela fait 160600 cigarettes non fumées et au prix moyen de 5 € ce qui est une approximation bien sûr : 26650€ d’économisé. Je fumais alors 40 cigarettes/jour et des Gauloises blondes… C’est énorme ! »

    Monique est intervenue sur mon mur en me disant : « Peut-être que cela va motiver certains de mes enfants »…

    NON !!!!

    L’objectif d’arrêter de fumer est un « objectif d’homme mort » (voir mon article à ce sujet).

    Petit rappel :

    « Si l’objectif du client peut être atteint par une personne morte,
    ce n’est pas un bon objectif d’accompagnement »

    Alors l’objectif de ne pas dépenser de l’argent c’est quoi ? PAREIL !!!! Un objectif d’homme mort ! LOL

    Il va falloir revoir vos valeurs d’abord … (Voir mon article sur le sujet du rôle des valeurs dans ma vie)

    Et pourtant …. J’ai réellement économisé 26 650€ alors, où est passé cet argent ? Si je l’avais mis dans une tirelire, je l’aurais aujourd’hui… Bien sûr j’ai fait d’autres choses, mais quoi ? Avez-vous remarqué comme souvent nous n’agissons pas en conscience ?

    Tiens pour vous mes amis un petit questionnaire sur la conscience (la pleine conscience) où en êtes-vous ? Téléchargez le questionnaire et faites-le pour vous… Et parlons-en si vous voulez. Vous savez que je suis toujours à votre écoute 🙂

    Échelle de pleine conscience de Philadelphie

  • Coaching de vie ? Et pourquoi pas ?

    oiseauxComme vous le savez, enfin ceux qui ont l’habitude de lire mes articles, je suis business coach. C’est-à-dire que mon activité est essentiellement concentrée sur l’accompagnement des chefs d’entreprise et des équipes dans l’entreprise autour de l’implémentation stratégique. Par ailleurs, j’ai une activité de formateur et, pas n’importe quel formateur puisque je forme des coachs. Depuis le mois de septembre, ma formation de coach en France a beaucoup changé. Elle n’a pas changé dans le fond, bien sûr, mais dans la forme. Puisqu’elle passe par un accompagnement individuel de chaque coach par 3 coachs, qui sont aussi tour à tour, formateurs, et même mentors.  Chaque coach est accompagné par 3 mentors, dans son démarrage d’activités, pendant 6 à 9 mois, comme une nouvelle naissance, en somme ou un véritable envol !

    Quel programme !

    En plus, j’ai ajouté à mon arc une nouvelle corde depuis un an, avec l’ACT (voir site de référence en français). Et je commence à avoir maintenant des retours d’expérience. J’ai particulièrement utilisé cette méthode dans le cadre de l’accompagnement des personnes en situation de handicap. Et c’est vraiment très bon.

    Bien sûr ce n’est pas magique. Ce n’est pas la technique qui « lave tout du sol au plafond » ! Pourquoi remplacer ce qui fonctionne? Si vous utilisez une technique très efficace pour vous ? Dans votre contexte ? Et que ça marche ? Alors, continuez, et bravo !

    Si par contre cela ne fonctionne pas, que vous en avez marre de toujours taper dans le mur. Si vous avez tout essayé (ou presque) et que vous n’y arrivez pas alors pourquoi ne pas m’appeler ? Un échange au téléphone pour vérifier avec vous le bien-fondé de la démarche, puis nous verrons ensemble si cela vous convient.

    Ça coute combien ? Le premier appel ne vous coûte rien ! Et ensuite ? Cela dépend de vos envies et de vos besoins. Si vous voulez des entretiens en tête à tête dans mon cabinet, ce n’est pas pareil que par téléphone ou par Webex (mieux que Skype). En tout état de cause, nous verrons ensemble, si le jeu en vaut la chandelle. Le prix d’une séance n’est pas vraiment important. l’important c’est le prix total à payer à la fin du processus, non ? Et cela dépend des moyens à mettre en oeuvre ensemble.

    Pour l’exemple  : Vous avez un problème de confiance en vous ? D’affirmation de vous ? D’estime de vous ? Des problèmes de troubles sexuels ?

    En général 7 à 8 séances suffisent, mais il est possible que 5 suffisent… Pour 8 séances (1 heure) par Webex le coût total sera de 500 €* (sur 2 mois soit 250€/mois)…

    Alors est-ce que le jeu en vaut la chandelle ?

    IMPORTANT : Le tarif indiqué est à la date d’aujourd’hui (le 3 novembre 2015 et jusqu’au 31 décembre 2015) pour un particulier et TTC (TVA 20% comprise) pour tous les autres cas, me consulter.

  • Pour sortir de son trou ? Savoir lacher sa pelle !

    HappyJe viens de proposer sur un groupe Facebook et une communauté Google+ qui s’appellent toutes les deux : « Bonheur ? Vous avez dit Bonheur ? » et dont le but est d’échanger sur le bonheur sous toutes ses formes.

    Qu’est-ce que le bonheur ? Comment et pourquoi je suis heureux ? Comment êtes-vous heureux ? Ce sont les questions qui se posent et auxquelles chacun tente de répondre comme il peut…

    Et alors qu’est-ce que j’y lis ? Des pubs ! Des pubs ! et des pubs… Chaque coach, thérapeute et psychopraticien de tout poil s’y exprime pour faire SA pub… Ça vous choque ? Moi non !

    Je partage avec vous sur ce blog, depuis toutes ces années (depuis 2004) mes états d’âme, mes pubs, mes observations, mes joies… Quelquefois mes découvertes… J’ai rencontré beaucoup des personnes qui échangent avec moi. Je pense que l’important c’est l’échange « vrai ». C’est quoi cet « échange vrai » ? Un échange, «c’est donner et c’est recevoir» et internet permet ce type d’échange. On appelle cela le WEB 2.0 je te donne… Tu me donnes. Je reviendrai sur ces échanges dans un autre post.

    Je vais échanger avec vous sur une expérience que j’aimerai lancer.

    J’ai découvert ACT, il y a un an. ACT est une thérapie de type TCC de 3e génération, c’est à dire qui s’appuie sur la pleine conscience. Voir le site en référence. Et je me suis aperçu avec le recul que cela change réel ma vie. Comment ? Cela me permet de vivre au plus près de mes valeurs. Comment ? En travaillant sur mes valeurs, en posant des actions engagées… En … commençant par observer. Comment ? Tout d’abord en ralentissant !

    Nous vivons dans une société au rythme effréné. Plus le temps de s’arrêter ! Plus le temps de réfléchir. Ou plutôt si… Insomnies, tourner en rond, déprimer ou se changer les idées, partir pour ne plus réfléchir… Voilà le mode de réflexion…Déprime ou évasion ? Vous pensez réellement que c’est le choix de la vie ça ?

    Et pourtant imaginez que je vous propose de réellement vous poser pendant toute une semaine prochaine pour faire le point sur vos valeurs, et poser des actions engagées. De reconnaitre vos évitements, d’accepter vos émotions… En fait d’apprendre la souplesse psychologique nécessaire pour vous permettre de vivre une vie pleine de sens pour vous. Et cela en passant par des exercices d’observation en pleine conscience.

    C’est à dire

    1. Pendant une heure chaque soir, je vous propose la méthode et les outils pour le faire. Et nous échangeons sur ces outils.
    2. Vous mettez en applications ces outils pendant la journée à votre rythme.
    3. Nous nous retrouvons le soir pendant une heure pour débriefer des expériences faites et je vous donne les outils suivants…
    4. Cela pendant 7 jours.

    Que répondriez-vous ?

    1. C’est trop cher !
      Réponse : C’est gratuit pour cet atelier (c’est le premier et c’est une expérience)
    2. Encore une méthode magique ?
      Réponse : Rien de magique. C’est une méthode tirée de la recherche scientifique, sur la psychologie positive. (Voir le site)
    3. Et est-ce que cela va me permettre de me sentir bien au moins ?
      Réponse : je ne promets rien de tel, pensez-vous que se « sentir bien » vous permet de vivre une vie pleine sens ? Vous avez essayé ?
    4. Je connais une méthode meilleure.
      Réponse : L’avez-vous appliqué ? Si oui et que ça fonctionne dans votre contexte de vie , c’est vraiment super ! Ne changez rien. Sinon, choisissez ce qui fonctionne en fonction du contexte.
    5. Je n’ai pas le temps !
      Réponse : Lisez l’histoire suivante : Et si vous sortiez du trou ?
    6. Je ne vous connais pas !
      Réponse : Appelez-moi au 06 75 25 34 42 (France) … Et faisons connaissance 😉
    7. Je n’ai pas d’objectif sur lequel travailler.
      Réponse : Et si vous commenciez par le plus important ? Et l’important dans la vie, c’est de faire ce qui est important, non ? Alors c’est quoi pour vous l’important ? C’est le début de la méthode….
    8. Autre réponse : Voir le point 6.

    Et pour finir aujourd’hui (28 octobre 2015), il y a 5 inscrits sur cet atelier qui aura lieu du 24 novembre 2015 au 30 nombre 2015 et il y a 12 places. Vous voulez prendre la pilule rouge ? (référence à Matrix, suivre ce lien si vous ne connaissez pas cette histoire)

    Je mettrai cet article à jour en fonction du nombre d’inscrits : Le 3 novembre c’est COMPLET !!! 12 inscrits : France – Maroc – Belgique ! Yep !

  • Le Handicap : KESAKO ?

    Handicap-tousUn de mes amis a demandé à son médecin un certificat médical pour faire sa demande de reconnaissance de travailleur handicapé.

    Réponse du médecin : « Votre maladie n’est pas un handicap. » (Je ne vous dis pas sa maladie, car cela n’a pas  vraiment d’importance. Lisez la suite…

    Il insiste, alors, en disant : « Je connais quelqu’un qui a eu un cancer du côlon (moi, en l’occurrence) et qui est reconnu travailleur handicapé. »

    Réponse du médecin : « Le cancer du côlon n’est pas un handicap ! »

    Que répondre au médecin dans ce cas ? Alors je me suis dit. Si même les médecins ne connaissent pas la définition du handicap en France, il faut faire quelque chose.

    Je suis allé sur le site de la MDPH du 95 qui est très bien fait 🙂

    Il existe un formulaire MDPH unique pour toutes les demandes… et ce qui ne gâte rien. Le formulaire certificat médical … et un formulaire d’aide à l’usage des médecins.

    Et sur ce formulaire se trouvent quelques paragraphes très intéressants que tout le monde devrait avoir lus une fois, pour comprendre de quoi nous parlons quand nous disons le mot handicap : (je vous reproduis ces paragraphes in extenso…)

    LA NOUVELLE DÉFINITION LÉGALE DU HANDICAP

    La loi du 11 février 2005 a introduit dans le Code de l’action sociale et des familles cette définition, reproduite en première page du certificat médical, qui tient compte des dernières avancées de l’Organisation Mondiale de la Santé en matière de description du handicap.

    Le handicap doit donc désormais être appréhendé comme les conséquences des déficiences (altérations de fonctions du corps ou de fonctions supérieures) dans la vie quotidienne et sociale de la personne, et non seulement ces altérations elles-mêmes. C’est pour cette raison que, si les éléments strictement médicaux de la situation de la
    personne sont essentiels pour comprendre ses difficultés, leur évolutivité, leur gravité, bien d’autres éléments, notamment environnementaux, sont à prendre en considération pour apprécier sa situation globale de handicap de façon pertinente.

    Il vous est donc demandé, en tant que médecin, d’apporter non seulement des éléments concernant le diagnostic de la ou des affections dont est atteint votre patient, mais également un éclairage sur les éléments dont vous avez connaissance et qui représentent des obstacles ou des facilitateurs dans sa vie quotidienne, familiale, sociale et le
    cas échéant scolaire ou professionnelle.

    Donc le médecin n’avait pas connaissance de ce texte, c’est tout. Car ce n’est pas le cancer du côlon qui est un handicap, mais les conséquences de ma diarrhée permanente (28 fois par jour en moyenne) depuis 1996… Les douleurs générées par les frottements qui m’empêchent de marcher correctement. Vous imaginez ? Non ? Tant mieux pour vous, c’est que vous ne l’avez pas vécu….

    Le handicap « se vit » quand on essaye de vivre sa vie professionnelle ou dans ses activités journalières. le handicap n’est pas simplement un fauteuil roulant qu’on regarde… Où une perte de la vision qu’on imagine. Non ! Le handicap c’est souvent invisible, car plus de 80% des handicaps sont invisibles et ne nécessitent pas d’aménagement du poste de travail.

    Que d’idées reçues sur le handicap ! Souvenez-vous de mon coup de gueule dans le métro. Où je démontre qu’une canne est plus efficace qu’une carte de priorité.

    Vous voulez savoir comment faire pour pouvoir déclarer votre handicap ? Vous voulez qu’on en parle ? Contactez-moi. 🙂