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  • Face à la liberté nous avons besoin de sens !

    vous-etes-iciUne patiente me disait au détour d’une consultation. « Vous savez que pour la religion a été une bouée de sauvetage. Sans elle je serais aujourd’hui en prison ou pire. »

    Cela a tourné dans ma tête comme beaucoup de choses que je reçois de mes contacts avec mes semblables. Bien sûr que je les écoute, et bien sûr que j’en fais quelque chose. Et dans le cas présent au lieu de me dire, simplement : « Foutaises… Ces religiosités qui nous enferment dans une prison, dont je me suis échappé. »

    Je me suis dit : « Face à la liberté que j’ai acquise en me libérant de la religion comment se fait-il que je ne sois pas tombé dans la délinquance ? Ou dans le l’extrémisme ? Ou dans l’addiction ? Comme le font certains jeunes aujourd’hui… » Et la réponse que j’ai trouvée c’est dans mes valeurs ! Bien sûr… Mais pas si évident pour tout le monde, semble-t-il… Le mot religion vient du latin « religare » c’est ce qui relie… ce qui relie dans la religion ce sont, les valeurs transcendantes, les rituels qui sont des passages du profane au sacré…

    D’après l’article sur ce sujet dans Cerveaux & Psycho de ce mois (Octobre 2018) : Placés face au « vertige de la liberté », les jeunes ont trois options : fuir dans l’addiction (sexe, drogue, jeux vidéos…), dans l’extrémisme (religieux, ou politique), ou resacraliser nos (leurs) valeurs. La troisième option seule, évite la destruction.

    Comme vous pouvez le voir je propose un petit changement dans la formulation, pour mettre leurs valeurs à la place de nos valeurs puisque d’après moi, les valeurs sont toujours quelque chose qui renvoie à l’individu… et non au groupe… (Voir les articles sur les valeurs sur ce blog)…

    C’est pourquoi ACT permet de redonner tout son sens à notre vie en nous reconnectant à nos valeurs intrinsèques. Mais quid des personnes qui ont perdu leurs valeurs de vue ? Et bien les praticiens ACT peuvent les aider à les retrouver, si ces personnes veulent sortir du trou et lâcher leur pelle ! (Voir article).

    Vous connaissez l’histoire du vieux chien ? Un jour un vieux monsieur, est assis devant sa porte. Un petit voisin est là assis lui aussi. Le vieux chien du vieux monsieur, s’approche et se couche devant lui, sur une planche d’où sort un clou de quelques centimètres. Le jeune voisin s’affole. « Vous avez vu votre chien ? Il est couché sur un clou ! » Le vieux monsieur regarde le chien , puis le jeune et lui dit « Il ne bouge pas ? » Le jeune lui répond « Non ! Mais… » Le vieux lui coupe la parole « Ben, c’est qu’il n’a pas assez mal ! ».

    Cette histoire est terrible… Pourquoi voulez-vous aider quelqu’un qui n’a pas besoin de vous ? Est-ce que cela nous empêche, à nous les parents, de comprendre ces mécanismes en oeuvre, et d’aider nos enfants à trouver leurs valeurs ? Mais, nous les parents, sommes nous au clair avec nos valeurs ?

    La liberté de penser est une voie très difficile, et nous avons besoin de sens pour assumer cette liberté!

    J’adore ce paradoxe qui n’est qu’apparent ! À bientôt…

     

  • La prison de l’immédiateté.

    horlogeDernièrement, je participais à un repas d’association où nous échangions sur l’actualité de chacun. Et je parlais des deux jours magnifiques de la semaine dernière où j’ai médité pendant plus de 14 heures dans le silence. Une méditation très intense, où la position à genoux sur mon zabuton tout confort et mon tabouret à la bonne hauteur m’a semblé quelquefois, tellement dur… Ne rien faire, seulement observer l’instant présent c’est très fatigant quand on n’est pas habitué de le faire si longtemps d’un coup.

    À côté de moi, un jeune médecin racontait son actualité du jour.

    – Vous vous rendez copte ? Ma mère est partie de la maison pour faire ses courses au supermarché d’à côté sans son téléphone. Et elle n’est rentrée chez elle, qu’au bout de trois heures, sans prévenir.  Et, impossible de la joindre sur son portable, car elle l’avait laissé chez elle. Or elle a à la maison, mon grand père de 90 ans, qui va très bien, mais il était très inquiet et il a appelé, toute la famille, dont moi. Lorsque ma mère est rentrée, je lui ai demandé, « Tu t’es aperçue que tu avais oublié ton téléphone ? Quand ? Elle m’a répondu, « oui quand je suis arrivé au supermarché. »

    Alors, là je lui ai passé une soufflante ! Tu aurais dû revenir! Tu ne te rends pas compte ? Tu aurais pu avoir un problème ? Elle n’a pas compris… C’est incroyable, hein ? dit-il en me prenant à témoin… Je lui demandais alors … mais ta mère, elle a quel âge ? 62 ans ! Ce n’est plus tout jeune…

    Je n’ai pas pu m’empêcher de rire … « Ben elle n’a que 2 ans de plus que moi… J’ai 60 ans… » – oui, mais elle a eu un cancer ! « Ben, moi aussi, et alors ? Je suis obligé de prévenir mes enfants, si je veux aller me promener avant de faire mes courses ? Je n’ai pas de compte à rendre à mes enfants que je sache… » – oui, mais toi, tu n’as pas à garder ton père… « Ben moi, j’ai ma belle-mère qui vit seule, à 86 ans, à côté de chez moi, et qui fait des crises d’allergies… Et alors ? » Je dois être en prison pour ça ? »

    – Oui, mais toi ce n’est pas pareil si elle a un problème … Là je l’ai interrompu… « Si elle a un problème, elle appelle d’abord le 15 ! Puis moi… Ton grand-père peut faire pareil non ? Il existe des téléphones qui font cela sur simple pression d’un bouton… Il a été capable d’appeler toute la famille, donc il peut appeler le 15 en cas d’urgence… Tu m’as dit qu’il va bien… C’est incohérent, ton inquiétude… »

    Finalement, il a fait la tête et et resté convaincu que j’avais tord et que je ne comprends rien… Sa mère, À LUI, n’a pas le droit de partir de chez elle, sans téléphone !

    6a00d834209e6353ef0163005f19a9970dEt là, je suis resté, très pensif, sur notre prison de l’immédiateté. Quand j’étais plus jeune, il n’y a pas si longtemps, je n’avais pas de portable. Il y avait des cabines publiques. Il fallait avoir des pièces…Et quand ma première épouse est morte, j’ai été mis au courant par téléphone le matin… Bien après la découverte du décès… Ma belle-mère de l’époque a fait au plus vite… Je ne lui en ai pas voulu. Mais , si je l’avais su avant, cela aurait changé quoi ?

    Et vous ? Faites une rapide introspection, quel est votre rapport avec le téléphone ? C’est un outil pratique ? Ou finalement une prison ? À une époque, on s’envoyait des lettres… Aujourd’hui… Tu te fais engueuler, quand tu oublies ton portable !

    J’ai déjà écrit un article sur le tempstalitarisme… (Totalitarisme du temps) … C’est de plus en plus d’actualités… Et si on remettait les choses à leurs places… Parce que je suis une personne-ressource pour mes proches, je suis en prison ? Être un aidant, c’est finalement une prison ? Vous vous rendez compte de la pression que l’on met sur les aidants ?

    Et au-delà de ça. Les enfants, avec le fil à la patte du téléphone, prisonniers de leurs copains et copines… « Si tu ne réponds pas immédiatement c’est que tu ne m’aimes pas ! »

    Chacun choisit sa prison, mais, est-ce en pleine conscience ? Va savoir Charles ?

     

  • Découvrez comment rendre plus facile la pratique régulière de la méditation.

    museDans un précédent article, j’ai abordé les dangers de la méditation.  Bien sûr vous pouvez suivre le lien, mais je vais vous rappeler les 3 dangers principaux.

    1. Se perdre dans la forêt des pratiques.
    2. Croire que la médiation va régler les problèmes instantanément et sans effort.
    3. De méditer pour se sentir bien et sans douleur, alors que ça ne marche pas, et donc de se retrouver dans une impasse.

    Dans cet article, je vais aborder le deuxième écueil de la méditation : « Rendre la pratique de la méditation plus facile ».

    Personnellement, je pratique la méditation chaque jour, pendant 30 minutes ou plus si j’ai le temps. Mais quel temps serait « bien » pour pouvoir bénéficier des bienfaits de la méditation. Les études actuelles, s’accordent pour dire qu’une pratique régulière de 3 minutes par jour suffit à faire apparaitre un mieux dans sa vie.

    En pratique, je suis passé de 3 minutes à 9 (c’est-à-dire 3X3 minutes) puis à 20 minutes, pour arriver à une pratique régulière de 30 minutes. Quand j’ai le temps, il m’arrive de passer 90 minutes les jours fastes ou seulement une heure quand j’arrive à libérer cette heure…

     Il est indispensable de comprendre que pour que la méditation puisse être « efficace », il est indispensable que vous le fassiez « parce que vous le valez bien ! » et non pas pour « se réparer » ou « par obligation ». C’est un RENDEZ-VOUS avec soi-même, comme on prend un RENDEZ-VOUS avec son meilleur ami. « Je le fais parce que je le veux, et que c’est important pour moi de passer ce temps avec moi, pour observer le monde.« 

    Pas besoin d’autres raisons… Mais … Le monde de fonctionnement « automatique » (le mode faire) revient vite au premier plan si vous n’y prenez pas garde ! Ce n’est pas facile de changer ses « habitudes » n’est-ce pas ?

    tabouretChacun trouve sa méthode… Pour ma part, j’ai vraiment investi dans j’ai investi pour ce moment, mon confort… Je me suis acheté un zabuton de premiers choix, puis un tabouret de méditation parfait pour moi… (Après plusieurs essais)… J’ai acheté une version « portable » pour mon scooter, et une version fixe dans mon bureau… de mon attirail… J’ai testé des programmes d’accompagnement comme Petit-Bambou (que j’ai beaucoup aimé). J’ai acheté des CD de guidages, certains que j’ai appréciés, d’autres que j’ai jetés… J’ai même enregistré des MP3… Que je peux vous envoyer si vous en voulez… Pour cela j’ai acheté un beau microphone, et avec mon Mac j’ai travaillé sur les enregistrements… Puis je les ai testés sur moi…

    Comme vous le voyez, je n’ai pas ménagé mon engagement… Suivant ma philosophie de vie, qui est : « Poser des actions engagées vers mes valeurs« . Or « S’occuper de moi parce que je m’aime » est vraiment important pour moi…

    bol_tibetainRemarquez qu’ici une remarque s’impose. Pour comprendre que cela était important, j’ai commencé par « méditer »… Mince alors ! Il y a une boucle coincée… Je médite parce que c’est important et je découvre que c’est important en le faisant ! Mais comment démarrer ?

    Et c’est là que mon point fort (un de mes points forts) dans la vie se révèle payant ! « Trouver toujours le caractère ludique de la vie« … Pour moi la vie est un jeu !

    Alors tout ce qui me permet de jouer, va m’aider… Voilà pourquoi cette frénésie d’efforts… Pour mon confort… Pour les apprentissages… Jouer à vivre… Pour vivre la vie comme un jeu.

    Et c’est là que je découvre dans ces dernières semaines : Muse : Le bandeau de détection cérébrale… C’est un bandeau qui me permet de suivre les activités de mon cerveau en temps réel. Il est couplé à un programme sur mon smartphone… Quand mon esprit bat la campagne, la pluie tombe dru ! Quand je suis calme et serein… Les oiseaux chantent et la pluie s’arrête ! Il ya plusieurs environnements, la plage, la ville, le désert…

    Chaque fois : Je synchronise mon cerveau avec le bandeau… Puis je médite … En temps réel je suis l’activité de mon cerveau quand je suis en train d’observer ma respiration ou que je pense à mon repas ou mes problèmes… C’est très ludique ! Et tellement facile à utiliser ! Bien sûr je suis sur mon tabouret, sur mon zabuton… Et ça me prend toujours 30 minutes… Mais je suis encore plus motivé pour y aller !

    Alors je vous propose de tester le bandeau si vous voulez. Bien sûr, il est nécessaire de venir me voir pour cela, à ST PRIX.

    Vous voulez tester ? Prenez RENDEZ-VOUS avec moi à mon cabinet et précisez dans la prise de RENDEZ-VOUS c’est pour tester le bandeau… Ce sera gratuit, mais il est nécessaire d’avoir installé l’application : Muse (sur Android ou IOS) et de venir avec vos propres écouteurs. Je vous rappelle que pour prendre RENDEZ-VOUS c’est sur http://agenda.carnicelli.fr

    NB : Si vous voulez acheter le bandeau, suivez ce lien : (vous aurez une remise de 15%)

  • ACT est vraiment efficace pour la fibromyalgie.

    Fibro.pngJ’ai eu plusieurs clientes atteintes de fibromyalgie qui sont venues me voir en ayant entendu parler de l’efficacité des TCC sur la fibromyalgie en traitement complémentaire. La demande initiale est souvent du type « Je veux avoir moins mal. »

    Mais avant d’aller plus loin, vous connaissez la fibromyalgie ? C’est un syndrome caractérisé par des douleurs diffuses dans tout le corps, douleurs associées à une grande fatigue et à des troubles du sommeil. (Pour en savoir plus ? Par exemple cette page.)

    Chaque fois la demande des clientes était donc « je veux avoir moins mal ».  Je parle de mes clientes et non de mes clients, car chaque fois c’était des femmes. Mais le ratio est en cours d’évolution en France, avec la nouvelle méthode de diagnostique et  il approche actuellement de 2 femmes pour 1 homme.

    Bien sûr avec ACT, ce type de demande doit-être comme d’habitude négocié avec la cliente. Souvenez-vous de la pilule rouge dans un précédent article. Attention aux objectifs d’homme mort, vous savez un objectif qu’un homme mort atteindra certainement avant vous ! Ne plus avoir mal en est un … J’en ai parlé dans un article où je décrivais mon vécu de la chose en même que les dangers de la méditation.

    Après négociation et moult prise de conscience sur les stratégies mises en place pour éviter cette douleur, et les conséquences de la maladie. La personne va décider d’y entrer volontairement… Pour cela il suffit de comprendre la métaphore suivante.

    Regardez la pièce dans laquelle vous êtes. Elle vous plait ? Peut-être ou peut-être pas. Imaginons que vous décidiez d’en sortir. Vous avez la clé de la porte… Qu’est-ce qui peut vous empêcher de le faire ? Rien ? croyez-vous ?

    Imaginons maintenant que vous ne soyez pas entré dans la pièce, vous êtes resté dehors… La porte est fermée. Vous avez envie de connaitre la pièce, mais vous ne voyez rien à l’intérieur. Votre envie est là… Pouvez-vous oublier cette envie ? NON ! Vous lutter pour ne pas y aller, et vous vous fatiguez, mais la curiosité aidant… Vous avez de plus en plus de mal à ne pas y aller…  Vous luttez, vous évitez d’y aller… Vous restez avec vos questions sur cette pièce… Vous êtes pris dans un piège lié à la nature même du cerveau humain…. Vous ne pouvez pas décider de choisir à quoi penser ! Vous n’êtes pas un lapin. Vous vous souvenez du lapin ? (Voir l’article) Pour vous libérer, il faudrait d’abord y entrer !

    Vous comprenez ? Pour pouvoir sortir d’une pièce, il faut d’abord y entrer ! Pas facile, d’accepter de vivre avec ses sensations hein ? D’abord, je vous comprends et ensuite je vous y encourage ! Je vous comprends, car j’ai vécu cette lutte, ces évitements face à la souffrance. Je vous y invite, car lorsque l’on apprend à étreindre sa souffrance, cela va mieux très vite !

    Je vais pour terminer vous raconter encore une petite histoire…

    J’habite ST PRIX, charmant port de pêche au bord de la forêt de Montmorency… Bon d’accord, ce n’est pas un port de pêche ! OK… Mais vous pouvez me laisser rêver, non ?

    C’est une petite ville qui se trouve sur le chemin descendant des avions qui vont vers Roissy, à quelque 27 km soit 15 KM à vol d’oiseau environ… Et à l’altitude où sont les avions, ils font du bruit ! Sans compter les gaz d’échappement… (Voir le site de l’ADVOCNAR pour en savoir plus.)

    Je peux vous garantir qu’au début, je passais mon temps à râler après les avions… La vie ressemblait à un enfer, car le dimanche soir c’est un avion toutes les 3 minutes… 12 ans plus tard… Je n’entends plus les avions sauf quand je focalise mon attention dessus ! Comme maintenant, tiens… Il en passe un…

    C’est comme le bruit de la mer quand vous habitez à côté de la côte… ou le bruit d’un ruisseau… la nuit fenêtres ouvertes… Au bout d’un certain temps on s’y habitue… On va plus loin qu’accepter, on peut sortir de la pièce !

    Voilà pourquoi toutes mes clientes ont appris à sortir de la pièce… Est-ce que c’est facile ? NON ! cela demande du travail, mais… je suis avec vous… je vous accompagne…

    Vous voulez sortir de la pièce ? Venez m’y rejoindre ! C’est un « escape game » grandeur nature… On joue ?

     

  • Lâcher prise ou laisser-aller ?

    oiseauxCe soir je vais animer avec Charlène, une de mes anciennes élèves, un atelier sur le lâcher-prise. Et il se trouve qu’hier, tandis que je discutais comme chaque soir avec mon épouse, sur les réussites du jour et les projets du lendemain, sur la terrasse dans la chaleur du jour déclinant, elle me posa la question suivante : « Bien, que j’ai travaillé sur le sujet et que je connaisse un peu la réponse, que penses-tu d’écrire un article sur la différence entre le lâcher-prise et le laisser-aller ? »

    Et nous y voilà !

    Vous avez remarqué dans mes précédents articles sur le sujet que le perfectionniste est celui-ci qui souffre le plus du manque de lâcher-prise. Mais chaque jour produit son paquet de contre-arguments, tous aussi valables les uns que les autres.

    Par exemple : « Et si je lâche-prise est-ce que cela ne va pas être du laisser-aller ? », « C’est contraire à une de mes valeurs qui est la persévérance. »

    Et bien ce qui va faire la différence c’est … devinez un peu ? Bon ok, je ne vais pas faire durer le suspense ! Ce sont les valeurs qui vont faire la différence entre les deux !

    Si vous n’êtes pas sûr de devoir lâcher prise. Vous pouvez vous poser des questions comme : « Et si je continue comme cela, est-ce que je vais me rapprocher de ce qui est vraiment important pour moi et qui dépend de moi ? »

    Si la réponse est non pour une raison quelconque alors ralentissez, voire arrêtez-vous. Observez la réalité sans jugement,  avec vos 5 sens. Observez vos émotions, vos sentiments, vos sensations internes. Observez les pensées associées à ces sensations.

    Que cela soit parce que vous n’en êtes pas sûr ou que cela ne dépend pas entièrement de vous, où que les valeurs pour lesquelles vous vous acharnez ne soient pas réellement les vôtres, mais simplement un « rail » de croyances, qui vous « obligent » à continuer comme cela…

    Attention aux biais de la facilité, et de l’autocomplaisance… Pour faire ce point, il est nécessaire de réellement être « au présent » complètement. N’oubliez pas le piège du fonctionnement « automatique »…
    Pas facile de faire cela ? Hein ? Vous avez raison, ce n’est pas si facile de devenir « humain ». Cela demande de l’entrainement ! Voilà pourquoi je suis heureux d’animer ce soir cet atelier qui intégrera des exercices de méditation de pleine conscience.

    Alors, à ce soir… Et si vous commenciez à travailler réellement sur vos valeurs ? Mais est-ce important ? La réponse est dans la question !

    Pour le fin voici les programme pour ce soir :

    Le lâcher prise : pourquoi faire ?

    • Pour oser se dépasser
    • Pour développer la confiance en soi
    • Pour apprendre à pardonner
    • Pour sortir de la rumination
    • Pour lutter contre la déprime ou la dépression
    • Pour mieux communiquer
    • Pour vivre au quotidien ce qui est vraiment important pour nous
    • Ce qui nous permettra de nous rapprocher d’une vie pleine de sens !

    Comment faire ?

    • Zone de confort v/s grandir
    • Zone d’influence v/s zone de contrainte
    • Passé/Futur/Présent : « Apprendre à sortir de sa boite crânienne »

    Application au quotidien : Mise en oeuvre d’exercices basés sur la pleine conscience et ACT (thérapie d’acceptation et d’engagement)

    Ce programme vous intéresse ? Indiquez le moi par mail et j’organiserai un autre atelier à la rentrée… Pour aujourd’hui c’est complet… Ah non il reste 2 places, mais ne le dites à personne car avec la chaleur on va dire que c’est complet… non ? LOL

  • Méditation de pleine conscience guidée par visioconférence

    bol_tibetainVous connaissez la médiation de pleine conscience ? Non alors commencez par lire mon article précédent et revenez lire la suite de cet article.

    Pour pratiquer la méditation de pleine conscience, il peut vous paraitre plus facile de commencer par vous faire guider par un professionnel. Pour cela vous avez des livres très chouettes de Christophe André  comme « Méditer jour après jour » ou « Trois minutes à méditer » ou le livre de Fabrice Midal : « Pratique de la méditation » par exemple ou des applications pour votre smartphone comme Petit Bambou, ou bien… Vous pouvez allez dans un bar à méditation ou vous inscrire à un groupe MBCT (méditation pour éviter la rechute de la dépression) ou MBSR (réduction de stress) ou aller à l’école de méditation occidentale le mercredi (à Paris)… Ou de voir auprès d’une association… Et cela nécessite de vous astreindre à vous déplacer à des horaires préétablis…

    C’est pour cela que je vous propose une autre solution :

    ZafuPratiquer la méditation de chez vous, je vous expliquerai comment installer votre espace de méditation, sans dépenser des sommes importantes… Une simple chaise, ou un tapis, ou un zafu, ou un zabuton, ou un tabouret… Je vous expliquerai les bases puis je peux vous guider pour vos médiations… Les enregistrements des guidages vous seront remis en fin de séance.

    Les avantages ?

    • Vous êtes soutenu par le groupe connecté en visioconférence de chez eux…
    • Vous n’avez pas à vous déplacer de chez vous.
    • le calendrier hebdomadaire comprend au moins 2 plages horaires (voire plus en fonction des demandes)

    tabouretLe tarif ?

    • La première séance est gratuite et sans engagement. 
    • Pour les séances suivantes vous avez le choix de payer à la séance (15€) ou
    • de prendre un abonnement pour 4 séances (50€) ou
    • prendre un abonnement pour 3 mois (144€) – Nombre de séances illimitées*
    • de prendre un abonnement à l’année (45×11=495€) – nombre de séances illimitées*

    * en fonction du calendrier.

    Comment s’inscrire ?

    En remplissant le formulaire suivant et je reviendrai vers vous dès le calendrier fixé. N’oubliez pas que la première séance st gratuite et sans engagement ! Si vous aimez, vous reviendrez… Testez. 😉

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  • Les dangers de la méditation.

    bol_tibetainTout d’abord et que les choses soient claires pour tout le monde, cet article n’est certainement pas exhaustif sur le sujet. Il va simplement relater les dangers que J’AI rencontrés sur la route de la méditation et que j’ai pu identifier.

    Tout d’abord, il y a plusieurs types de méditations, mais bien sûr vous savez cela, n’est-ce pas ? Et bien ce n’est pas si évident que ça pour moi au départ de ce voyage vers et avec la méditation.

    Historiquement vous pouvez voir sur ce schéma ci-dessous que cela vient de loin :

    Capture d’écran 2018-06-05 à 10.41.46.png

    Les pratiques de la méditation ont des origines diverses :

    • Issues du bouddhisme : zen, vipassana, le très riche corpus de la méditation tibétaine
    • Issues du christianisme : oraisons silencieuses des pères du désert
    • Issues de l’islam : la mouraqaba, le soufisme
    • Issues du judaïme : le courant hassidique notamment
    • la pratique laïque : elle est proche des traditions contemplatives
    • Aujourd’hui : La pleine conscience ou mindfulness c’est une pratique laïque issue du vipassana.

     

    Le premier danger c’est de se perdre dans la forêt des pratiques ! Car bien sûr il reste tous ceux qui vont s’appuyer sur des pseudosciences pour utiliser la méditation comme outil d’embrigadement dans leurs dérives sectaires. Donc avant de s’engager dans une pratique quelconque on vérifie ! On se documente sur les origines de la pratique et son but avoué et son but caché… Vous pratiquez une religion ? Pourquoi pas ? Vous êtes athée ? Et alors ? Ça n’empêche pas de pratiquer la méditation. Simplement sachez ce que vous faites et avec qui vous le faites.

    Chaque jour de nouvelles études scientifiques étudient la méditation et concluent aux bienfaits qu’apporte la pratique de la méditation de pleine conscience. Malgré tout ce n’est pas magique et instantané.

    Alors, qu’est-ce que c’est la méditation de pleine conscience ?

    Il s’agit de se tourner délibérément vers l’expérience de l’instant présent, de s’arrêter d’agir pour ressentir son souffle et son corps, écouter les sons, observer le flot de ses pensées avec recul, sans les alimenter ou les relancer.

    Pas facile à faire ? Ou très facile ? Allez savoir…

    Moi-même en expérimentant la méditation, j’espérais pouvoir calmer mon esprit et surtout mes douleurs permanentes liées aux conséquences de mon opération sur à mon cancer du côlon. Mon rêve initial ? « NE PLUS AVOIR MAL AU CUL ».

    En effet, comme le savent certains de mes lecteurs, j’ai été opéré en 1996 et je n’ai plus de colon (colectomie totale) et je n’ai plus de rectum, non plus… Donc j’ai la diarrhée depuis cette époque et je vais aux toilettes entre 15 et 30 fois par jour avec une diarrhée persistante et liquide. Et conclusion : « J’AI MAL AU CUL TOUT LE TEMPS ! » Il y a même des jours où je ne peux pas marcher du tout en raison des brulures entre les fesses… C’est clair pour vous ? je ne sais pas, mais pour moi, il est clair que cela a perturbé ma vie au point même de ne plus me laisser tranquille un instant ! Et cela dans tous mes domaines de vie…

    • Le couple ? Explosé…
    • La famille ? Il fait chier !
    • Le travail ? Pas possible de continuer comme ça !
    • La vie sociale ? Agoraphobie… Vous connaissez ?
    • La santé ? Je n’en parle même pas !

    Et donc je voulais « NE PLUS AVOIR MAL » et … ça ne marche pas !

    Les grandes étapes :

    1. Morphine : A la fin je voyais des dragons descendre du plafond… La route faisait des vagues… Sale temps pour avoir une vie en dehors de la morphine…
    2. La codéine : Cela ralentit le transit… Mais la douleur reste présente… Ça ne suffit pas… Efferalgan Codeïne… pas suffisant
    3. L’hypnose : Ça marche, mais il faut recommencer tous les jours … et cela marche de moins en moins avec le temps… toutes heures on recommence ! C’est terrible…
    4. La méditation : La douleur augmente ! Car j’en suis encore plus conscient… Aïe !

    Et oui la méditation ne fonctionne pas pour supprimer la douleur ! Et même au contraire cela augmente la perception de celle-ci.

    Alors ? Alors j’ai découvert ACT (thérapie d’acceptation et d’engagement) et je me suis aperçu que le problème c’est justement cette recherche en elle-même. Ce n’est pas cela que je recherche… Ce n’est pas « NE PAS AVOIR MAL » que je recherche, mais… « AVOIR UNE VIE PLEINE DE SENS » avec ou sans douleur !

    Et là ça marche ! J’ai toujours mal au cul… J’ai toujours la diarrhée… mais j’ai une vie que j’aime !

    • Le couple ? Une belle histoire d’amour que je renouvèle tous les jours avec mon épouse… Il y a des hauts et des bas … Mais j’adore ça !
    • La famille ? Je suis heureux d’avoir tous ces enfants qui font Ch… et qui m’aiment… Enfin ils sont eux ! Et j’adore ça !
    • Le travail ? j’ai changé de boulot ! J’ai adapté mon travail à mon nouvel état… J’accompagne des gens à aller mieux dans leur vie… Et j’adore ça !
    • La vie sociale ? Je suis membre de plusieurs associations, je m’engage dans la vie de la cité et de mon pays… J’ai des amis, et des ennemis… J’ai une vie riche… Et j’adore ça !
    • La santé ? C’est toujours la douleur ! Je suis toujours handicapé… Quelquefois je en peux plus marcher… Et d’autres fois je vais sur les chemins… J’ai accepté ma douleur. C’est ma compagne intime… Des fois j’en parle comme aujourd’hui… des fois je cache notre intimité, car cela ne regarde que nous deux… Je remercie ma douleur de me rappeler que je suis vivant, à chaque instant de ma vie… Et je pratique la méditation tous les jours pendant une heure… Sauf quand je pars en  retraite pendant 3 à 5 jours…

    Alors ? Le bilan ? Le deuxième danger c’est de croire que la médiation va régler les problèmes instantanément et sans effort ! 

    La pratique tous les jours et une « obligation »… Cela devient aussi un plaisir, à la longue, mais… Pour la plupart des gens que je côtoie. Cet effort est rédhibitoire ! Il y a beaucoup d’abandons à cause de cela… Le bien-être obtenu est réel, mais sans l’effort initial, le résultat peut-être pire que sans la pratique de la méditation. Et cela est normal, car on augmente sa capacité d’observation de la douleur. Et cela n’est pas si facile à comprendre, au début. De plus si le but de la médiation est un bien-être compris comme une absence de douleur, cela ne marche jamais.

    Le troisième danger est de méditer pour se sentir bien et sans douleur, alors que ça ne marche pas, et donc de se retrouver dans une impasse !

    La méditation permet d’observer l’instant présent. De « sortir de sa boite crânienne » et c’est déjà pas mal ! Pour le reste … Il faut faire un travail en parallèle avec une TCC par exemple ou avec son guide spirituel si vous avez une pratique religieuse… Vous imaginez bien que personnellement, comme je suis athée… Je me suis tourné vers les TCC…

    Mon conseil du jour pour éviter ces dangers ?

    1. S’informer sur des sites de confiance, ou avec des gens de confiance, avant de faire un choix de pratique
    2. Ne pas y aller tout seul si c’est possible, c’est plus sécurisant
    3. Se rappeler que seule la pratique est efficace dans ce domaine.

    DangerBien sûr, comme je le disais au début de cet article, ce n’est pas exhaustif. Pour résumer, il y a 3 dangers :

    • Le premier danger c’est de se perdre dans la forêt des pratiques.
    • Le deuxième danger c’est de croire que la médiation va régler les problèmes instantanément et sans effort.
    • Le troisième danger et de méditer pour se sentir bien et sans douleur, alors que ça ne marche pas, et donc de se retrouver dans une impasse.

    Et il y a tous les autres dangers dont je n’ai pas encore parlé… Mais c’est peut-être parce que je ne les ai pas encore rencontrés.

    Vous voulez échanger avec moi à ce sujet ? Contactez-moi.

     

     

     

  • Forum du bien-être à ST PRIX (95) : 27 mai 2018

    cofDes nouvelles du Val d’Oise, et oui, nous recommençons ! Pour la 3ème fois à ST PRIX aura lieu le forum du Bien-être à la salle des fêtes de Saint-Prix (45 rue d’Ermont (à côté de l’hôtel de ville) 95390 Saint-Prix

    Et… Je serai là avec mes collègues de l’Association « Alliance Bien-Être » qui organise cette manifestation soutenue par la mairie de la ville.

    Cela commence à 10:00 pour finir à 19:00 avec les thèmes suivants :

    • Thérapies,
    • Massages relaxants,
    • Nutrition,
    • Coaching et accompagnement
    • et bien d’autres sujets que vous découvrirez en venant nous voir.

    C’EST GRATUIT !

    Au programme des conférences et des ateliers toute la journée ainsi que des entretiens et des démos sur les stands.Pour ma part, je serai là pour vous accueillir à partir de 11:00 avec des démonstrations de « réalités virtuelles » que j’utilise pour les TEVR. (Thérapies par exposition à la réalité virtuelle). Venez découvrir quel effet cela fait de marcher sur une corniche à 50 mètres du sol ! Venez tester la sensation au volant d’une voiture ou d’un hovercraft, ou voir une araignée progresser sur votre bras sans aucun risque ! Pas facile d’imaginer cela, hein ? Je suis équipé d’un casque de type Oculus Rift (haut de gamme) et d’un ordinateur spécialement dédié à la Réalité virtuelle, sur mon stand.

    Vous voulez prendre RENDEZ-VOUS avec moi pour une démo gratuite ?Prendre RDV.jpg

    Je vais aussi animer, de 15:00 à 15:45, une conférence sur l’action de la méditation de pleine conscience sur la dépression et la prévention de sa rechute, avec les thérapies comme ACT (thérapie d’acceptation et d’engagement) ou MBCT (thérapie cognitive basée sur la pleine conscience).

    Flyer_Salon_Bien_Etre__mai_2018-2.jpg

    Et enfin, de 16:00 à 16:45, je serai aussi à l’animation d’un atelier intitulé : « La méditation de pleine conscience (mindfulness) pour sortir de la rumination » avec des exercices pratiques que vous pourrez emporter avec vous sous forme de MP3.

    Il y aura quelques tapis, quelques coussins, et quelques bancs de méditation et bien sûr des chaises pour les participants. (Vous pouvez -venir avec les vôtres, si vous voulez)

    Flyer Salon Bien Etre  mai 2018 - Titre.jpeg

  • Le bonheur est un chat !

    AyaQu’est-ce que le bonheur ? Il m’est arrivé de me poser cette question et vous avez pu vous en apercevoir en lisant les articles de ce Blog dans la catégorie #Bonheur. Je dois dire qu’aujourd’hui je ne me pose plus cette question. Aujourd’hui quand le bonheur passe à ma portée et qu’il prend le temps de s’arrêter près de moi, je le caresse avec gourmandise. Car le bonheur à le poil doux et soyeux ! Et aujourd’hui je sais pourquoi il est si difficile à définir, à attraper, à comprendre, car le bonheur est un chat !

    Il passe à côté de vous silencieusement et ne se fait pas remarquer, si vous n’êtes pas pleinement à l’instant présent. Le bonheur n’est pas bruyant sauf quand il a faim ! Il vous empêche de dormir quand vous ne l’avez pas nourri. Il vient se frotter les moustaches sur votre visage et vous lèche de sa langue râpeuse ou bien vous mordille le nez ! Si vous essayez de l’attraper et qu’il ne veut pas, il vous déchiquette la main ou le visage… C’est un carnage.

    Il est toujours où vous ne l’attendez pas, et jamais où vous croyez sauf pendant sa sieste où il se prélasse au soleil… Quand il veut sortir et que vous lui ouvrez la porte, il va rester là, pendant tout un temps, à se décider de sortir, et vous allez vous impatienter… Vous connaissez çà ? Bien sûr ! Et plus vous serez impatient et plus il sera lent !

    Alors vous l’avez reconnu ? Il est là ! Dans le présent… À côté de vous… Le bonheur est un chat et un chat est toujours dans le présent.

    Le passé est uniquement dans votre tête, avec son cortège de regrets, de jugements et de remords ; et bien sûr, ses ruminations ! Le futur est uniquement dans votre tête, avec son cortège de peurs et d’interrogations ; et bien sûr ses ruminations ! Et comme vous pouvez le remarquer, les ruminations sont dans votre tête au passé et au futur…Chat2

    Mais le bonheur est un chat et un chat est au présent… Le chat n’est pas dans votre tête, il est là à côté de vous, au présent. Pour le rencontrer, il faut sortir de votre tête ! Il faut s’évader de votre boite crânienne pour rencontrer le chat. Vous ne savez pas faire ? La médiation de pleine conscience vous montre un chemin, vers la liberté…

    Rencontrez le chat… C’est ce que je vous souhaite … Et comme Alice au pays des merveilles, il restera peut-être au bout du bout le sourire du chat du Cheshire pour vous accompagner sur la route… Sourire

    Souvenez-vous que le chemin est derrière vous comme l’écrit Antonio Machado : « Caminante, no hay camino… » C’est à vous de le tracer… Vous voulez que je fasse quelques pas avec vous ?

     

     

     

  • La piscico-thérapie est bien l’avenir de la psychothérapie

    LCIDepuis les années 2015, des études lancées par des chercheurs américains (voir article en référence sur LCI) montrent que l’observation des aquariums géants aide les personnes à la concentration et à lutter efficacement contre la dépression. Vous me connaissez ? Toujours à l’affut de ce qui pourrait améliorer la pratique de mes collègues, je me suis penché sur ces aquariums et voilà ce que je rapporte dans mon filet : « La pyscico-thérapie« , c’est à dire une technique de mise à disposition d’un aquarium à observer prêt à l’installation chez soi !

    Il a fallu régler plusieurs problèmes, comme vous vous en doutez.

    • Le poids des aquariums : En effet, au poids de l’eau et des poissons s’ajoute le poids du verre qui compose l’aquarium et donc un aquarium de 100 litres pèse jusqu’au 160 KG !
    • La place chez soi : Les petits appartements actuels ne permettent pas d’avoir des aquariums larges et il a fallu trouver une technique pour intégrer ces aquariums dans (ou devant) les cloisons.
    • L’entretien des aquariums : Bien sûr, quand on est dépressif, se rajouter du travail n’est même pas pensable !
    • La nourriture des poissons : Grâce aux technologies connectées, ce problème est réglé automatiquement avec des mangeoires automatiques et des commandes tout aussi automatiques auprès des équipes d’entretien.
    • L’accès aux aquariums par les équipes techniques qui perturbe, la vie quotidienne : Grâce à des capteurs de présences, les équipes techniques savent quand intervenir, quand vous n’êtes pas là !

    Comme vous le voyez, nous sommes maintenant prêts !

    aquarium-mur-creatif

    Nous vous livrons et installons votre aquarium, configuré pour vos besoins, par le piscio-thérapeute, après un entretien d’une heure d’anamnèse (gratuit) grâce à laquelle il vous fournira un diagnostic incluant :

    • La taille de l’aquarium
    • le nombre et le type de poissons,
    • L’enregistrement des musiques et environnements adaptés à votre cas précis
    • Le nombre de fois où vous devrez faire vos séances journalières et la durée de celles-ci (observation des poissons)
    • La durée du traitement
    • Le tarif est tout compris et sans surprise avec paiement mensuel pendant la durée.

    Vous voulez en savoir plus sur les modalités de mise en place ? Écrivez-moi à poissondavril@nolimit-coaching.fr